Algonquin Books: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
In 1983, Algonquin Books set up shop in a woodshed behind cofounder Louis Rubin’s Chapel Hill, NC, home. He and Shannon Ravenel founded Algonquin as an independent press devoted to publishing literary fiction and nonfiction by undiscovered writers, mostly from the South. And from its very first books Algonquin garnered national attention, with authors—including Julia Alvarez, Jill McCorkle, Robert Morgan, Larry Brown, and, later, Lee Smith—who earned great acclaim and devoted fans.
Acquired by Workman in 1989, Algonquin expanded to include offices in both New York City and Chapel Hill, while holding true to its founding principles to publish quality narrative work that stimulates, enriches, and entertains readers. Algonquin has earned international recognition with numerous bestsellers, in both fiction—including Sara Gruen’s Water for Elephants, Gabrielle Zevin’s The Storied Life of A. J. Fikry, B. A. Shapiro’s The Art Forger, and Robert Goolrick’s A Reliable Wife—and nonfiction, including Amy Stewart’s The Drunken Botanist and Richard Louv’s Last Child in the Woods. In 2013, Algonquin launched the Algonquin Young Readers imprint featuring middle grade and young adult books.
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Site Web
https://www.algonquin.com/Adresse
PO Box 2225, NC 27515-2225 Chapel Hill États-UnisSite Web
https://www.algonquin.com/Adresse
PO Box 2225, NC 27515-2225 Chapel Hill États-UnisMaisons d'éditions similaires :
Eyrolles
Decoopman (Éditions)
Quidam éditeur
Quidam éditeur a été créé par Pascal Arnaud à Meudon (Hauts-de-Seine) en 2002, sous le signe du curieux personnage d'Arzach, dessin offert par Moebius pour devenir le logo de la maison, conséquence d'une interview sur une radio libre menée par Pascal Arnaud auparavant.
La maison accède progressivement à une certaine notoriété, se signalant par son opiniâtreté dans la recherche d'auteurs "à part", tant français qu'étrangers, et obtient une réelle reconnaissance publique, notamment en tant qu'éditeur de B.S. Johnson et de la biographie que lui consacre Jonathan Coe.
La maison d'édition rencontre des difficultés en 2011-2013, durant laquelle un ouvrage devra notamment être produit en souscription, mais surmonte cette crise et repart de l'avant dès 2014, grâce notamment à la solidarité des lecteurs et des libraires.
Interrogé en 2014 sur ce qui l'a poussé à cette création, Pascal Arnaud répond : « Un faisceau de circonstances : une mort, une naissance à venir, un dessin de Moebius, un coup de pied au cul symbolique, l’autodidacte cet animal, l’envie d’être étonné, l’envie d’étonner, le fantasme peut-il prendre corps, le goût du risque enfin, tenter de faire grand (de sens) avec rien (no pépètes) ».
La démarche d'édition est principalement volontariste, l'éditeur mentionnant n'avoir en quatorze ans publié que cinq textes reçus par la poste, soit environ 10 % de son catalogue français (ces envois acceptés étant les romans de Philippe Annocque, Denis Decourchelle, Pierre Terzian, Romain Verger et Catherine Ysmal).
La maison a publié 17 ouvrages durant ses cinq premières années (2002-2006), 46 durant les cinq suivantes (2007-2011) et 26 entre 2012 et 2016.
Wikipedia
Magnard
Stock
Ocrée (éditions)
Torticolis et frères
Temps des Cerises (Le)
Le Temps des Cerises a été créé en 1993, à l'initiative de 33 écrivains qui voulaient ouvrir un espace d’expression, hors des sentiers battus de la pensée dominante.
En choisissant comme nom le titre de la chanson de Jean-Baptiste Clément, ils voulaient indiquer à la fois leur attachement aux idéaux de la Commune et à une certaine tradition de poésie populaire, le plus souvent occultée.
Le petit "e" de Cerises disant à sa façon que cette espérance maintenue l’est dans un temps de Crises … Depuis 20 ans, Le Temps des Cerises a constitué un fonds de plus de 850 titres, textes inédits ou introuvables, d’auteurs contemporains ou classiques, dans les domaines de la poésie, du roman et des essais, qui contribuent à penser et rêver un autre monde...
Mot Passant
La maison "Éditions du Mot Passant" est une maison d'édition nationale à compte d'éditeur, signataire de la Charte des Editeurs de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les Editions du Mot Passant connaissent une reconnaissance de la profession et des médias.
Les Éditions du Mot Passant se positionnent pour la mise en valeur de l'écrit des régions de cultures francophones. La découverte du terroir, la mémoire collective, le passé, le présent comme le futur, transmis par l'écrit ou la photo, trouvent leur écho dans les différentes collections créées.
Des livres qui vont vous donner l'envie de parcourir les chemins de nos régions françaises. De superbes romans, des guides, des promenades, des nouvelles, des livrets reportages sur les fêtes traditionnelles vous séduiront par leurs richesses photographiques. Suivez-nous sur les routes littéraires de France.
Découvrez la collection "Le Coquelicot" consacrée aux romans de terroir. Les histoires explorent la vie quotidienne, la culture, le patrimoine et les traditions des régions de France d'hier et d'aujourd'hui à travers une intrigue romanesque.
La collection "Racines de nos régions" est consacrée aux romans historiques.
"Mots d'une vie" retrace sous forme de biographie la vie de célébrité.
Des romans policiers ruraux, à suspense se retrouvent dans la collection "Le Fin Mot".
Une collection de nouvelles rappelle la vie des autrefois agrémentées de recettes culinaires typiques des régions.
Des collections autour du patrimoine et de l'histoire locale ou régionale sont proposées :
Au fil du temps" : est dédiée à l'histoire d'une ville, d'un village, d'un canton, à partir de cartes postales anciennes et de photos d'aujourd'hui ; les textes sont rédigés par des historiens locaux.
Terroir et curiosités", cette collection déniche les raretés d'une région.
"Souvenez-vous" met en avant la période des années 1950 à 1990.
Des flâneries sont proposées pour découvrir une ville, un village avec la collection "Promenade".
Villes et villages en fête" propose des petits livrets pour découvrir la fête ancestrale ou traditionnelle d'un village, la description, l'utilisation du produit mis en fête, avec des photos couleurs actuelles accompagnées de textes d'écrivains locaux.
Des ouvrages d'ordre pratique, sportif, ou de loisirs sont aussi proposés avec les collections : "Sport en région", "Au fil des saisons", "Image d'ailleurs".
Une collection pour la jeunesse trouve aussi sa place dans les titres des Editions du Mot Passant.
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.