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AFA

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1979

L’Association Française des Anthropologues a été fondée en mai 1979 à la suite du colloque « Situation et avenir de l’anthropologie » (avril 1977). Elle s’est donné pour objet de « promouvoir le développement de l’anthropologie et des relations entre les anthropologues, informer le public sur l’anthropologie, représenter l’ethnologie française dans les instances internationales, éclairer les anthropologues sur leurs responsabilités ». Depuis plus d’une décennie, elle tente d’adapter son action au contexte créé par l’arrivée de nombreux jeunes chercheurs sans statut sur le marché de l’emploi et aux tensions qui travaillent le champ disciplinaire.

L’Association Française des Anthropologues est aujourd’hui la seule l’association professionnelle d’anthropologues qui édite une revue, le Journal des Anthropologues. Elle est aussi celle qui compte le plus d’adhérents. Ces derniers résident non seulement en Europe mais aussi dans les pays francophones d’Afrique, d’Amérique ou d’Asie.

L’AFA organise régulièrement des manifestations scientifiques de différents type : séminaires, tables ronde, colloques. Depuis 2007 elle anime périodiquement des « Rencontres-ethnologie » en collaboration avec une librairie parisienne dans la perspective d’ouvrir l’anthropologie à un public plus large.

L’Association est également membre fondateur du Conseil mondial des associations d’anthropologie (depuis 2004).
L’AFA a participé à l’organisation des Assises de l’anthropologie et de l’ethnologie en France en décembre 2007 et à la création de l’Association Française d’anthropologie et d’ethnologie en janvier 2009, dans le but de fédérer les initiatives et de tisser des synergies entre l’ensemble du tissu associatif concernant notre discipline.

Contact

Adresse

18/20 rue Robert Schuman, 94227 Charenton-le-pont
France

Dépôt de manuscrits

Mise à jour le 07/04/21 17:07 :
AFA n'accepte aucun nouveau manuscrit.
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Maisons d'éditions similaires :

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Centre national de la danse

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1999
60 livres au catalogue dont
Approches esthétiques, recherches historiques, réflexions théoriques, méthodes pédagogiques, sources iconographiques, écrits d’artistes : les éditions du Centre national de la danse offrent, à travers six collections principales, une grande diversité d’éclairages sur l’art chorégraphique, les personnalités, les pensées et les pratiques de la danse. Depuis 1999, ce sont plus de soixante livres que le Centre national de la danse a édité ou coédité dans les domaines de la création artistique et du patrimoine, de la recherche savante et de la pédagogie, de la production de repères et de la transmission de savoirs pratiques. Certains de ces ouvrages sont disponibles à la fois en édition papier et numérique.
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Étoile du Matin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2018
1 livres au catalogue dont
Maison d'édition de livres chrétiens
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Attribut (Éditions de l')

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2004

Fondées à Toulouse en 2004, les Éditions de l’Attribut se sont données pour objectif de traiter les enjeux de l’art et de la culture sous forme de livres accessibles aux personnes qui s’intéressent à ces sujets sans en être forcément des spécialistes.

Nourrir les débats sur l’art et la culture, les aborder comme de véritables questions de société (l’éducation artistique, la démocratisation culturelle, la révolution Internet, la médiation, l’économie coopérative…) et reformuler les enjeux contemporains des politiques culturelles, tels sont les perspectives de cette maison d’édition qui œuvre pour une dimension citoyenne de la culture.

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COMCOM Ile de Ré

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Codhos

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001

Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.

Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.

Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.

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Ecole nationale des chartes

Maison d'édition à compte d'éditeur

L'École nationale des chartes publie sous forme imprimée et numérique cinq collections d’ouvrages :

- les Mémoires et documents de l'École des chartes, collection qui remonte à 1896 et qui accueille des monographies et des ouvrages collectifs d’envergure, au premier rang desquels des thèses d’anciens élèves de l’École des chartes
- les Études et rencontres de l'École des chartes, collection lancée en 1998, qui accueille avant tout les actes de journées d’études ou de rencontres scientifiques
- les Matériaux pour l'histoire, collection inaugurée en 1996 et constituée de volumes in-4° abondamment illustrés
- les Études et documents pour une Gallia Pontificia, collection coéditée par l'École nationale des chartes et l'Institut historique allemand de Paris depuis 2009 pour présenter les travaux réalisés dans le cadre de la Gallia Pontificia, entreprise scientifique qui se propose de recenser, publier et étudier les actes pontificaux concernant la France antérieurs à 1198
- Magister, collection qui propose des ouvrages de référence dans les domaines qui constituent le cœur des spécialités de l'École : ecdotique, archivistique, diplomatique, paléographie, codicologie, philologie, archéologie, histoire de l’art. Ces manuels, élaborés par les professeurs et enseignants-chercheurs de l’École, s’adressent aux étudiants ainsi qu’à tous ceux qui souhaitent s’initier à ces disciplines

À ces collections, s’ajoute une publication périodique liée à l’activité de formation de l’École des chartes :

les Positions des thèses soutenues par les élèves pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe publiées annuellement par l'École des chartes depuis 1849 ; elles sont intégralement disponibles en ligne depuis 2000 et répertoriées depuis 1849.

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Amis de Réfractions (Les)

Maison d'édition à compte d'éditeur
La revue Réfractions propose depuis 15 ans une réflexion sur la situation sociale, politique et culturelle, et sur la manière dont les théories et les pratiques anarchistes pourraient l’influencer.
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Cercle association

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2012
12 livres au catalogue dont 2 publiés par an
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Bohin Jean-Luc (auto-édition)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2015
20 livres au catalogue dont 2 publiés par an
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Centro editoriale Valtortiano

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1985

Le Centro Editoriale Valtortiano (CEV) a été constitué en 1985 par Emilio Pisani, fils de Michele Pisani (1896-1965), premier éditeur de Maria Valtorta (1897-1961).

Selon les termes de l’acte constitutif du CEV, “son but spécifique et prioritaire est de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux.

Sa personne, par la recherche historique et documentaire, les recueils des témoignages, la garde des objets lui ayant appartenu, la protection de son nom et de sa mémoire, les démarches visant à la faire connaître dans les domaines civil, culturel et ecclésial.

Ses écrits, par la presse et la diffusion des œuvres littéraires et de toute documentation soit celle laissée par Maria Valtorta elle-même, soit celle qui serait fournie par d’autres concernant sa personne, en italien et en d’autres langues.

Ses idéaux et sa spiritualité, par le moyen de la divulgation de l’instruction religieuse, notamment scripturaire dans l’esprit catholique”.

Le siège du CEV est à Isola del Liri, une agréable localité de l’Italie centrale, qui doit son nom au fleuve Liri. Celui-ci partage ses eaux en amont d’un ancien château, se jette ensuite en deux cascades dans la vallée, pour réunir en aval ses deux cours d’eau qui ont embrassé au passage le noyau du village.

Les eaux du fleuve ont favorisé le développement des usines de papier que, au début du XIXe s., des entrepreneurs français, venus à la suite de Joachim Murat, nommé roi de Naples par Napoleon Bonaparte, ont voulu installer sur le territoire de Isola del Liri.

Le lieu devint un des centres européens les plus importants de l’industrie du papier, et fut amplifié par la suite par la technique industrielle de la papeterie et du feutre.

Au siècle suivant s’y développa aussi, avec la production littéraire, une typographie éditrice, spécialisée surtout dans la presse catholique pour les Instituts religieux et les Congrégations romaines.

C’est ainsi qu’il a été possible à Michele Pisani, son propriétaire, de prendre connaissance des manuscrits de Maria Valtorta et de s’en constituer l’éditeur courageux.

Ce fut le départ du Cev: la branche valtortienne d’une entreprise éditoriale, qui devint un arbre…

Le CEV, compté en Italie parmi les éditeurs qui chaque année remportent le prix du Ministère pour les Biens de Culture en raison de ses exportations de livres, a obtenu en outre, plusieur fois, le prix de la Culture de la Présidence du Conseil des Ministres.

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