Losfeld (Joëlle): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Comité de lecture des Éditions Joëlle Losfeld5, rue Gaston-Gallimard
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Maisons d'éditions similaires :
Cours Toujours
Cours toujours Editions est une maison d’édition associative créée en février 2012 à l’initiative de Dominique Brisson, journaliste et écrivain.
Cours toujours s’intéresse au patrimoine vivant et naturel et est à l’affût des singularités du nord de la France, des modes de vie et des tendances d’hier et d’aujourd’hui.
Nous souhaitons concevoir et réaliser des livres de qualité, sur des sujets abordés de façon transversale, et en donnant une large part à l’illustration et aux témoignages des habitants de la région.
Récits de vie (L’Année du bouquet), miscellanées (Pomme de terre), nouvelles (Ma poule et Nos Jardins secrets), fictions pour enfants (D’eau douce) : chaque livre est fait « sur mesure », avec le souci du détail et le concours de professionnels de l’édition et des artistes en tentant de trouver un propos et une forme qui servent le sujet de manière originale et accessible à tous.
Enfin, Cours toujours aime jouer les passeurs et rencontrer les lecteurs (enfants et adultes) autour de chacun de ses livres : ateliers graphiques ou de lectures à voix haute, lectures publiques, lectures musicales et/ou dessinées, conférences, expositions des originaux des livres…
La maison d’édition dispose de l’agrément Education nationale.
Ex Aequo éditions
Larzac (Éditions du)
Qui nous sommes
Éditeur indépendant constitué en collectif d'auteurs et d'artistes, « Les éditions du Larzac » est le département éditorial de l'herbe sous le pied, association loi de 1901. L'herbe sous le pied a pour objet de promouvoir l'écologie.
Le collectif travaille de manière collégiale avec la direction éditoriale de la maison pour permettre la publication d'ouvrages — de fiction ou de documentaire — apportant leur contribution à la ligne éditoriale : « L'esprit écologique en récits dessinés ».
Ce que nous défendons
Face aux inconséquences de la civilisation industrielle et consumériste, au pouvoir hégémonique des marchés, à l'effondrement des écosystèmes et à l'aggravation abyssale des inégalités sociales, nous pensons la création littéraire comme un acte subversif capable d'infléchir la cadence.
Ainsi, nous nous engageons à publier et à défendre toute oeuvre provoquant, au moyen d'un récit, le désir d'un monde porteur de sens.
Pour anticiper un autre modèle de société et maintenir des liens de solidarité dans une culture de la résilience, nous recherchons les ouvrages inventeurs de nouvelles représentations et créateurs d'un nouvel imaginaire.
Digobar Editions
Steinkis
Materia Scritta
Arbre Vengeur
Algonquin Books
In 1983, Algonquin Books set up shop in a woodshed behind cofounder Louis Rubin’s Chapel Hill, NC, home. He and Shannon Ravenel founded Algonquin as an independent press devoted to publishing literary fiction and nonfiction by undiscovered writers, mostly from the South. And from its very first books Algonquin garnered national attention, with authors—including Julia Alvarez, Jill McCorkle, Robert Morgan, Larry Brown, and, later, Lee Smith—who earned great acclaim and devoted fans.
Acquired by Workman in 1989, Algonquin expanded to include offices in both New York City and Chapel Hill, while holding true to its founding principles to publish quality narrative work that stimulates, enriches, and entertains readers. Algonquin has earned international recognition with numerous bestsellers, in both fiction—including Sara Gruen’s Water for Elephants, Gabrielle Zevin’s The Storied Life of A. J. Fikry, B. A. Shapiro’s The Art Forger, and Robert Goolrick’s A Reliable Wife—and nonfiction, including Amy Stewart’s The Drunken Botanist and Richard Louv’s Last Child in the Woods. In 2013, Algonquin launched the Algonquin Young Readers imprint featuring middle grade and young adult books.
Rocher (Editions du)
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
Modalité d'envois
Nous ne lisons pas les manuscrits envoyés par e-mail ni les synopsis et descriptions de projets en cours.