Annuaire d' éditeur / Bordessoules
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Bordessoules

Maison d'édition à compte d'éditeur

Contact

contact@editions-bordessoules.fr

Téléphone

0545841385

Adresse

Les Basses Mesures, 16500 Brillac
France

Maisons d'éditions similaires :

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La Découverte

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1983
160 publiés par an
Fondées en 1983, les Éditions La Découverte ont pris le relais des Éditions François Maspero (elles-mêmes créées en 1959). Éditeur principalement de non-fiction, La Découverte publie des livres pour comprendre, des livres pour agir : dans notre monde bousculé et complexe, saturé d'informations et d'images, notre conviction est que le livre occupe une place essentielle. Qu'il s'agisse de se former professionnellement ou de s'informer pour lutter efficacement contre les scandales, les inégalités et les violences du siècle, l'accès aux travaux et aux réflexions des chercheurs, journalistes ou acteurs de terrain est plus que jamais indispensable. C'est d'abord cette conviction qui nous anime et qui guide nos choix éditoriaux.
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Favre

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1971
Fondées en 1971, affiliées au groupe Libella depuis 2012, les Editions Favre ont publié à ce jour environ 1500 ouvrages. Distribuées en France, Suisse, Belgique et au Canada, elles éditent une cinquantaine de livres par année, qui s’articulent autour des collections décrites ci-dessous. Notre maison s’attache principalement à publier des ouvrages destinés au grand public, reflétant des points de vues différents, sans parti pris.
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Fleurus

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1946
4500 livres au catalogue dont 700 publiés par an
Leader sur le marché des livres illustrés, Fleurus Éditions publie aussi bien des albums, des livres d'activités, des documentaires et des livres religieux que de la fiction jeunesse. Fleurus a également développé un catalogue adulte avec des livres de loisirs créatifs, cuisine, décoration, jeux, jardinage, nature, animaux et livres religieux. Plus de 1 000 titres sont désormais disponibles en version e-book. Fleurus Éditions et Fleurus Mame sont composés des marques Fleurus, Mango, Rustica et Mame.
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Ariane éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1983

Les Éditions Ariane ont vu le jour en 1983. Notre mission est de rendre disponible une variété d’enseignements relatifs à la spiritualité, au développement personnel, à la santé globale et à l’émergence d’un monde nouveau et d’une société plus juste, plus durable et plus écologique.

Nous vous proposons entre autres les enseignements de ceux que nous nommons les guides de l’humanité, et que l’on dit membres de la grande hiérarchie spirituelle. Il peut s’agir de maîtres ascensionnés, d’êtres de lumière, d’esprits de la nature ou même de nos frères et sœurs des étoiles. Ils offrent souvent leur sagesse et leurs conseils par la voie du channeling, c’est-à-dire en passant par l’intermédiaire d’hommes et de femmes leur servant de canal. Nous espérons servir d’interface entre la conscience globale qu’ils représentent et la conscience individuelle de chaque personne.

Nous vous proposons aussi les écrits d’auteurs contemporains comme Neale Donald Walsch (Conversations avec Dieu) ou Eckhart Tolle (Le pouvoir du moment présent). Ils partagent leurs connaissances et leurs découvertes avec passion, sincérité et générosité.

L’éveil spirituel nous interpelle à prendre conscience que nous sommes plus que des êtres s’exprimant par le seul biais d’un corps physique. Nous sommes assurément en mesure d’appréhender des réalités beaucoup plus vastes.

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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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BMR

Maison d'édition à compte d'éditeur
Des histoires d'amour, de rencontres, de cœurs brisés et de surprises. Toutes les émotions sont chez BMR !
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Perrin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1827
1350 livres au catalogue dont 120 publiés par an
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Imago

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1977
300 livres au catalogue dont 20 publiés par an

Imago, comme image, imaginaire… Marie-Jeanne et Thierry Auzas fondent, en 1977, les Éditions Imago.

Avec une vingtaine de titres par an, la maison compte aujourd'hui à son catalogue plus de trois cents titres. Privilégiant le croisement des disciplines, Imago publie des ouvrages de référence — faits de société, ethnologie, histoire, psychanalyse, critique littéraire — destinés à l'« honnête homme », au large public cultivé, avec une prédilection toujours vive pour les sujets insolites, curieux et rares…

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Aedis

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1988
Les éditions Aedis ont plus de trente ans. Elles vous accompagnent dans le choix du savoir et les innombrables routes de la connaissance.
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Dauphin (Éditions du)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1935

Dauphin Éditions est une maison d’édition française indépendante fondée en 1935 par Gabriel Habauzit à la suite du décès de son père Clovis, imprimeur de livres et de revues de références à Aubenas depuis 1909 et fondateur et propriétaire du journal « L’Impatient ardéchois ».

Les Éditions restent proches d’une tradition familiale éditoriale, toujours dans la lignée des parutions des ouvrages de référence d’aujourd’hui. Marguerite, la soeur de Gabriel reprendra l’imprimerie familiale et imprimera les livres des Editions du Dauphin et d’autres éditeurs sur la place parisienne jusque dans les années 1960 avant de revendre l’imprimerie à Lienhart et Cie, toujours en activité.

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