Poisson volant (le): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Le Poisson Volant est une maison d’édition spécialisée dans la traduction d'œuvres portugaises et brésiliennes, dont le but est de faire connaître des auteurs étrangers en France. Très impliqué dans la diffusion de la culture et de la littérature lusophones, Le Poisson Volant peut déjà compter sur la confiance de nombreux auteurs à succès dans leur pays.
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Maisons d'éditions similaires :

Salvator
Éditions universitaires de Dijon
leurs productions, proposent aujourd’hui un grand choix d’ouvrages au format numérique ePub. Cette offre étendue fait des EUD un leader de l’édition universitaire numérique.

Cairn (Editions)
Diateino
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
Le Tripode
Le Tripode est une maison d'édition de littératures au service d'auteurs dont elle admire la seule liberté possible : privilégier la sensibilité aux doctrines, le cheminement de l’imaginaire à l'immédiateté du discours.
Le lyrisme de Jacques Abeille, l'exigence de Robert Alexis, l’irrévérence d’Edgar Hilsenrath, l’iconoclasme d’Andrus Kivirähk, l'espièglerie de Jacques Roubaud, la virtuosité de Juan José Saer, le désir sans limite de Goliarda Sapienza, la rigueur de Jonathan Wable, la lucidité de Louis Wolfson ou encore la fantaisie de Fabienne Yvert?... voici quelques-uns des regards rassemblés ici qui, de façon salutaire, nous sortent de la marche ordinaire du monde.

Equateurs (Editions des)
Jacques André
… Merci de m’avoir suivi jusque chez moi. J’ai entrepris de faire repeindre ce site, de le rafraîchir pour mieux vous y accueillir. Prenez garde à la peinture fraîche et soyez indulgents.
Je reprends mon propos. A quoi sert un éditeur ? Un faiseur de livres ? Un « bookmaker » ? Le mot me paraît juste, puisque, chaque fois que l’on sort un nouveau titre, c’est un pari. Je vous pose la question, mais ce n’est pas à moi d’y répondre. C’est à vous de le faire. Moi, pour l’instant, je continue. Comme les libraires, comme les théâtreux, les musiciens, les danseurs. On s’accroche.
Evidemment, nous avons perdu quelques plumes au passage. Trésoreries effondrées, loyers à payer, avenir incertain, salons et festivals annulés ou reportés, mais peu importe. On perdure ! Dansons sur le volcan.
Pour y parvenir, nous allons évidement lâcher du lest et nous recentrer sur l’essentiel : promouvoir l’excellence, refuser la médiocrité, dire non aux gens à qui on aurait bien voulu faire plaisir, rehausser la barre, resserrer les rangs. En bon général au cœur de la bataille, nous n’hésiterons pas à renvoyer chez eux les lâches, les faibles et les touristes de la littérature. Les chiffres ne seront plus au rendez-vous, mais, maintenant, on s’en fout ! Moins de livres, mieux de littérature. C’est à ce prix-là que nous vaincrons notre véritable ennemi : l’indifférence.