Bruit du temps (Le): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Les éditions Le Bruit du temps ont été créées le 4 juin 2008 par Antoine Jaccottet et sa femme Shoshana Rappaport-Jaccottet.
Les premiers locaux étaient situés dans une charmante demeure familiale du XVIIIe siècle, au 62 rue du Cardinal Lemoine, anciennement rue des Fossés Saint-Victor. Au fond de la cour, la célèbre enceinte de Philippe-Auguste. Des fenêtres, vue sur la plaque indiquant que Valery Larbaud, poète, romancier, essayiste et traducteur, a habité en face, au 71, de 1919 à 1937, adresse à laquelle James Joyce a achevé le manuscrit d'Ulysse. De janvier 2014 à janvier 2020, Le Bruit du temps s'était installé à deux pas de porte, au 66 rue du Cardinal Lemoine, dans une boutique à devanture verte avec vitrine où ont eu lieu de nombreuses rencontres et lectures mémorables. Nous avons eu aussi la joie d'accueilir des expositions d'artistes amis des éditions : Jacques Bibonne, Claude Garache, Jean-Claude Hesselbarth, Anne-Marie Jaccottet, Gérard Macé, Sander Ort.
Contact
Site Web
https://www.lebruitdutemps.fr/Adresse
25, rue de la Grande Jeannerie, 50560 Gouville-sur-mer FranceSite Web
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25, rue de la Grande Jeannerie, 50560 Gouville-sur-mer France

Dépôt de manuscrits
Par internet:
contact@lebruitdutemps.frMaisons d'éditions similaires :
Gope éditions
Création en 2009, suite à une expérience de traduction et une volonté de partager avec le plus grand nombre possible un livre qui sortait de l’ordinaire (Trois autres Thaïlande).
L’existence des Éditions GOPE se justifie par le constat suivant :
- il y a des gens qui s’intéressent à l’Asie du Sud-Est et à ses littératures ;
- l’offre en livres concernant cette zone géographique est vraiment très limitée, tout aussi bien en ce qui concerne les genres proposés que la quantité ;
- l’offre existante en auteurs thaïlandais, malais, philippins et indonésiens est de bonne qualité, mais représente une goutte d’eau dans l’océan qu’est la production des gros éditeurs (même spécialisés) et elle manque cruellement de visibilité et de mise en contexte ;
- il existe en Asie du Sud-Est un vivier d’auteurs natifs ou expatriés qui, sans pouvoir prétendre au prix Nobel de littérature, n’en sont pas moins capables d’écrire correctement sur des sujets et/ou cadres qu’ils connaissent bien ;
- nous souhaitons faire partie des acteurs de la francophonie et contribuer à la présence du français en Asie du Sud-Est.
Michel de Maule
Créées en 1987, les Éditions Michel de Maule ont plus 30 ans.
Elles ont aujourd'hui 400 titres actifs réunis autour de 6 collections :
- Littérature française
- Littérature étrangère
- Histoire et Sciences sociales
- Musique
- Beaux-Livres
- Esthétique
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.

La Bouinotte
Oeil d'Or (L')
Maison fondée en décembre 1999, Œil d’Or fut rapidement qualifié d’éditeur spécialisé… en coups de cœur. Des monstres et prodiges et du Discours de la licorne, d’Ambroise Paré, avec ses 120 illustrations originelles aux mémoires de la danseuse américaine Loïe Fuller, Ma vie et la danse en passant par un dictionnaire de fruits, épices et légumes agrémentés de recettes et souvenirs d’enfance (Notre Méditerranée d’entre les mères), il est en effet difficile de classer les ouvrages de L’Œil d’Or dans un seul rayon.
Furieusement éclectique, elle traite aussi bien d’architecture et d’urbanisme que de littérature – publiant des romans américains ou des essais critiques – s’intéresse aussi bien qu’aux écrits du moyen-âge qu’aux mémoires contemporaines, et plus généralement aux formes inclassables.
Avouons toute même un goût pour la littérature américaine, l’architecture et l’urbanisme et surtout pour les arts de la scène – nous sommes ainsi une des rares maisons d’éditions à avoir publié des partitions choréologiques. L’ensemble de ces ouvrages partagent une présentation à l’iconographie (très souvent des gravures) soignée et sont tous imprimés sur papier FSC, avec de l’encre végétale, chez un imprimeur bénéficiant du label imprim’vert.

Mercure de France
Fondeurs de Briques (Les)
Voyages entre confins et confluents Depuis 2007, sous les auspices de l’écrivain qui se fit appeler B. Traven (et Ret Marut, Hal Croves, Torsvan…), le fondeur de briques originel, nous arpentons les fils du labyrinthe littéraire, privilégiant le vagabondage des courbes aux lignes droites, passant à travers le miroir des époques et des continents. Autant de coups de dés jetés vers les ailleurs, l’inconnu.
Ces voix qu’il nous paraît pertinent de faire résonner aujourd’hui comme du temps où elles ont été écrites, aux sons d’un luth ou d’une Fender. Des textes martelés tel le zapateado flamenco ; ou confiés et déposés comme des offrandes au centre de l’arène. « Les choses restent.
Les idées s’en vont. Voilà pourquoi la réalité n’existe pas. » Soyons du côté des Indiens. Restons ardents de découvertes.
« I slept as I dreamed of a long time ago I saw an army of rebels dancing on air I dreamed as I slept, I could see the camp fires A song of a battle that was born in the flames And the rebels were waltzing on air. » The Clash

Allia

BPI du Centre Pompidou
