
Lombard: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Contact
Site Web
http://www.lelombard.com/Adresse
15-27, rue Moussorgski F, 75018 Paris FranceMaisons d'éditions similaires :
Marabout
Monde à l'envers (Le)
Le monde à l’envers, c'est l’association de quelques complices qui s'improvisent éditeurs pour diffuser des livres de critique sociale au-delà du cercle militant.
Éditer des livres, car nous croyons au pouvoir des idées plus qu’à l'idée de pouvoir. La diffusion d'idées politiques est l’un de nos moyens de bouleverser le monde.
Mesurer le possible, ou prendre conscience de nos forces. Pour changer le monde, il faut savoir que c’est possible. Le monde à l'envers documente, enrichit et critique les luttes contre le capitalisme, le patriarcat, la technologie, la police. L’ordre des choses n'est ni juste, ni naturel, ni éternel. Encore faut-il réussir à le changer.
Mesurer le possible, ou prendre la mesure des forces des adversaires. La conscience de la situation, aussi laide soit-elle, est nécessaire à sa transformation. Le monde à l’envers documente l’état du monde et de ses infrastructures en vue de sa subversion.
Le possible, dans ces temps de globalisation, semble de plus en plus imposé. Ça se passe chez nous, c’est à dire partout. Le monde à l'envers met en avant les aspects locaux d’une critique sociale globale car un ancrage territorial permet une emprise sur le monde.
Pour qu’un jour les possibles soient incommensurables.

Huginn & Muninn

Casterman
Michel Lafon

La Boîte à Bulles

Delcourt

Humanoïdes Associés (Les)
Allary
Pastèque (Éditions de la)
La Pastèque a reçu ses lettres patentes en juillet 1998 et sa première publication, Spoutnik 1, a été disponible en décembre de la même année. Mise sur pied par Frédéric Gauthier et Martin Brault, la maison d’édition a publié, à ce jour, plus de 230 titres.
C’est en écoutant une table ronde sur la bande dessinée québécoise au Salon du livre de Montréal en novembre 1997 que l’idée de fonder une maison d’édition nous est venue. Ce jour-là, nous avions eu droit au sempiternel constat pessimiste sur la BDQ. Nous avons eu alors envie de brasser la cage et d’insuffler un peu d’optimisme à cette morosité ambiante.
Nous voulions prendre le pari que les Québécois, comme les francophones d’Europe apprécieraient une bande dessinée plus personnelle, plus intimiste à l’instar de ce que L’Association par exemple, avait fait en France.
Nous voulions aussi réaliser le pari de rendre viable une structure d’édition spécialisée en bande dessinée au Québec.
Par nos lectures, nos rencontres et nos découvertes, nous sommes parvenus à établir une ligne directrice qui guide chacune de nos actions. Vingt ans plus tard, nous pensons avoir fait la preuve de notre réussite.