Marchialy: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
L’histoire commence le 17 novembre 1703. Ce jour-là serait mort dans les geôles de la Bastille un dénommé Marchialy : nom de code donné au détenu dont la légende dit qu’il est le jumeau de Louis XIV. Le fait divers inspire la littérature, les journaux, le cinéma, et Marchialy devient “l’homme au masque de fer”. Une première étincelle pour la “creative nonfiction” avant l’heure, qui en fait notre figure tutélaire.
300 ans après, les Éditions Marchialy alimentent la flamme avec des histoires vraies au long cours, portées par une exigence littéraire : grands reportages aux frontières du roman d’aventure sur les traces de Jack London ou Joseph Kessel, enquêtes romancées influencées par De sang-froid de Truman Capote, héritage gonzo de Hunter S. Thompson, etc. Acuité du journaliste et savoir-faire du bonimenteur. Nos livres sont autant de témoins, de traces. De la littérature du réel.
Nous nous inscrivons aujourd’hui dans cette famille des éditeurs indépendants, pour qui le soin apporté à l’ouvrage compte autant que celui apporté au texte. Notre fabrication revendique aussi l’héritage de métiers traditionnels du livre : gravure, typographie. Nos textes sont édités en police Cheltenham, connue notamment pour son usage dans les titres du New York Times. Nos livres sont imprimés en France, sur les rotatives de l’imprimerie Corlet, à Condé-sur-Noireau (Basse-Normandie). Diffusés et distribués par Hamonia Mundi Livre, nos ouvrages sont disponibles dans toutes les bonnes librairies.
Contact
Site Web
http://editions-marchialy.frAdresse
Rue Jean Jacques Rousseau, 93100 Montreuil FranceMaisons d'éditions similaires :
La Veytizou
Le Passager Clandestin
Le passager clandestin publie des textes de critique sociale qui se rapportent notamment à l’écologie, à la décroissance, à la désobéissance civile... Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n'y aurait d'autre issue que de s'adapter. Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.
Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.
Outre la réédition de textes anciens, nous avons publié récemment le Petit livre noir des grands projets inutiles ; un essai consacré à l’Utopie du logiciel libre ; le Rapport Brazza, document historique inédit à ce jour sur les dégâts du colonialisme français au Congo au début du XXe siècle. Nous avons a également créé deux nouvelles collections en 2013 : une collection de science-fiction, « Dyschroniques », série de textes d’anticipation écrits vers le milieu du XXe siècle par des auteurs renommés dans le genre ; et la collection les « Précurseurs de la décroissance » dirigée par Serge Latouche.
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.
L'insomniaque éditions
Leha éditions
Leha, une jeune maison d’édition des littératures imaginaires pas comme les autres.
Un peu pompeux comme accroche ? Peut-être si vous ne nous connaissez pas encore, mais ce n’est pas l’esprit. L’esprit de Leha, c’est l’envie de donner un souffle nouveau et puissant à un genre littéraire qui tient à cœur à son équipe : l’imaginaire. Et pour cela, nous avons décidé de rompre avec les positionnements traditionnels en éditant aussi bien des romans que des guides de voyages (dans des mondes imaginaires bien sûr) ou des jeux de rôle. Notre volonté est de trouver des auteurs et des écrits d’excellence dans chacun de ces modes de narration et, quand cela a du sens, croiser ces univers créatifs. Par exemple transposer un roman dans un jeu de rôle, noveliser une bande dessinée et la transformer à cette occasion en jeu de rôle, inviter un auteur de jeu de rôle à écrire un guide de voyage ou un roman, etc…
Leha est très heureuse de constater que ce positionnement constitutif de son ADN fait l’objet depuis de quelques adaptations chez certains de ses éminentes consœurs.
Autre singularité dans son positionnement, dès le départ, Leha a choisi d’éditer des auteurs à tous les stades d’avancée de leur carrière : écrivain « star », débutant ou encore auteur talentueux déjà édité et en quête d’une meilleure visibilité auprès du public.
Cette approche singulière de Leha est expliquée par son éditeur dans le cadre d’interviews accordées dans les medias à son lancement en 2017.
Armand Colin
Ewing Publication
Ewing Publication est une filiale de la maison-mère Mason Ewing Corporation, elle-même basée aux États-Unis.
La société Ewing Publications est née des ambitions humanitaires et de la passion de Mason Ewing pour la culture et le partage.
Dans son enfance, il a fait l'expérience de la maltraitance dans sa chair et dans son esprit maltraité. La seule chose qui lui a permis de ne pas perdre pied, c'est la lecture. Il lisait beaucoup en cachette : des livres de jeunesse, des romans, des bandes dessinées et des revues.
Même quand plus tard, à l'âge de 14 ans, après un coma, il s'est retrouvé aveugle, Mason a été extrêmement heureux de trouver des livres en braille et en cassettes audio ; ce qui lui permis de continuer à assouvir sa passion.
Dans le monde, beaucoup d'enfants se retrouvent isolés. Mason est convaincu qu'on peut les aider, grâce aux livres, à s'épanouir malgré tout et à rêver.
Ouest-France
Elles jouent également un rôle notable dans le rayonnement culturel en se positionnant résolument comme la maison d'édition des régions de France.
Avec 200 nouveautés publiées par an et un catalogue de 1500 titres, elles travaillent avec plus de 2000 auteurs, tous spécialistes de leur domaine.
Spécialisées dans le tourisme, elles ont développé des collections histoire, patrimoine, cuisine, pratique, mer, nature, loisirs créatifs, architecture et beaux livres.
Champ Vallon
Elles sont animées par Patrick Beaune.
Elles publient chaque année une vingtaine de titres nouveaux dans les domaines des sciences humaines, de l’histoire et de l’histoire environnementale, de la littérature française, de la poésie et de la critique littéraire.
Les livres sont diffusés et distribués en France et en Belgique par Harmonia Mundi Livres, par Zoé en Suisse et Dimédia au Canada.