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Arbre Vengeur
Peter Lang
Le groupe d'édition Peter Lang possède plus de quarante ans d'expérience dans l'édition universitaire, avec une spécialisation dans les sciences humaines et sociales du monde entier. Plus de 1 800 titres sont publiés par le groupe chaque année. Le siège social du groupe, situé à Berne, en Suisse, constitue la plateforme de direction exécutive et de services marketing et de distribution du groupe, opérée en étroite collaboration avec les maisons d'édition installées à Berlin, Berne, Bruxelles, Oxford et New York avec le soutien de responsables d'édition des bureaux locaux de Vienna, Dublin, Warsaw et Istanbul.
Groupe d'édition agile et moderne actif dans plusieurs régions linguistiques, le groupe Peter Lang Group dispose d'une position de niche unique dans le secteur de l'édition : il se donne pour mission d'offrir des services d'édition de qualité à des institutions universitaires et académiques d'enseignement supérieur en vue d'assurer la diffusion dans le monde entier de résultats de recherche universitaire en utilisant les outils technologiques modernes.
Historique
En 1970, l’homme d’affaires suisse Peter Lang fonda à Francfort-sur-le Main Peter Lang GmbH qui devint rapidement une maison d’édition reconnue dans les sciences humaines et sociales. Au sein de l’entreprise de son père, l‘éditeur et libraire bernois Herbert Lang, il acquit un savoir-faire qu’il mit à profit, avec beaucoup d’initiative et de dynamisme, pour développer sa propre maison d’édition.
Il centra sa philosophie sur une dimension internationale ainsi que sur une relation étroite avec les auteurs, menant ainsi à la création de plusieurs bureaux éditoriaux dans des centres universitaires du monde entier. Aujourd’hui, le groupe éditorial Peter Lang comprend cinq bureaux éditoriaux autonomes à Berne, Bruxelles, Berlin, Oxford et New York, ainsi que de nombreux éditeurs associés et représentants dans le monde.
En 2001, après le décès de Peter Lang, le groupe éditorial fut légué à la fondation Peter Lang Children’s Trust qui reprit la responsabilité du groupe éditorial, conformément aux volontés de son fondateur. En 2015, des membres de la direction et du conseil d’administration rachetèrent l’entreprise au moyen d’un Management Buyout. Leur priorité est de préserver l’indépendance et le développement du groupe pour en faire un éditeur scientifique majeur, couvrant toute la palette moderne de publications : publications classiques imprimées, publications électroniques et Open Access. Le siège du groupe en Suisse centralise le marketing, la distribution et les ventes pour toutes les filiales du groupe.

Espaces 34
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.

Hatier
Terre de Brume
Créées à Paris en 1989, et installées en Bretagne depuis1991, les éditions Terre de Brume travaillent depuis près d'un quart de siècle sur les littératures de l’imaginaire et laissent, dans ce domaine, une large place à la Bretagne et aux pays celtiques.
Après avoir mis à la disposition du public, par le biais de collection comme la « Bibliothèque celte » , la « Bibliothèque arthurienne » ou « Petites Histoires de… », plus d’une centaine d’ouvrages sur les contes et légendes traditionnels de Bretagne et des pays celtiques des XIXe et XXe siècles, elles se sont intéressées aux textes fondateurs de la littérature fantastique dont les origines irlandaises — Bram Stoker, Lord Dunsany ou John Sheridan Le Fanu —, écossaises — Walter Scott, James Barrie ou John Buchan — ou galloises — Arthur Machen, John Cowper Powys ou Sax Rohmer — ne sont plus à démontrer.
Afin de compléter leur panorama des littératures de l’imaginaire, les éditions Terre de Brume ont créé un pôle science-fiction avec deux collections, Poussière d’étoiles et Terra incognita.
Plus récemment, enfin, est née une collection traitant de la sociologie des phénomènes étranges, Pulp Science.
Cet éventail permet ainsi aux éditions Terre de Brume de couvrir la totalité du spectre de cette littérature de genre, laboratoire des possibles, du conte traditionnel à la science-fiction…
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De plus, attentives à la forme autant qu’au fond, les éditons Terre de Brume ont également toujours cherché à faire de leurs ouvrages des objets de plaisir où graphisme, typographie, choix de papier se mêlent pour revêtir, au final, une importance cruciale, et faire du livre une entité cohérente et un bel objet chargé des émotions du créateur et, à terme, de son lecteur.
Pour ce faire, il y a plus de dix ans, elles ont fait appel à un studio de design indépendant, le Studio Paola Fava Design, qui développait une approche nouvelle et originale de cette profession, l’Éthique du design. Cette réflexion — où se combinaient philosophie, science de la vision, quête de l’identité et réflexion sur l’« être » du lecteur — a permis de développer des concepts peu usités dans le domaine de l’édition, comme les logo-titres qu’on a pu découvrir dans Écosse, le pays derrière les noms, Irlande,voyage intimiste ou Délicieuses Obsèques, de créer des collections entièrement graphiques comme « Pulp Science », « Petites Histoires de… », « Bibliothèque galicienne » ou encore notre logotype ainsi que le site internet de la maison…
Cette collaboration a permis de donner à la maison une cohérence accrue avec son projet éditorial.
Anne Carrière

Flamant noir éditions

Helium
