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Maisons d'éditions similaires :
La maison brûlée
L'Association La Maison Brûlée a produit par le passé des spectacles de Catherine Gil Alcala, au sein de la Compagnie La Maison Brûlée, et lui a fait des commandes à l’écriture. Cet auteur dramatique a déjà écrit un ensemble de textes assez consistant, et il a paru légitime à l'Association de prolonger l’aventure en créant en 2015 sa propre marque éditoriale Éditions La Maison brûlée, pour publier les ouvrages.
Ce point d’ancrage est un tournant, les textes doivent s’arrimer à d’autres créateurs, créer du lien, et se faire connaître du public par la même occasion. Revue de presse Après les deux premières parutions en décembre 2015 et janvier 2016, il est prévu cinq autres titres dont les publications vont s'échelonner sur 2016 et 2017.
Pendant ce temps, Catherine Gil Alcala continue d’œuvrer pour sa création singulière. Certains textes ont donc été joués au théâtre, ou ont occasionné des performances. Des nouveaux textes vont également paraître, parmi lesquels de la poésie et un recueil de nouvelles dont la destination n’est pas directement liée à la scène.
Editions Alcyone
Atelier de l'Agneau
Carnets du Dessert de Lune
Fondées en 1995, Les Carnets du Dessert de Lune ont publié, sous divers formats, aphorismes, biographies expressionnistes, carnets de dessins, chroniques, contes et nouvelles, poésies, romans, recettes…
Plus de cent soixante titres sont ainsi sortis de cette maison, dont l’enseigne avait curieusement associé les mots de Carnet, Dessert et Lune. En 2005, quarante-six auteurs tentèrent d’en percer le mystère dans un ouvrage collectif au nom tout aussi mystérieux : Carnets du Dessert de lune à 46 pieds au-dessus du niveau de la mer du Nord.
En 2015, la maison d’édition venait fêter ses 20 ans à la FACTORIE / Maison de Poésie de Normandie. Moment émouvant avec les poètes qui avaient pu faire le déplacement et belle occasion d’arroser sans modération l’immense travail accompli par son créateur à la barbe blanche et au verbe haut Jean-Louis Massot.
Normal donc qu’au moment de transmettre le flambeau, la Factorie ait répondu sans hésitation. Oui, les normands étaient d’accord pour continuer. Oui, ils étaient tout feu tout flamme à l’idée de poursuivre une telle aventure. Oui, c’était un sacré catalogue. Oui le jeu en valait la chandelle. Oui, nous avions aussi une bonne bière en Normandie.
Et puis, rien d’anormal à ce qu’une Maison de Poésie (normande, certes, mais avec des accointances belges indubitables) porteuse de deux festivals, de spectacles de poche, de deux prix de poésie (prix CoPo et prix CoPo des lycéens) et dans laquelle viennent résider chaque année une trentaine de poètes, se dote d’une maison d’édition (et pas n’importe laquelle !).
En 2021 naissait donc une nouvelle association, domiciliée à la Factorie, reprenant tout d’abord le volet Poésie des carnets :
En juin 21 sortent donc les nouveaux recueils de poésie de la collection Pleine Lune
En novembre 22 la collection jeunesse reprend du service sous le nom de Petite Lune
En mars 2023 se pointe la collection Lune de Poche
En octobre 23, la collection de poésie européenne fait ses premiers pas ( titre provisoire : Commune Lune)
D’autres collections suivront (une collection audio, des livres objets, des poèmes affiches… ce ne sont pas les projets qui manquent !)
C’est également en 2021 que la diffusion et la distribution sont confiées en France à CEDIF et POLLEN. Côté belge, pas de changement puisque diffusion et distribution restent dans les mains de la Maison de Poésie d’Amay. Un lien que nous sommes heureux de maintenir.
Aiguille (Éditions de L')
Arfuyen
Les Éditions Arfuyen ont été créées par Gérard Pfister en 1975 et ont bénéficié depuis leur origine du soutien et de la participation de Philippe Delarbre, Marie-Hélène et William English et Alain Gouvret.
Elles sont aujourd’hui dirigées par Anne et Gérard Pfister. Arfuyen n’est pas et n’a jamais été un concept ou une doctrine. Arfuyen est un lieu, une place ouverte, un refuge quand menacent les hautes eaux.
C’est le nom d’une montagne, à Malaucène, face au Mont Ventoux, où se trouvait la bergerie qui servit longtemps de siège aux Éditions. C’est le nom de cette unique montagne, Ararat ou Sinaï, Arunachala, Athos ou Carmel, où, depuis l’origine des temps, se retrouvent les solitaires pour y chercher le ciel. Une utopie. Un vrai lieu. Le seul lieu.
Au Diable Vauvert
Créées à l’aube de l’an 2000 en Camargue gardoise, sur un modèle éditorial et une curiosité inspirés par Paul Ochakovski-Laurens, les éditions Au diable vauvert ont d’abord pour ambition de désenclaver les genres et faire reconnaître de nouvelles voix d’écrivains émergeant des pop-cultures, alors tout juste publiés en poche, comme Gaiman, Ayerdhal, Bordage, Morrow, Brite, Butler. S’étant fixé pour autre mission de défendre de jeunes français impertinents comme Nicolas Rey, Régis de Sà Moreira et Thomas Gunzig, sans oublier des précurseurs visionnaires comme Gibson et l’OVNI David Foster Wallace, acquis dès la création, les éditions Au diable vauvert revendiquent avec fierté depuis Jehan Rictus des voix faisant matériau littéraire du réel et de la langue vivante, en rupture avec tout académisme de style, ironiques, transfictionnelles et littérairement queer.
Bien vite les grands Welsh, Coupland et Dan O’Brien ont rejoint une maison créée pour les défendre au mieux, tout comme les nouvelles stars de l’imaginaire Bacigalupi et VanderMeer, les découvertes Hervier, Blanc-Gras, Monnery, Titiou Lecoq ou les poètes Felix Jousserand et Oxmo Puccino.
Contre vents et marais la maison a su, dans un secteur de plus en plus centralisé et concentré, poursuivre sans jamais rompre une politique unique au service de ses auteurs, faite de traductions énormes, de folies éditoriales, de succès et de rencontres qui furent autant d’aventures fondatrices, de Coralie Trinh Thi, Simon Casas, Wendy Delorme ou Nikki Gemmell à Jean-Paul Didierlaurent, et de Patrick Dewdney au succès de Juan Branco, parmi tant d’autres. Cette année de nos vingt ans, qui coïncidera justement avec celle du centenaire de Bukowski, rebelle symbole de jeunesse éternelle, devrait s’annoncer comme la plus riche en nouvelles voix et coups de théâtre, poésie comprise !
Allez au Diable, goûter ses libertés et ses irrévérences !
Isabelle Sauvage
Au départ, deux éditeurs, deux personnalités : Isabelle Sauvage et Alain Rebours, pour s’aider, se contredire, se compléter et s’enrichir… quatre petites mains pour le reste. Mais, jamais deux sans trois ?
Au 1er mars, Sarah Clément nous a rejoints, et comme deux plus un(e) égale trois, et que deux + deux + deux font six… petites mains…
Donc : Isabelle Sauvage : maîtrise d’histoire de l’art (médiévale), puis éditrice/relectrice en free-lance pour de nombreuses maisons d’édition (principalement de livres d’art ou catalogues d’expos, notamment pour le Jeu de Paume)… la typographie au plomb mobile apprise sur le tas dans un atelier de typographe-imprimeur (René Jeanne), puis un autre (Michael Caine), et c’est le premier livre d’artiste(s), puis l’achat de matériel typo, et la joie de retrouver et l’art et les mots, et la tête dans les doigts. Alain Rebours : un CAP de typographe tôt, très tôt, graphiste au fur et à mesure des années… métier qu’il transmet un temps à l’école Estienne…
Tardivement, un DEA de Lettres sur René Char, puis chargé de cours à l’université Paris VII… aujourd’hui éditeur et psychanalyste. Sarah Clément : longtemps assistante d’édition au Jeu de Paume, éditrice/relectrice en free-lance pour de nombreuses maisons d’édition (livres d’art ou catalogues d’expos)…
A fondé la librairie Interlignes à Limours (Essonne) qu’elle a tenue pendant 11 ans avant de s’installer en Bretagne, où commence sa nouvelle vie.
Busclats (éditions des)
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.