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Maisons d'éditions similaires :
Docéo Éditions
Docéo Éditions SAS.
Spécialiste de l'édition de manuels scolaires adaptés aux établissements professionnels et technologiques agricoles.
Fort de son expérience dans le domaine de l'agriculture, Docéo propose des ouvrages pour les BAC PRO de l'Éducation Nationale.
Centre national de la danse
CAPC Musée Art Bordeaux
AFRHC
Outre sa revue 1895, l'AFRHC publie chaque année des ouvrages consacrés à l'histoire du cinéma. Ces publications sont réparties dans quatre collections :
- Histoire culturelle, technique, économique et sociale
- Textes, Correspondances et Archives
- Monographies
- Études régionales
Les publications de l’AFRHC
La première activité de l’AFRHC est de publier chaque année trois numéros de sa revue 1895 revue d’histoire du cinéma, des numéros spéciaux thématiques ou liés à un évènement particulier. L’AFRHC soutient également l’édition de travaux concernant l’histoire du cinéma, ses méthodes, ses outils. Ses publications privilégient les recherches les plus récentes en historiographie et histoire du cinéma ainsi que l’édition, le réimpression et/ou la traduction de textes, archives et correspondances rares.
Cahiers du cinéma
L'histoire des Cahiers est en partie liée avec celle du « septième art », notamment en raison d'une génération de cinéphiles enthousiastes et provocateurs qui donnèrent naissance à la Nouvelle Vague, en instaurant préalablement la politique des auteurs.
Créés en 1951 par Joseph-Marie Lo Duca, Jacques Doniol-Valcroze et André Bazin, avec un soutien économique de Léonide Keigel, les Cahiers succèdent à La Revue du cinéma de Jean George Auriol qui a cessé de paraître en octobre 1949 et dont Doniol et Bazin étaient les collaborateurs. La couverture comme le contenu restent dans le même esprit. Le titre du magazine est proposé par Doniol-Valcroze le 10 février 1951, qui a tout d'abord du mal à convaincre Bazin et Keigel. Les titres les plus envisagés étaient Cinématographe, Du cinéma ou Objectif. Le nom de Cahiers est validé même si des membres sont dubitatifs, pour risque de confusion avec les Cahiers de la Pléiade (qui cessèrent de paraître en 1952) et les Cahiers de la Quinzaine.
Les jeunes cinéphiles, Jean-Luc Godard, François Truffaut, Éric Rohmer, Jacques Rivette, Claude Chabrol et bien d'autres, y écrivent leurs premières critiques, avant de devenir cinéastes.
Wikipédia
Ecole nationale des chartes
L'École nationale des chartes publie sous forme imprimée et numérique cinq collections d’ouvrages :
- les Mémoires et documents de l'École des chartes, collection qui remonte à 1896 et qui accueille des monographies et des ouvrages collectifs d’envergure, au premier rang desquels des thèses d’anciens élèves de l’École des chartes
- les Études et rencontres de l'École des chartes, collection lancée en 1998, qui accueille avant tout les actes de journées d’études ou de rencontres scientifiques
- les Matériaux pour l'histoire, collection inaugurée en 1996 et constituée de volumes in-4° abondamment illustrés
- les Études et documents pour une Gallia Pontificia, collection coéditée par l'École nationale des chartes et l'Institut historique allemand de Paris depuis 2009 pour présenter les travaux réalisés dans le cadre de la Gallia Pontificia, entreprise scientifique qui se propose de recenser, publier et étudier les actes pontificaux concernant la France antérieurs à 1198
- Magister, collection qui propose des ouvrages de référence dans les domaines qui constituent le cœur des spécialités de l'École : ecdotique, archivistique, diplomatique, paléographie, codicologie, philologie, archéologie, histoire de l’art. Ces manuels, élaborés par les professeurs et enseignants-chercheurs de l’École, s’adressent aux étudiants ainsi qu’à tous ceux qui souhaitent s’initier à ces disciplines
À ces collections, s’ajoute une publication périodique liée à l’activité de formation de l’École des chartes :
les Positions des thèses soutenues par les élèves pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe publiées annuellement par l'École des chartes depuis 1849 ; elles sont intégralement disponibles en ligne depuis 2000 et répertoriées depuis 1849.
Gallmeister
Centro editoriale Valtortiano
Le Centro Editoriale Valtortiano (CEV) a été constitué en 1985 par Emilio Pisani, fils de Michele Pisani (1896-1965), premier éditeur de Maria Valtorta (1897-1961).
Selon les termes de l’acte constitutif du CEV, “son but spécifique et prioritaire est de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux.
Sa personne, par la recherche historique et documentaire, les recueils des témoignages, la garde des objets lui ayant appartenu, la protection de son nom et de sa mémoire, les démarches visant à la faire connaître dans les domaines civil, culturel et ecclésial.
Ses écrits, par la presse et la diffusion des œuvres littéraires et de toute documentation soit celle laissée par Maria Valtorta elle-même, soit celle qui serait fournie par d’autres concernant sa personne, en italien et en d’autres langues.
Ses idéaux et sa spiritualité, par le moyen de la divulgation de l’instruction religieuse, notamment scripturaire dans l’esprit catholique”.
Le siège du CEV est à Isola del Liri, une agréable localité de l’Italie centrale, qui doit son nom au fleuve Liri. Celui-ci partage ses eaux en amont d’un ancien château, se jette ensuite en deux cascades dans la vallée, pour réunir en aval ses deux cours d’eau qui ont embrassé au passage le noyau du village.
Les eaux du fleuve ont favorisé le développement des usines de papier que, au début du XIXe s., des entrepreneurs français, venus à la suite de Joachim Murat, nommé roi de Naples par Napoleon Bonaparte, ont voulu installer sur le territoire de Isola del Liri.
Le lieu devint un des centres européens les plus importants de l’industrie du papier, et fut amplifié par la suite par la technique industrielle de la papeterie et du feutre.
Au siècle suivant s’y développa aussi, avec la production littéraire, une typographie éditrice, spécialisée surtout dans la presse catholique pour les Instituts religieux et les Congrégations romaines.
C’est ainsi qu’il a été possible à Michele Pisani, son propriétaire, de prendre connaissance des manuscrits de Maria Valtorta et de s’en constituer l’éditeur courageux.
Ce fut le départ du Cev: la branche valtortienne d’une entreprise éditoriale, qui devint un arbre…
Le CEV, compté en Italie parmi les éditeurs qui chaque année remportent le prix du Ministère pour les Biens de Culture en raison de ses exportations de livres, a obtenu en outre, plusieur fois, le prix de la Culture de la Présidence du Conseil des Ministres.
Codhos
Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.
Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.
Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.