Art3 Galerie Plessis: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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1, rue Affre, 44000 Nantes FranceSite Web
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1, rue Affre, 44000 Nantes FranceMaisons d'éditions similaires :
Les Petits Matins
Fondées en 2005 par Olivier Szulzynger et Marie-Edith Alouf, les éditions Les petits matins publient des essais qui analysent les évolutions et les transformations de la société, particulièrement ses mutations écologiques et économiques. Du reportage à l’enquête, nourris de témoignages, nos livres abordent des thèmes aussi variés que les implications de la crise financière, les interrogations autour de la croissance, les dégâts environnementaux, le monde du travail, les nouvelles formes de militantisme, etc.
Nous publions également au sein de la collection « Les grands soirs », dirigée par Jérôme Mauche, des textes littéraires et poétiques qui allient recherche formelle et souci du réel, pour des expériences de lecture fantasque, durable, glamour et drôle.
Art&fiction
a&f publications se situe depuis 2012 comme une référence romande en matière de livres par, pour et à propos des artistes suisses. Nous cultivons le «made in Switzerland», à travers notre travail graphique, notre imprimeur au Tessin, et cette obsession du bel objet qui nous accompagne depuis toujours.
Largement diffusé dans plus de 300 librairies en Suisse, France et Belgique, le travail de notre équipe documente la scène culturelle, ses artistes, collectifs, lieux d’art ou institutions.
Depuis 2012, art&fiction publications a réalisé des ouvrages pour des espaces d’art (CACY, Fondation Louis Moret, La Placette, Les Urbaines), pour des musées (Musée des beaux-arts de La Chaux-de-Fonds, MCBA Lausanne, Musée d’art du Valais à Sion) et a créé une collection dédiée aux arts de la scène en collaboration avec Vidy-Lausanne.
Nous avons documenté des collections institutionnelles comme le FMAC à Genève et la Collection d’art de la Ville de Lausanne. Nous publions des ouvrages issus des écoles d’art (HEAD, Genève et EDHEA, Sierre). Nous rendons compte de l’activité d’artistes et de curateur·trice·s indépendant·e·s (Karine Tissot, Marco Costantini, Benoît Antille, Federica Martini, Alain Weber), initions une série de photobooks et ouvrons bientôt une collection dédiées aux portraits.

Bord de l'eau (Le)
Bernard Chauveau édition
Gisserot (Editions)
Les Éditions Gisserot ont été fondées en 1988 par le Brestois Jean-Paul Gisserot.
Né en 1938, Jean-Paul Gisserot est ingénieur de construction aéronautique de formation. Après un bref passage dans la publicité, il devient éditeur dans un premier temps en dirigeant des maisons spécialisées dans la littérature jeunesse. En 1975, il fonde les Éditions Ouest-France pour le groupe de presse rennais du même nom. Il en fera le premier éditeur en région avant de quitter le groupe en fin 1986 pour diriger le département « Éducation » de Fernand Nathan. En 1988, outre la SA Éditions Jean-Paul Gisserot, il fonde les Éditions Sud-Ouest pour le groupe de presse bordelais du même nom. Il dirigera cette maison jusqu’en 2000.
Les activités commerciales demeurent gérées par leur filiale, TéléGiss Distribution, déjà installée dans le Finistère depuis 2000. L’ensemble, comptant 10 salariés ETP aujourd’hui, en fait l’une des toutes premières entreprises d’édition de livres de la région Bretagne.
Les activités d’édition et de direction, employant trois personnes, ont été rattachées au siège des Éditions, transféré de Paris à Quintin, dans les Côtes d’Armor, en 2019.
Avec plus de 1700 titres publiés à leur actif, les Éditions Gisserot éditent des ouvrages de vulgarisation sur l’Histoire, l’Histoire de l’art, le Patrimoine culturel et la Nature. Elles proposent par ailleurs de larges collections en vie pratique (cuisine, santé, loisirs nature) et de nombreux ouvrages destinés à la jeunesse (littérature et documentaires).
Nombre de leurs livres d’histoire et d’histoire de l’art sont sur la liste de lecture des étudiants des universités. Les Éditions Gisserot cherchent, tant par le prix abordable de leurs livres que par un souci d’offrir des textes de qualité (écrits par les meilleurs spécialistes des sujets traités mais à la portée du grand public), à proposer des ouvrages à la portée du plus grand nombre.
Cinquième Couche (La)
La Cinquième Couche est une maison d'édition belge indépendante. La Cinquième Couche, dite aussi 5c, publie essentiellement de la bande dessinée depuis 1993.
Fondée par un groupe d'auteurs de l'atelier de bande dessinée de l'Institut Saint-Luc de Bruxelles (Damien Rocour, Sarah Masson, Michel Squarci, Sibylle Loof, Olivier Fable, Vincent Dutreuil, Nicholas Wood, Sébastien Kempenaers, Christophe Poot, Renaud De Heyn et Xavier Löwenthal), elle demeure jusqu'à la fin des années 1990, un groupe informel qui auto-publie ses productions. Ce n'est qu'au tournant des années 2000 qu'elle devient une réelle structure d'édition. Elle est actuellement pilotée par William Henne.
Cinq collections ont été créées : F., Extracteur, écritures, ESSAIM et Point métal.
En 2016, le catalogue compte 110 publications (5 revues publiées entre 1993 et 1998 et le reste publié à partir de 1999), par une soixantaine d’auteurs, provenant d’une dizaine de pays différents (Belgique, France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Grèce, Finlande, États-Unis, Corée…)
La 5e Couche n’a jamais clairement définit sa ligne éditoriale a priori, sinon qu’en redéfinissant sans cesse son média, elle inscrit la bande dessinée dans les pratiques contemporaines (Tout ce qui frôle la bande dessinée et tend à l’en éloigner intéresse la 5e Couche, extrait du catalogue). Cependant, on peut dégager une tendance lourde en survolant le catalogue de l’éditeur : l’approche conceptuelle. Les publications procèdent majoritairement d’un dispositif narratif ou graphique d’ordre ludique, spéculatif, théorique, poétique ou auto-référentiel, qui préside au propos de l’auteur. Alors certes ce sont des dispositifs que l’on pourra trouver ailleurs (que ce soit en bande dessinée, en littérature ou dans les arts visuels), mais il y a incontestablement, dans les choix du comité éditorial, une inclination jubilatoire pour les jeux sur le langage et les codes visuels : les détournements, les mises en abîme, les structures narratives renversées et/ou systématiques, le jeu sur les contraintes, la déconstruction du récit, la parodie, les postulats surréalistes (poétiques, insolites, absurdes), la déconstruction de l’image, le rapport texte/image dissocié, l’abstraction, le récit métaphorique, la structure musicale, l'imposture,... Tous ces dispositifs formels n’oblitèrent pas les propos de leurs auteurs, au contraire, ils les réactivent : en abordant un thème, déjà mille fois traité, sous une forme renouvelée ou inusitée, l’auteur met en avant son sujet, qu’il soit politique, autobiographique, philosophique ou social.
Cette inclination conceptuelle et ludique n’escamote pas non plus les préoccupations formelles purement rétiniennes des auteurs : couleur, matière, techniques, texture, forme, dessin, composition… (ce sont des aspects traditionnels et modernistes déjà très présents chez d’autres éditeurs, y compris plus classiques).
De même que La 5e Couche participe d’une tendance générale de ces dernières décennies, le décloisonnement. Les livres publiés par la 5C sont pour la plupart à la lisière de la bande dessinée. Les auteurs publiés investissent le plus souvent d’autres disciplines et cela se répercute sur leur pratique de la bande dessinée : le théâtre, la performance et l’installation, la musique, la peinture, la sculpture, le graphisme, la sérigraphie, le cinéma d’animation et la vidéo, le dessin contemporain, la photo, l’affiche, la littérature,… (cet aspect n’est pas forcément spécifique à La 5e Couche et se retrouve chez de nombreux auteurs publiés ailleurs).
Quelques épisodes marquant ont jalonné l’histoire de la 5C : de 2004 à 2007, elle a repris à son catalogue la revue de littérature contemporaine écritures. De 2010 à 2013, elle a publié également la revue "Soldes, Fins de Séries", de Marc Borgers et Jean-Louis Sbille. Elle a été l'éditeur de la Bande dessinée Katz, détournement controversé de Maus, de Art Spiegelman, dans lequel l'auteur anonyme (Ilan Manouach) avait remplacé toutes les têtes des différentes espèces représentées par des têtes de chats. La 5e Couche est aussi l'éditeur de Judith Forest, succès de la bande dessinée féminine, en réalité une imposture littéraire de ses éditeurs de l’époque, William Henne, Xavier Löwenthal et Thomas Boivin.
Texte du catalogue : La bande dessinée est une forme contemporaine parmi d'autres.5C la tient en haute estime, elle et ses lecteurs. Tout ce qui frôle la bande dessinée intéresse La 5e Couche et tend à l’en éloigner. Son champ d’action est, par définition, poreux et illimité. Il ne serait pas étonnant de trouver, parmi ses livres, un précis d’urbanisme tatare ou de dodécaphonisme bantou, pourvu qu’ils s’articulent. Deux images / photos / mots etc. peuvent suffire à établir une articulation narrative. 5C montre. Du jamais vu, jamais comme ça, s’il en est.
5C agence. 5C fomente les conditions qui rendent la création possible. 5C n’a pas de cible. Son manifeste, ce sont ses livres.
Dès l’origine, le sens fusait de toutes parts. Parce que le sens n’est pas dans l’ordre des causes et des conséquences jusqu’au dénouement. Parce que le sens n’est pas dans l’élucidation. Comme un robot privé de sa fonction : il est inutile et libre. 5C aujourd’hui, c’est un catalogue de plus de vingt ans de publications, depuis les expériences collectives du groupe initial jusqu’aux livres d’aujourd’hui. Vous le tenez entre vos mains.
Silvana Editoriale
C’est en 1948 que Amilcare Pizzi a fondé Silvana Editoriale (ainsi appelée en souvenir de sa fille Silvana, prématurément disparue en 1944) et a ensuite développé avec rigueur et passion les activités de la maison d’édition en publiant des ouvrages de très grande qualité.
Mentionnons les « Cartelle Silvana » (comme Masaccio, Beato Angelico, Piero della Francesca, Michel-Ange, Léonard et Raphaël), qui ont vu le jour à l’occasion du premier congrès de l’UNESCO, organisé à Beyrouth en 1949, et la « Collezione UNESCO dell’arte mondiale », créée en 1954, également pour cette institution. À ces deux premières collections se sont ajoutées « Mito del colore », « Monografie », « Pochoir » et « Arte Moderna », dans laquelle a été publiée la première édition italienne en trois volumes des lettres de Vincent Van Gogh.
Parmi les monographies, signalons en particulier le livre consacré aux fresques de Mantegna dans la chapelle Ovetari de l’église des Érémitiques de Padoue, le seul document existant réalisé par les techniciens de la société Amilcare Pizzi spa en mars 1944, quelques jours avant que la chapelle ne soit détruite par les bombardements ; le livre de Mina Gregori sur Giacomo Ceruti (1982) ; la monographie de Carlo Bertelli sur Piero della Francesca (1991) ; Gesta dipinte. La grande decorazione nelle dimore italiane dal Quattrocento al Seicento de Julian Kliemann (1993, lauréat du deuxième prix Amilcare Pizzi).
La maison d’édition s’est employée pendant des décennies à valoriser le dessin italien, en créant une collection inaugurée avec I grandi disegni italiani dell’Albertina di Vienna (1972) de Walter Koschatzky, Konrad Oberhuber et Eckhart Knab, auquel s’ajouteront plus tard Raffaello. Il Cartone per la Scuola di Atene (1972) de Konrad Oberhuber et Lamberto Vitali, et I disegni del Codice Resta (1979) de Giulio Bora. Cette collection prendra fin avec le volume annuel édité en 2005.
En ce qui concerne les coéditions dans le domaine de la photographie et de l’art contemporain, nous tenons à signaler les albums photographiques de William Klein Mosca et Tokyo (1964) et, parmi les ouvrages monographiques, la première monographie sur Francis Bacon (1966), l’œuvre complet de Marino Marini (1971, avec 50 exemplaires de luxe numérotés en coffret avec eau-forte) et le livre sur Calder, issu de la collaboration de H. Harvard Arnason et Ugo Mulas (1971).
Parmi les nombreux catalogues d’exposition, mentionnons en particulier ceux de Franco Russoli sur Picasso (1953), de Charles Terrasse sur Pierre Bonnard (1955), de Renata Cipriani et Giovanni Testori sur les Pittori della realtà in Lombardia (1953), de Roberto Longhi sur l’Arte lombarda dai Visconti agli Sforza (1958), de Massimo Pallottino sur la Mostra dell’arte e della civiltà etrusca (1955), de Mario Bussagli sur l’Influsso classico ed iranico sull’arte dell’Asia Centrale (1956), sans oublier l’ensemble du corpus des catalogues des expositions (11) à l’occasion des manifestations pour le cinq-centième anniversaire de la mort de Laurent de Médicis (1992).
Dans le domaine de l’art contemporain, rappelons la collaboration avec le PAC – Pavillon d’Art Contemporain de Milan, qui a donné lieu à la publication des catalogues sur Luciano Fabro de Germano Celant (1980), sur Lella et Massimo Vignelli (1980) et Lluís Domènech i Montaner (1980), sur les Origini dell’Astrattismo (1979), Alik Cavaliere. I luoghi circostanti (1992) de Guido Ballo, et Afro. Dipinti 1931-1975 (1992) de Luciano Caramel, tous les trois pour le Palais Royal de Milan, ainsi que le catalogue sur Aliventi, Arp et Viani pour le Forte di Belvedere à Florence (1992), sous la direction d’Enrico Crispolti.
Dans le secteur du graphisme et du design, signalons la collection « Progetto Immagine » (1976), distribuée avec la marque Amilcare Pizzi Editore et forte de quatre titres : Lo Studio Boggeri 1933-1973 ; Carla Cerati. Mondo Cocktail ; Alberto Rosselli, lo spazio aperto ; Roberto Sambonet, il disegno come doppio, ainsi que la collection « Arte e Pubblicità » (1959), inaugurée par les trois volumes consacrés à l’activité d’Erberto Carboni, avec les préfaces, respectivement, de Herbert Bayer, Gio Ponti et Gillo Dorfles, auxquels s’ajouteront La Grecia in sogno, avec une préface de Jean Cocteau, où le graphisme, l’impression, la photographie et les textes composent un unique portrait recréant une atmosphère délicate empreinte d’un charme subtil. Erberto Carboni réalisera la couverture du catalogue général de la maison d’édition de 1962-1963, suivi par Paolo Lionni avec la photographie d’Ugo Mulas (1963) et par Marco del Corno, qui sera ensuite le directeur artistique de Silvana Editoriale pendant plusieurs années.
À partir du milieu des années 1990, la maison d’édition a redéfini sa stratégie éditoriale et s’est engagée dans un parcours de croissance et de développement sur les marchés national et international, principalement dans les secteurs de l’art, du design, de l’architecture et de la photographie. Toute cette activité est documentée dans le catalogue disponible sur le site internet.
Aujourd’hui, Silvana Editoriale publie plus de 400 titres par an, en collaboration avec des fondations, des instituts de recherche, des universités et des musées présents principalement en Europe, aux États-Unis et au Moyen-Orient.
Dans le domaine de l’art antique, à côté de monographies et de catalogues d’exposition, nous tenons à mentionner les collections « Studi della Biblioteca Hertziana » (depuis 2006), « Biblioteca d’Arte » (depuis 2002), une collection plurilingue réunissant des essais, des recherches et des actes de congrès nationaux et internationaux, et forte aujourd’hui de plus de 60 titres, et la revue Arte Medievale (depuis 2002).
Dans le domaine de l’art moderne et contemporain, nous désirons signaler, à côté des monographies, la collection « Biblioteca d’Arte Contemporanea » (depuis 2001), qui compte aujourd’hui plus de 30 titres, la collection « Fil rouge », qui raconte les histoires des collectionneurs et de leurs collections, ainsi que la collection des catalogues généraux et raisonnés d’artistes italiens et étrangers, dont ceux sur Francesco Paolo Michetti (2018) et Achille Perilli (2019), les derniers parus.
Dans le domaine de l’architecture, rappelons la collection de l’université d’Architecture de Mendrisio (depuis 2010), en coédition avec Mendrisio Academy Press, et la nouvelle collection « Biblioteca d’Architettura », qui regroupera des essais, des monographies, des recherches et des actes de congrès nationaux et internationaux.
Dans le secteur du design, notre maison d’édition se distingue par son engagement en faveur de la valorisation du design italien du XXe siècle, avec la publication, en particulier, de catalogues généraux en collaboration avec des archives privées et avec les archives universitaires de l’IUAV de Venise et du CSAC de Parme.
Dans le domaine de la photographie, Silvana Editoriale a renforcé sa collaboration avec Camera – Centro Italiano per la Fotografia de Turin (depuis 2015), avec le Festival Fotografia Europea de Reggio Emilia (depuis 2014) et avec l’Institut du Monde Arabe de Paris, pour la Biennale de Photographie Arabe Contemporaine (depuis 2017), qui vient s’ajouter à une importante production annuelle d’ouvrages monographiques.
Dans le secteur du graphisme publicitaire, Silvana Editoriale poursuit son travail d’approfondissement et de valorisation grâce à la collection « Manifesti/Posters » (depuis 2009) et « Grafica e Pubblicità » (depuis 2016), en poursuivant la tradition inaugurée par Amilcare Pizzi en 1959.

Locus Solus
Éditions universitaires de Dijon
leurs productions, proposent aujourd’hui un grand choix d’ouvrages au format numérique ePub. Cette offre étendue fait des EUD un leader de l’édition universitaire numérique.