Acrodacrolivres (Éditions): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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http://acrodacrolivres.be/Adresse
21, rue du Tienne, 1495 Tilly (Villers-la-Ville) BelgiqueSite Web
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21, rue du Tienne, 1495 Tilly (Villers-la-Ville) BelgiqueMaisons d'éditions similaires :
Quidam éditeur
Quidam éditeur a été créé par Pascal Arnaud à Meudon (Hauts-de-Seine) en 2002, sous le signe du curieux personnage d'Arzach, dessin offert par Moebius pour devenir le logo de la maison, conséquence d'une interview sur une radio libre menée par Pascal Arnaud auparavant.
La maison accède progressivement à une certaine notoriété, se signalant par son opiniâtreté dans la recherche d'auteurs "à part", tant français qu'étrangers, et obtient une réelle reconnaissance publique, notamment en tant qu'éditeur de B.S. Johnson et de la biographie que lui consacre Jonathan Coe.
La maison d'édition rencontre des difficultés en 2011-2013, durant laquelle un ouvrage devra notamment être produit en souscription, mais surmonte cette crise et repart de l'avant dès 2014, grâce notamment à la solidarité des lecteurs et des libraires.
Interrogé en 2014 sur ce qui l'a poussé à cette création, Pascal Arnaud répond : « Un faisceau de circonstances : une mort, une naissance à venir, un dessin de Moebius, un coup de pied au cul symbolique, l’autodidacte cet animal, l’envie d’être étonné, l’envie d’étonner, le fantasme peut-il prendre corps, le goût du risque enfin, tenter de faire grand (de sens) avec rien (no pépètes) ».
La démarche d'édition est principalement volontariste, l'éditeur mentionnant n'avoir en quatorze ans publié que cinq textes reçus par la poste, soit environ 10 % de son catalogue français (ces envois acceptés étant les romans de Philippe Annocque, Denis Decourchelle, Pierre Terzian, Romain Verger et Catherine Ysmal).
La maison a publié 17 ouvrages durant ses cinq premières années (2002-2006), 46 durant les cinq suivantes (2007-2011) et 26 entre 2012 et 2016.
Wikipedia
Méli Mélo Editions
Femmes (Editions des)
Editions Maïa
Les Éditions Heptade
Chaque jour, notre maison d'édition continue à acquérir une solide réputation en tant que pilier de la scène littéraire à Lubumbashi. Nous avons publié une variété de genres, des romans aux recueils de poésie, en passant par des ouvrages de non-fiction. Chaque publication est le fruit d'une collaboration étroite entre l'auteur et notre équipe engagée de professionnels de l'édition, de correcteurs et de designers.
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
Desclée de Brouwer
Les Éditions Desclée de Brouwer ont été fondées en 1877 à Bruges (Belgique) par Henri Desclée (1830-1917), industriel belge pionnier du gaz d'éclairage, à l'origine de la fondation de l'abbaye de Maredsous et du couvent des Clarisses de Roubaix, et par Alphonse de Brouwer (1850-1937), propriétaire d'une mégisserie appelée « Jean-Baptiste de Brouwer et Cie » (qui deviendra en 1883 l'imprimerie « Desclée, de Brouwer et Cie »), dans le but de promouvoir la culture chrétienne.
Dans les années 1930, cette maison d'édition s'installe à Paris tout en conservant son site en Belgique2. Elle défend alors une position libérale, sa filiale argentine diffusant ainsi les idées de Jacques Maritain malgré une forte opposition national-catholique3.
En 1982, DDB est rachetée par le groupe de publication La Vie, devenu entre temps propriété du groupe Le Monde.
En 2006, Le Monde revend DDB à l'éditeur suisse Parole et Silence, spécialisé dans la spiritualité chrétienne. DDB publie également des ouvrages de spiritualité (marquée par un « christianisme d'ouverture »), de sciences humaines et des essais4.
En 2009, DDB reprend les éditions du Rocher5 et, en 2011, les Éditions François-Xavier de Guibert.
Le 9 octobre 2012, DDB et Le Rocher sont placées en redressement judiciaire6
Le 19 mars 2014 DDB obtient la signature d'un plan de continuation présenté par les nouveaux actionnaires issus des Éditions Artège7, avec le soutien de Ernesto Rossi di Montelera. Marc et Sabine Larrivé conservent, eux, les Éditions Parole et Silence.
Presses de la Cité
Au fil de son catalogue, riche en auteurs de best-sellers internationaux – Jonas Jonasson, Danielle Steel, Elizabeth George, Mo Hayder, John Connolly –, de nouvelles voix – Hallgrímur Helgason, Hannah Kent, Fredrik Backman, Justin St-Germain, Angelika Klüssendorf, Emmi Itaranta – et d'auteurs oubliés – Ernst Haffner, Hans Herbert Grimm, Grace Metalious, Jacqueline Susann –, Les Presses de la Cité vous invitent à lire le monde entier. Du suspense au roman féminin, du roman d'aventure au thriller psychologique, du témoignage au roman d'anticipation, Les Presses de la Cité, ce sont des histoires pour frémir, sourire, rêver, s'interroger avec la promesse de redécouvrir le plaisir de lire.
Dans le domaine français, Michel Bussi, premier auteur français de polars et deuxième auteur français le plus lu en 2016, la collection Terres de France au succès jamais démenti et aux auteurs incontournables tels Christian Laborie, Daniel Cario, Françoise Bourdon, Jean-Paul Malaval, Jean Anglade, Hervé Jaouen, Elise Fischer, … ainsi que la série des aventures du commissaire Dupin en Bretagne, plébiscitée en Allemagne et dans de nombreux pays, sous la plume de Jean-Luc Bannalec. Les Presses de la Cité domaine français publient par ailleurs des documents, et développent une nouvelle collection en partenariat avec L’Express.
Lurlure
Elles publient, à raison de cinq à sept titres par an, des ouvrages d’art, de littérature et de théorie, textes contemporains ou rééditions de textes devenus introuvables.
Lurlure ? Un mot d’argot que l’on pourrait traduire par l’expression “Ni fait, ni à faire”… Par clin d’œil, l’exact contraire du soin et de la rigueur que nous apportons à chaque livre que nous publions.