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Maisons d'éditions similaires :
Connaissances et Savoirs
Connaissances et Savoirs offre la possibilité aux universitaires de publier leurs projets d’étude et leurs recherches : thèses, mémoires…
Amyris Editions
La Musardine
Notre histoire
Aux origines de la Musardine, il y a Média 1000, label de littérature érotique exploité depuis 1980 par Hachette. En 1995, Claude Bard quitte le groupe et décide d’exploiter Média 1000 en créant sa propre maison d’édition. Ainsi naît la Musardine, qui étoffera rapidement son catalogue en l’ouvrant à toutes les formes littéraires.
Nos métiers
La librairie la Musardine (122 rue du Chemin Vert à Paris) est créée en même temps que la maison d’édition éponyme, en 1996, et propose l’essentiel de la production érotique disponible en France : fiction, essais, BD, beaux-livres, revues spécialisées et autres raretés font rapidement la réputation de la boutique, en parallèle de laquelle se développe un système de ventes par correspondance efficace et performant.
Nos livres
Côté édition, La Musardine célèbre l’érotisme, la sexualité et l’amour sous toutes les formes du livre : la littérature, d’Esparbec à Octavie Delvaux, avec nos différents labels et collections de fiction (« Lectures amoureuses de Jean-Jacques Pauvert », « Osez 20 histoires », les romans Média 1000 et Sabine Fournier), les guides sexos avec l’incontournable collection « Osez », les essais de « L’Attrape Corps » et autres documents sur la sexualité d’aujourd’hui, sans oublier la BD sous le label Dynamite … Chaque année La Musardine et ses différents labels publient une cinquantaine d’ouvrages.
Nos valeurs
La Musardine assume sans complexe une politique éditoriale frondeuse et militante. Convaincu que l’évolution des mœurs passe aussi par le livre, elle porte sans rougir le flambeau de la sexualité libre et décomplexée sans craindre de se heurter aux cerbères de la morale et de la bienpensance. De la pédagogie coquine des guides « Osez » aux pamphlets engagés en passant par les brûlots pornographiques aptes à choquer le bourgeois, La Musardine et ses auteurs mènent le combat sur tous les fronts !
Béliveau éditeur
C’est avec une immense fierté et un très grand plaisir que je vous accueille sur le site BÉLIVEAU Éditeur! Notre maison d’édition publie, à la base, des livres, mais j’ai toujours pensé que nous publions aussi des auteurs! Ils sont, bien sûr, nos partenaires d’affaires, mais j’aime les considérer aussi comme mes amis! Pouvoir partager avec eux de façon très privilégiée leurs connaissances, leur vécu, leurs expériences, et être en mesure de vous offrir les fruits de leur recherche est une grande satisfaction pour moi.
Depuis 1975, la maison nous a fait parcourir plusieurs sujets. D’abord, sous la bannière des Éditions Sciences et Culture (ESC), nous avons présenté plusieurs ouvrages en sciences pures (mathématiques, physique et chimie), qui étaient les sujets favoris du fondateur, Michel Béliveau.
Puis, au fil des ans, avec la nouvelle orientation de la maison et un changement de nom commercial pour Béliveau Éditeur nous nous sommes tournés vers les ouvrages de croissance personnelle, de motivation et de recouvrance, ainsi que vers des volumes en psychoéducation, en sciences humaines et sociales, en fiscalité, et plus encore.
Nos ouvrages sur le mieux-être se différencient des autres, grâce à : un langage clair et direct;une facilité de lecture;des exercices, des conseils, des solutions… qui vous mèneront vers des résultats directs et rapides, et vous apporteront des heures agréables afin de vivre un cheminement tout en douceur. De nombreux auteurs québécois, conférenciers, coachs professionnels se sont joints à nous depuis quelques années, dont Marcia Pilote, Anick Lapratte, Alain Samson, Eudoxie Adopo, Kim Rusk, Annabelle Boyer, Geneviève Desautels, Pascale Dufresne, France Hutchison, Bill Marchesin, Marilyne Petit, Hélène Meloche, Pascale Piquet, Francine Bourbeau, Marie-Pierre Chaumont, Philippe Bertrand Richard, Pierre Senez, Chantal Brault, Christian Alain, Vincent Fournier, Yannick Pagé, Rachel Graveline, Carl Potvin, Isabelle Lefebvre, Maryse Audet, Mélissa Malboeuf, Julie Brassard, Chantale Mercier, Johanne Brouillette, Serge Larochelle, Dominic Gagnon, Linda Cusson, Véronique Berthiaume, Christine Dubois et plusieurs autres.
Et nous continuons de publier les ouvrages de recherche en psychoéducation d’auteurs de renom, tels ceux de Gilles Gendreau, de Pierre Potvin, de Daniel Puskas, de Jocelyne Pronovost, de Marcel Renou, ainsi que de plusieurs intervenants du Centre jeunesse de Montréal et d’autres en lien avec l’université du Québec à Trois-Rivières.
De plus, n’oubliez pas la populaire série Bouillon de poulet pour l’âme s’est enrichie avec Bouillon de poulet pour l’âme des Québécois. Si vous avez besoin d’un petit remontant pour votre âme, ces histoires vraies sont la lecture tout indiquée pour vous remonter le moral et réchauffer votre cœur.
J’espère que vous saurez trouver les ouvrages qui répondront à vos besoins, que ceux-ci soient d’ordre professionnel, pour un mieux-être ou pour une simple détente.
Le Temps Présent
1937 – 1940 : fondation
Août 1937 : le journal dominicain Sept, créé en 1934, dont le sous-titre est « l’hebdomadaire du temps présent », est condamné par le Vatican suite à la parution de deux articles : un entretien avec Léon Blum et une critique de Franco.
En réaction à cette interdiction, François MAURIAC et Jacques MARITAIN obtiennent de l’épiscopat français l’autorisation de faire paraître un hebdomadaire dirigé par des laïcs : Temps Présent.
5 novembre 1937 : premier numéro de Temps Présent, dont le rédacteur en chef est Stanislas Fumet.
On trouvera, parmi les signatures importantes :
Hubert BEUVE-MÉRY, le père Marie-Dominique CHENU, DANIEL-ROPS, Joseph FOLLIET, Stanislas FUMET, Georges HOURDIN, Gabriel MARCEL, Jacques MARITAIN, Louis MASSIGNON, René SCHWOB
François MAURIAC publie chaque semaine un « billet » en première page.
Si la ligne éditoriale est hostile au communisme et à la Russie soviétique, la dénonciation du nazisme et du fascisme est plus vigoureuse encore. Dans son autobiographie Histoire de Dieu dans ma vie, Stanislas FUMET écrit à ce propos :
« Personnellement, je n’assimilais pas l’idéal communiste à l’idéal fasciste, et surtout à l’idéal national-socialiste, pour ce que, dans le communisme, s’il se trompe sur la notion de l’âme humaine qu’il reste incapable de connaître, je vois un but à atteindre, qui est un idéal de justice, tandis que dans les totalitarismes nazi et fasciste il ne s’agit que d’un idéal d’injustice. »
Le tirage moyen du journal est de 30 000 exemplaires.
1940 – 1944 : Résistance
12 Avril 1940 : publication d’un article du colonel Charles DE GAULLE, « La guerre des engins », où ce dernier expose ses conceptions militaires, alors rejetées par l’état-major.
De GAULLE faisait partie des « Amis de Temps Présent », une association animée entre autres par Maurice SCHUMANN, qui soutient et diffuse le journal, et constituera un vivier de recrues pour la Résistance.
14 juin 1940 : le journal cesse de paraître.
20 décembre 1940 : À Lyon, encouragé, entre autres, par le cardinal GERLIER et les Jésuites de Fourvière, Stanislas FUMET fait renaître Temps Présent sous le titre Temps Nouveau, définitivement interdit en août 1941. Les locaux, rue de Constantine, sont un carrefour de la Résistance. Stanislas FUMET y organise notamment la rencontre entre Henri FRENAY, chef du réseau Combat, et Pierre CHAILLET : le premier aidera le second à fonder la revue clandestine des Cahiers du Témoignage Chrétien.
À Paris, Ella SAUVAGEOT, administratrice du journal depuis sa création, s’efforce de faire survivre la société Temps Présent et ses locaux du 68 rue de Babylone, dans le 7e arrondissement. Ces derniers accueillent des réunions clandestines du Conseil National de la Résistance.
1944 – 1947 : croissance et divisions
25 août 1944 : le journal paraît à nouveau.
Le tirage monte à 60 000 exemplaires en 1944 et jusqu’à 110 000 exemplaires en 1945.
Départ de Jacques MARITAIN, nommé ambassadeur de France auprès du Saint-Siège, et de François MAURIAC, passé au Figaro. Arrivée d’Hubert BEUVE-MÉRY, nommé rédacteur en chef, avant de fonder Le Monde. Il continuera à publier une chronique de politique extérieure sous son pseudonyme Sirius.
En 1945, Temps Présent lance l’hebdomadaire la Vie Catholique Illustrée (devenu la Vie) dont il confie la direction à deux journalistes membres de sa rédaction depuis 1937, Georges HOURDIN et Joseph FOLLIET.
La ligne éditoriale se veut alors indépendante de l’Église catholique, suite à l’attitude des évêques français pendant l’Occupation. Elle prône un socialisme humaniste et le maintien de l’unité réalisée dans la Résistance, notamment avec les communistes. Mais la rédaction, partagée entre démocrates chrétiens, gaullistes et progressistes, finit par se diviser autour de cette question. C’est sans doute une des raisons de l’arrêt de sa parution.
16 mai 1947 : dernier numéro de l’hebdomadaire Temps Présent.
Depuis 1947 : mouvements et édition
1950 : le bimensuel la Quinzaine, initié par Ella SAUVAGEOT et dirigé par Jacques CHATAGNER, succède à Temps Présent.
1955 : la Quinzaine est condamnée par l’Église pour son soutien aux prêtres ouvriers. Elle décide de cesser la parution.
1955 – 1992 : plusieurs titres succèdent à la Quinzaine : le Bulletin, Lettre, Il est une foi.
Dans les années 1990, le siège de Temps Présent, demeuré au 68 rue de Babylone, accueille des mouvements en désaccord avec le repli identitaire de l’Église catholique qui a suivi les espoirs nés avec Vatican II : Nous sommes aussi l’Église (NSAE), Droits et liberté dans les Églises (DLE), Femmes et hommes en Église (FHE)… Des mouvements qui sont nés ou qui ont pris de l’ampleur après que l’évêque d’Évreux, Jacques GAILLOT, a été déchargé de ses fonctions en 1995.
Février 1999 : sous l’impulsion de Jacques CHATAGNER, création de la Fédération Réseaux du Parvis qui rassemble quatorze de ces mouvements et leurs déclinaisons locales (dont David et Jonathan, Plein Jour, Évreux sans frontières…), et co-édition, avec Temps Présent, de la revue les Réseaux des Parvis.
2009 : Temps Présent se lance dans l’édition de livres, au croisement des questions religieuses, politiques et sociales.
Rocher (Editions du)
Plon
Souffle d'Or (Le)
Après avoir passé plus de 20 ans à Barret-sur-Méouge, un village rural de basse montagne de 250 habitants, le Souffle d’Or a transféré ses bureaux et entrepôts à Gap, préfecture des Hautes Alpes. Yves Michel, gérant de la société, joue au jour le jour son rôle d’éditeur précurseur éclairé et rigoureux. Avec le soutien de la Région Provence Alpes Côte d'Azur, de la commune, de la Poste et des partenaires des environs, Le Souffle d’Or est un acteur de développement local. Son équipe est composée à ce jour de 6 personnes.
Le Souffle d’Or est avant tout une maison d’édition indépendante de tout groupe financier et de tout groupe de pensée. Le Souffle d’Or est reconnu pour être précurseur, ouvert, non dogmatique et rigoureux dans sa démarche. Tous les concepts et outils proposés doivent pouvoir être débattus, et apporter des changements dans la vie quotidienne des lecteurs.

Le Pommier
