La rumeur libre: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Installée dans l'agglomération de Roanne, en Rhône-Alpes, La rumeur libre Éditions a été fondée en 2007 par Dominique Braillon et Andrea Iacovella.
Notre ambition est de constituer une bibliothèque proposant des parcours inédits, où la lecture et l’écriture suivent le fil où le livre reste le support privilégié de nous civiliser en commun.
Nous entendons suivre l'actualité d'une création entre poésie, prose, théâtre, essai et philosophie, où découvertes et redécouvertes sont liées aux gestes solidaires de l'écriture et de la traduction : textes d'auteurs contemporains, modernes et anciens, traductions inédites et réimpression d'ouvrages introuvables.
Contact
Site Web
http://www.larumeurlibre.frTéléphone
0477635456Adresse
Vareilles, 42540 Sainte-Colombe-sur-Gand FranceSite Web
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Vareilles, 42540 Sainte-Colombe-sur-Gand FranceMaisons d'éditions similaires :
Nouveau Monde
PU Saint-Etienne
L'Aire (Editions de)
L'Echappée belle édition
L’échappée belle est une maison d’édition fondée en 2010 à Paris par Florence ISSAC.
Elle se veut :
- introspective, donnant tout son relief à un langage de l’intériorité et de l’émotion ;
- humaniste et engagée, proposant un regard généreux sur le monde et les Hommes et leurs infinies virtualités ;
- plateforme collaborative et solidaire.
Avec pour ligne d’horizon la recherche de la beauté : beauté des mots (poésie, nouvelle, théâtre) ; beauté des artéfacts matériels (architecture et design, photographie) ; beauté de l’âme et du corps (danse, bien-être).
Payot
Ex Aequo éditions
Murmure (Le)
Lurlure
Elles publient, à raison de cinq à sept titres par an, des ouvrages d’art, de littérature et de théorie, textes contemporains ou rééditions de textes devenus introuvables.
Lurlure ? Un mot d’argot que l’on pourrait traduire par l’expression “Ni fait, ni à faire”… Par clin d’œil, l’exact contraire du soin et de la rigueur que nous apportons à chaque livre que nous publions.
Le Passager Clandestin
Le passager clandestin publie des textes de critique sociale qui se rapportent notamment à l’écologie, à la décroissance, à la désobéissance civile... Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n'y aurait d'autre issue que de s'adapter. Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.
Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.
Outre la réédition de textes anciens, nous avons publié récemment le Petit livre noir des grands projets inutiles ; un essai consacré à l’Utopie du logiciel libre ; le Rapport Brazza, document historique inédit à ce jour sur les dégâts du colonialisme français au Congo au début du XXe siècle. Nous avons a également créé deux nouvelles collections en 2013 : une collection de science-fiction, « Dyschroniques », série de textes d’anticipation écrits vers le milieu du XXe siècle par des auteurs renommés dans le genre ; et la collection les « Précurseurs de la décroissance » dirigée par Serge Latouche.
Droz
Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.
II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.
Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.
L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.
Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.
Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.
Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.