Annuaire d' éditeur / A plus d'un titre
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A plus d'un titre

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2005
49 livres au catalogue
Fondée à Lyon en 2005, la maison d’édition est restée jusqu’en 2010 fortement liée aux activités de la librairie À plus d’un titre sur les quais de Saône. Elle s’est implantée en Savoie, dans le Parc de la Chartreuse. Elle invente, entre montagne et ville, une structure ouverte à tous les paysages… humains ou poétiques. Sa volonté d’alterner littérature et poésie, essais et témoignages, sociologie et histoire, dessine une mosaïque de six collections sans fermer la ligne éditoriale à d’autres ouvrages.

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Adresse

La Curiaz, 73360 La Bauche
France

Dépôt de manuscrits

Par voie postale:

Service des manuscrits
La Curiaz
73360 La Bauche
France

Maisons d'éditions similaires :

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Echo des vagues (L')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2012

A l’origine des éditions l’écho des vagues, il y eut une librairie éponyme fondée à Rouen en 2004. D’abord située rue Alsace-Lorraine, puis rue des Boucheries Saint-Ouen à l’ombre de l’abbatiale, près du Robec, la librairie était spécialisée dans le fonds normand, l’histoire et l’archéologie.

En parallèle, la librairie s’était, dès 2009, lancée dans l’édition. Aujourd’hui, ce sont plus de vingt-cinq titres qui auront été publiés.

Fin 2012, la librairie cessait son activité et les éditions l’écho des vagues volaient de leurs propres ailes.

Poursuivant leur parcours éditorial, les éditions l’écho des vagues travaillent à la mise en valeur de l’histoire et du patrimoine régional en proposant des ouvrages aux thématiques inédites ou renouvelées.

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Cabédita

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
L'existence des Editions Cabédita, fondées en 1987 par Eric Caboussat, est liée au souci de doter les régions d'un créneau littéraire consacré avant tout à l'histoire, à la mémoire, au patrimoine et aux traditions.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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INED

Maison d'édition à compte d'éditeur
Les Éditions de l'Ined existent depuis 1945, date de la création de l'Institut national d'études démographiques de Paris. Spécialisées dans l'étude des populations avec une approche ouverte de la démographie, les publications de l'Ined mobilisent un large éventail de disciplines comme l'économie, l'histoire, la géographie, la sociologie, l'anthropologie, la biologie, l'épidémiologie. Les Éditions de l'Ined diffusent leur catalogue à l'international, que ce soit leurs collections d'ouvrages en français, ou celle en anglais Ined Population Studies (publiée chez Springer). Elles traduisent et publient en français et en anglais la revue trimestrielle
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La Bouinotte

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1982
La Bouinotte, en Berrichon, c’est une petite ouverture murale, symbole du regard original que le trio fondateur du magazine voulait porter sur le Berry, suivant une idée de Léandre Boizeau, en 1982. Aujourd'hui, c'est une maison d'édition passionnée par sa région. Elle édite un magazine trimestriel du même nom, consacré au Berry, et publie une dizaine de livres par an, romans, récits et livres thématiques.
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Contrejour

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975

De 1975 à 1995, en deux décennies, les éditions Contrejour fondées par Claude Nori marquèrent la photographie Française et européenne en contribuant à faire émerger une nouvelle génération de photographes, à redonner une place privilégiée aux maîtres oubliés et à ouvrir enfin une réflexion critique sur la photographie conçue à la fois comme une certaine philosophie et un art ouvert aux autres moyens d’expressions.

Soutenues par une galerie à Montparnasse et un journal trimestriel militant, les éditions Contrejour à travers de nombreuses collections utilisèrent l’espace créatif du livre comme un langage autonome afin d’affirmer la prédominance de l’auteur par la mise en pages, l’impression et l’apport de textes autobiographiques.
Dans un environnement éditorial et institutionnel particulièrement désertique, Contrejour mit en place une politique efficace pour assurer la promotion des photographes à travers des expositions et des manifestations afin d’assurer le succès commercial de ses livres qui touchèrent un public toujours plus nombreux de passionnés.
Outre une série de livres de poche proposés à un prix accessible lancée dès 1975, Contrejour publia les premières monographies de Jeanloup Sieff, Robert Doisneau, Willy Ronis, Sabine Weiss, Sebastião Salgado, Pierre et Gilles, Claude Dityvon, Bernard Plossu, ou encore Gilles Peress.
Suivirent des essais historiques et critiques avec des ouvrages sur La photographie humaniste 1930-1960 –histoire d’un mouvement en France– par Marie de Thézy, La photographie créative de Jean Claude Lemagny, une Histoire de la photographie Française de Claude Nori ainsi que Photo Actuelle en France qui réunit en 1976, 1978 et 1980 les photographes émergents de la décennie.

Avec plus de 170 livres publiés et les revues Les Cahiers de la Photographie et Camera International, Contrejour joua le rôle de véritable forum auprès des jeunes auteurs et contribua pleinement à l’éclosion de la photographie française telle que nous la connaissons aujourd’hui.

En 2011, les nouvelles éditions Contrejour reparaissaient dans un paysage éditorial totalement différent, concurrentiel, international où l’image est largement institutionnalisée et médiatisée à travers le marché de l’art, les expositions et les festivals.

Dirigées depuis Biarritz par Isabelle et Claude Nori, elles s’attachent à offrir un environnement privilégié et un cadre créatif aux auteurs, à leur proposer des outils techniques et d’impressions de grande qualité.

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Mon Limousin (éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2018
30 livres au catalogue dont 15 publiés par an

Maison d'édition à compte d'éditeur, les éditions Mon Limousin défendent les richesses du territoire dans une région Nouvelle-Aquitaine ouverte sur le large...

Littérature / Patrimoine / Histoire / Arts

Tout texte en rapport avec la région (Creuse, Corrèze, Haute-Vienne, mais aussi Dordogne, Cantal, Charente...) OU d'auteurs originaires du Limousin.

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Carmel (Éditions du)

Maison d'édition à compte d'éditeur
L'activité des Éditions du Carmel se répartit en deux pôles. D'une part l'édition de livres et de revues : nous les concevons, les mettons en page et suivons leur impression. D'autre part, la vente des livres que nous éditons et des ouvrages concernant le Carmel et la spiritualité chrétienne.
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Hoëbeke

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1984
250 livres au catalogue dont 25 publiés par an
Les Éditions Hoëbeke sont nées en 1984. Elles font immédiatement appel au graphiste Massin qui dessinera la plupart des livres de la maison et donnera une idée de permanence à l'ensemble. Leur premier livre est consacré au dessinateur Peynet, l'auteur des Amoureux. Ce sera un best-seller comme, quelques années plus tard, les livres de Samivel, de Doisneau ou de Pierre Dubois.
Ce premier titre annonçait la ligne éditoriale de la maison : élargir la notion de beaux-arts au graphisme, à la publicité, à l'illustration, aux dessins de presse, à la photographie et au-delà même des catégories établies. Bel exemple également que l'exceptionnel et historique ouvrage d'Hervé Di Rosa, L’Art modeste.
Mais la maison garde aussi une place à part dans son catalogue pour les ouvrages de Pierre Dubois : la Grande Encyclopédie des lutins, la Grande Encyclopédie des fées ...  qui ont précédé (ou annoncé) l'engouement pour le monde féerique avant de devenir des classiques et la référence internationale dans le monde du merveilleux et du légendaire (beaucoup copié, jamais égalé !).
Dans le domaine littéraire, les deux collections «Retour à la montagne» et «Destins de montagne» réunissent les meilleurs écrivains et plus grandes histoires de l'altitude.
«Étonnants voyageurs», la collection du festival éponyme de Saint-Malo, dirigée par Michel Le Bris, revendique une littérature aventureuse, voyageuse, ouverte sur le monde et soucieuse de le dire. Ou quand les écrivains redécouvrent le monde.
Bousculer les catégories, fouiller dans le passé comme dans le présent, éditer mais aussi créer, renouveler les genres, marier les expressions, raconter l'histoire autrement, rester libre, vous surprendre, renouveler vos plaisirs, vous faire voyager, vous étonner et vous rappeler, on l'espère, quelques bonheurs de l'enfance.
Lionel Hoëbeke
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Éditions des Régionalismes

Maison d'édition à compte d'éditeur


Un catalogue de plus de 1.400 titres, sous les labels REGIONALISMES et PRNG, dont les axes éditoriaux sont les suivants : 

• histoires “régionales” des pays et provinces de France (Gascogne, Périgord, Languedoc, Quercy, Provence, Dauphiné, Savoie, Poitou, Saintonge, Angoumois, Touraine, Maine, Anjou, Orléanais, Berry, Bretagne, Normandie, Picardie, Flandre, Artois, Ile-de-France, Auvergne, Lyonnais, Bourgogne, Franche-Comté, Champagne, Alsace et Lorraine). 

• littérature "régionaliste", littérature de "terroir", littérature générale ancrée dans un "pays", contes & légendes des pays de France, folklore 

• redécouverte de livres anciens épuisés sur ces domaines 

• littérature gasconne, occitane, provençale, limousine, auvergnate en français et en oc ; littérature populaire en poitevin et saintongeais ;

• apprentissage des langues d'oc (dictionnaires, grammaires, méthodes) ;

• histoire du pyrénéisme et de l'alpinisme, récits de montagne (Alpes, Pyrénées) ; 

• beaux-livres sur les îles de l'Atlantique et de la Manche (coll. "Visitons...") ;

• topo-guides de randonnées dans les Pyrénées, les Alpes (PRNG) ;

• récits de voyages anciens ou contemporains ; pèlerinages ; histoires et récits de marins, pirates, flibustiers ; maritima (PRNG) ;

• histoire du Premier Empire et du Second Empire (PRNG) ;

• uchronie (l'utopie dans l'histoire) et science-fiction "historique" du XIXe et de la première moitié du XXe siècle (PRNG) ;

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