Art3 Galerie Plessis: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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1, rue Affre, 44000 Nantes FranceMaisons d'éditions similaires :
Palette (éditions)
Des livres d'art pour la jeunesse : éveil, documentaires, activités...
Aujourd’hui, Palette, c’est plus de 120 titres, près d’un million de livres vendus dans le monde. Des ouvrages lus, nous l’espérons, avec beaucoup de bonheur, par des milliers d’enfants qui se plongent dans les œuvres, s'impregnent de toutes les formes de création, pour devenir des adultes éclairés.
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.
Bord de l'eau (Le)
Galilée
Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).
Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.
La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).
Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).
Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).
À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;
En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…
Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.
BIS Publishers
BIS Publishers is consistently looking for new thoughts, methods and technique that stimulate creativity in its broadest scope. Founded in 1985, the Amsterdam-based publishing house creates outstanding books for students, professionals, change makers and creative minds.
BIS cover fields across the creative arts and -business, such as creative thinking, design thinking, architecture and advertising. Its line of gifts and games reflects BIS' taste for and well-designed and smart items.
BIS Publishers is exclusive distributor of Laurence King Publishing in The Netherlands and Belgium.
Atelier galerie éditions
ateliergaleriéditions ne se contente pas d’éditer, elle accompagne les auteurs et propose des mises en pages qui sauront mettre en valeur l’ouvrage tout en captivant le lecteur.
Nous réalisons également des livres d’artistes, numérotés, signés, fait d’une manière artisanale, entièrement à la main, diffusés par des galeries, des salons ou chez les plasticiens eux-mêmes, là où les collectionneurs et les bibliophiles recherchent une signature, une estampe ou des éditions limitées d’ouvrages.
Une œuvre d’art originale ne veut pas forcément dire œuvre unique : la sculpture, l’estampe, la photographie, éditée, tirée à plusieurs exemplaires reste une œuvre originale.
C’est sous le contrôle de l’artiste que vont être travaillées et éditées les estampes numériques en tirage limité, numérotées et signées. Celles-ci sont réalisées avec des encres pigmentées haute résistance, sur papier sans acide pour une meilleure conservation dans le temps.
Droz
Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.
II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.
Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.
L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.
Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.
Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.
Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.
Belles Lettres
Flammarion