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Julliard

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1942
1180 livres au catalogue dont 15 publiés par an
Fondée en 1942 par René Julliard, la maison connaît rapidement un succès considérable grâce à la découverte d'un très jeune auteur… Françoise Sagan. Beaucoup d'autres suivront. En 1995, renouant les fils de leur histoire - puisque Robert Laffont et René Julliard avaient cohabité dans leur jeunesse - les deux maisons se rapprochent à nouveau. La direction de Julliard est alors confiée à Betty Mialet et Bernard Barrault qui croient eux aussi farouchement à la création littéraire et sont spécialisés dans la littérature française contemporaine et la découverte de nouveaux talents. Ils sont également très attachés aux liens entre l'écrit et l'image et tentent de les réunir dès que possible.

Contact

bedzard@robert-laffont.fr

Téléphone

0153671400

Adresse

30 Place d'Italie, 75627 Paris
France

Dépôt de manuscrits

Par voie postale:

Éditions Robert Laffont - Service des manuscrits
30 Place d'Italie
75013 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

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Thierry Sajat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1985
La première raison : en arrivant à Paris en 1981 pour travailler (à la Poste), j’ai voulu rencontrer des poètes. J’ai voulu également publier mes premiers écrits. Je m’étais rendu à l’époque dans une maison d’édition parisienne (qui a été contrainte plus tard, par décision de justice, de fermer ses portes) qui faisait de la publicité à la radio chaque soir très tard. Après avoir envoyé un premier manuscrit, j’ai obtenu un rendez-vous pour signer un contrat, ce que je n’ai pu faire, tant était élevée la somme que l’on me demandait.
 
Un poète m’ayant mis en relation avec une autre association provinciale qui publiait des recueils de poèmes, j’ai publié un premier recueil mais cette maison m’a escroqué financièrement.
 
A partir de ce moment là, j’ai décidé que je serais mon propre éditeur. Ce que je fis avec un second recueil publié artisanalement avec les moyens du bord, les poèmes dactylographiés sur une simple machine à écrire.
Un Poète de mes amis n’étant pas assez riche pour publier ses textes, je lui ai proposé de lui présenter une maquette de ses poèmes afin de les relier en un recueil. Ce fut ma première publication en tant qu’éditeur, très artisanale, mais l’ami poète eut son ouvrage.
 
Ensuite j’ai amélioré mes propres éditions. 
 
J'ai créé la « Collection Sajat » La machine à écrire a laissé place à l’ordinateur et les reliures furent de meilleures qualités, mais toujours artisanales. Mes auteurs pouvaient publier pour un coût raisonnable un ouvrage.
 
Enfin,  après des années de recherches et de travail, j’ai rencontré des imprimeurs grâce auxquels j’ai pu présenter de vrais ouvrages de qualité. C’est ainsi qu’allaient naître « les Editions Thierry Sajat », avec une qualité de papier et de reliure.
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Alma éditeur

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Le Passeur éditeur

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
120 livres au catalogue dont 30 publiés par an
Le Passeur Éditeur est un éditeur de littérature générale indépendant, né en novembre 2012. Curieux de tout, ouvert aux rencontres, Le Passeur Éditeur refuse de s'enfermer dans une ligne éditoriale étroite. Il invite à ouvrir l'horizon au dialogue et à la connaissance de l'autre. Le Passeur Éditeur aime avant tout la littérature qui a du sens, la beauté qui témoigne de la vérité, la philosophie qui est questionnement permanent, les arts qui ouvrent à l'infini. "Rien de ce qui est humain ne lui est étranger" (Térence).
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Pourquoi pas ? (Editions du)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2012
Fruit d’une collaboration entre l’École Supérieure d’Art de Lorraine - site d’Épinal et de la Ligue de l’Enseignement des Vosges, les Editions du Pourquoi pas, petite maison d’édition vosgienne pour la jeunesse, sont nées fin 2012, sous la forme d’une association à but non lucratif.Au travers de ses productions, les Editions du pourquoi pas recherchent l’éducation au sens et au sensible, le dialogue avec la création contemporaine, la rencontre et le débat autour de sujets sociétaux, tout en promouvant la création de jeunes talents.
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Corridor Bleu (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997

Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.

La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.

Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien.  Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.

Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.

Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.

Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.

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JC Lattès

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1968
1200 livres au catalogue dont 100 publiés par an
Nées en 1968, les Éditions J.C. Lattès ont rejoint le groupe Hachette en 1981. Elles éditent des romans (Amin Maalouf, Delphine de Vigan, Serge Bramly, Grégoire Delacourt), des documents (Pr. Muhammed Yunus, Pr. Luc Montagnier, Isabelle Filliozat), des biographies (Steve Jobs) ainsi que des ouvrages de littérature étrangère (Almudena Grandes, Lars Christensen, Dan Brown, Kate Mosse, Stephenie Meyer, James Patterson, E.L. James).
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TDO Editions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2004

En 2004, les éditions Terres d’Occitanie (TDO) voient le jour à Cabestany, du côté des Pyrénées-Orientales. Rapidement, nous optons pour la défense d’une catalogue régional, et choisissons de promouvoir les différentes identités implantées sur notre territoire, le Languedoc-Roussillon. Au fil des années, nous montons en gamme et commençons à nous développer plus loin de nos bases, jusqu’en Midi-Pyrénées. Avec la fusion des deux régions, l’Occitanie devient dès lors notre terrain de jeu et notre zone de diffusion-distribution. Très présents sur ce territoire, la présence de nos titres dans tous les lieux de vente du livre est une priorité et une réalité.

Basées à Perpignan (66) et à L’Isle-Jourdain (32), nos deux plate-forme de distribution permettent de couvrir parfaitement cet espace au pied des Pyrénées. Notre équipe éditoriale et nos commerciaux s’évertuent à faire connaître les auteurs du grand sud que nous publions, hors du sérail médiatique de l’Édition. Se revendiquant volontiers « régionalistes », nos romans sont un fervent appel à l’amour de nos contrées méridionales et à ses différentes cultures ou traditions.

De par son Histoire riche et foisonnante, notre région ne manque pas d’intérêt à tous points de vue. C’est ainsi que nous mettons en avant trois collections : Histoire du Sud, Terroir du Sud, Polars du Sud.

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Cabédita

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
L'existence des Editions Cabédita, fondées en 1987 par Eric Caboussat, est liée au souci de doter les régions d'un créneau littéraire consacré avant tout à l'histoire, à la mémoire, au patrimoine et aux traditions.
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mot et le reste (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996

Le mot pour dire le langage et le reste pour dire l’espace, le monde, le social. Mais c’est aussi le mot que confient les auteurs et l’éditeur s’applique au reste.

Créées en 1996 à Marseille par Yves Jolivet, les éditions Le mot et le reste publient environ vingt-cinq titres par an au sein de cinq collections. Les textes reflètent la volonté de fournir des éléments de réflexion sur le monde, de faire circuler des formes poétiques libres de tons, de faire entendre des voix nouvelles et singulières, d’introduire des questionnements esthétiques, le tout sans enfermement. Afin d’explorer ses multiples facettes, une même thématique peut être abordée au sein des différentes collections dans une intention de transversalité. Le lecteur est ainsi invité à s’aventurer au-delà des genres et dépasser les frontières usuelles entre le poétique et le politique, le document et l’esthétique.

Chacun des titres est défendu auprès des libraires, bibliothécaires, lieux de formations, sur Internet… afin qu’il puisse trouver ses lecteurs. Il est essentiel de créer une relation vivante entre le livre et les lecteurs, l’auteur et les lecteurs. Aussi, de nombreux temps d’échanges : rencontres, lectures, conférences… ont lieu tout au long de l’année.

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Ad Solem

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Ad Solem, « vers le Soleil » : un nom, un esprit aussi, résolument tourné vers la « Lumière qui éclaire tout homme» (Jn 1, 12). Depuis 1992, chaque livre veut à sa manière être un éclat, une étincelle pour faire rayonner le sens ; un espace pour permettre la rencontre de l’Autre à travers le chemin des mots. Rencontre par le biais de l’écriture, laquelle, comme une trace, atteste le passage de Celui qui ne se laisse découvrir qu’après coup, dans la distance. Pendant quelques instants, le temps de lire une ligne ou une page, le lecteur abandonne sa volonté propre pour suivre l’empreinte laissée par les mots sur la surface de la page. Moments de communion avec l’auteur, dont les mots veulent réveiller en nous «le désir de l’éternité inconnue sous la douceur des mots connus» (saint Grégoire le Grand). On ne ressort jamais le même de la lecture d’un livre. L’édition est un art : un savoir-faire qui doit communiquer un savoir-vivre. Le livre, pour Ad Solem, n’est pas un moyen parmi d’autres de transmettre savoir et sagesse. Si le codex a remplacé le volumen aux premiers siècles du christianisme, c’est que sa forme traduisait le contenu de la foi dont son apparition est solidaire. Au déroulement infiniment répété du rouleau a succédé l’arrêt sur la page, la fin de la ligne. A l’éternel retour a succédé la Nouvelle Alliance. Aujourd’hui, les textes se déroulent sur l’écran des ordinateurs. Le temps du nihilisme se traduit par la civilisation du rouleau numérique. Comment être «à la page» aujourd’hui si le livre est menacé sinon de disparition du moins d’une marginalisation croissante ? Peut-être en reprenant conscience de ce que livre n’existe pas sans un regard qui se pose sur la page. Avant d’être un objet, le livre est un verbe : il «se livre» au regard. Quelqu’un s’y donne. Mais dans un retrait. « Il se tait et les mots qui nous restent s’écartent peu à peu pour laisser passer entre eux son regard » (Jean-Pierre Lemaire).
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