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Espace Sèvre 12, boulevard Georges Pompidou, 44200 Nantes Cedex 9 FranceMaisons d'éditions similaires :
Artois Presses Université
Croisée des chemins (La)
Y rêver, y rire et y pleurer, garder le souci de l’âme et découvrir l’autre.
C’est ce que nous vous proposons.
Ouest-France
Elles jouent également un rôle notable dans le rayonnement culturel en se positionnant résolument comme la maison d'édition des régions de France.
Avec 200 nouveautés publiées par an et un catalogue de 1500 titres, elles travaillent avec plus de 2000 auteurs, tous spécialistes de leur domaine.
Spécialisées dans le tourisme, elles ont développé des collections histoire, patrimoine, cuisine, pratique, mer, nature, loisirs créatifs, architecture et beaux livres.
Eyrolles
Les Petits Matins
Fondées en 2005 par Olivier Szulzynger et Marie-Edith Alouf, les éditions Les petits matins publient des essais qui analysent les évolutions et les transformations de la société, particulièrement ses mutations écologiques et économiques. Du reportage à l’enquête, nourris de témoignages, nos livres abordent des thèmes aussi variés que les implications de la crise financière, les interrogations autour de la croissance, les dégâts environnementaux, le monde du travail, les nouvelles formes de militantisme, etc.
Nous publions également au sein de la collection « Les grands soirs », dirigée par Jérôme Mauche, des textes littéraires et poétiques qui allient recherche formelle et souci du réel, pour des expériences de lecture fantasque, durable, glamour et drôle.
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Anamosa
Anamosa se veut un espace d’expériences à la fois savant et populaire. Les ouvrages et les revues proposés relèvent de cette volonté : soigner le fond et la forme parce que la non-fiction peut être lue par tous… comme un roman.
Profondément ancré dans le monde contemporain et les questionnements multiples qu’il suscite, le projet d’anamosa est ainsi d’aborder ces derniers loin des doctrines qui cloisonnent et de l’immédiateté du discours qui peut enfermer.
Nos auteurs sont au centre de ces préoccupations : comment transmettre des savoirs pour aider à mieux comprendre les problématiques qui traversent nos sociétés, comment interroger les contradictions humaines, sans vouloir les résoudre à tout prix en ne négligeant aucunement le plaisir de l’écriture et de la lecture.
Chez les Sauks, une tribu amérindienne, anamosa signifie « tu marches avec moi ». Et c’est bien de cela qu’il s’agit : marcher ensemble, longtemps, au gré des livres, avec les auteurs, avec les libraires, avec les lecteurs.
Le Passeur éditeur
Fario (Éditions)
Depuis l’automne 2009, les éditions fario publient, aux côtés de la revue, des livres. Une première collection a vu le jour, inaugurée par un texte de Gustave Roud, Le repos du cavalier, suivi d’une étude de James Sacré, Aimé parmi les autres. Dans le sillage d’une revue, cette polyphonie fragile et éphémère, des lignes de force se dessinent, des corps de textes s’assemblent, des dilections naissent ou s’affirment. Gustave Roud est présent depuis le début.
Cette présence presque diaphane, son attachement à un lieu en même temps que ses errances de marcheur nocturne, son extrême attention au monde qui l’entoure tout autant qu’à l’invisible, l’éclat voilé et mélancolique de ses proses, l’accord tacite que celles-ci entretiennent avec le souvenir des morts, tout cela nous accompagne. Nous avons souhaité que le premier ouvrage publié autour de la revue soit de sa main. Notre catalogue s’est depuis élargi.
Pas davantage que les sommaires de la revue, il ne saurait être réduit à un quelconque programme ; il est ouvert à la littérature sous toutes ses formes, à la philosophie, à la critique sociale, aux arts. Les textes que nous publions reconnaissent leur dette envers la langue et envers le monde, ils sont d’un temps, d’un lieu, ils tentent, par des chemins divers de donner sens aux convulsions démentes de l’époque.
Notre attention à la matière du livre, à son enveloppe d’encre et de papier, vient affirmer que la lecture est une expérience entière, qu’elle implique ou entraîne une présence qui n’est pas que d’esprit, et qu’elle ne se consume pas dans la mouvante brillance des écrans.