Charles Corlet: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
C’est en 1972 que les Éditions Charles Corlet voient le jour. Avec une imprimerie basée en Normandie, il est bien évident que le thème choisi sera : la conservation et la transmission du patrimoine normand à travers le livre.
Depuis la politique éditoriale demeure intacte.
Avec une première collection qui invite le lecteur à se promener en compagnie des grands auteurs normands de naissance ou d’adoption (Barbey d’Aurevilly, Maurice Leblanc, Victor Hugo, Jacques Prévert…), les publications s’étoffent au fil des années. Tous les genres se réunissent au sein de ce catalogue : beaux-livres sur le patrimoine architectural normand, récits maritimes, ouvrages d’histoire du Moyen Âge à l’histoire contemporaine, folklore et traditions normandes, thématiques diverses racontées par la carte postale ancienne (cidre, moulins, costumes, communes…), littérature, romans terroir, polars sans oublier la cuisine. Il y a également une collection de livres vouée au bien-être et l’agriculture alternative, « Equilibres », dont fait partie les deux tomes de Permaculture de Bill Mollison, des livres phares de l’agriculture pérenne.
Aujourd’hui le catalogue comprend plus de 600 livres.
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http://www.corlet-editions.com/Adresse
Chez GIS – ZI de la Tellerie, 61430 Athis Val-du-Rouvre FranceSite Web
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Chez GIS – ZI de la Tellerie, 61430 Athis Val-du-Rouvre FranceDépôt de manuscrits
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Éditions Charles Corlet - Service des manuscritsChez GIS – ZI de la Tellerie
61430 Athis Val-du-Rouvre
France
Par internet:
contact@corlet-editions.f rMaisons d'éditions similaires :
Gisserot (Editions)
Les Éditions Gisserot ont été fondées en 1988 par le Brestois Jean-Paul Gisserot.
Né en 1938, Jean-Paul Gisserot est ingénieur de construction aéronautique de formation. Après un bref passage dans la publicité, il devient éditeur dans un premier temps en dirigeant des maisons spécialisées dans la littérature jeunesse. En 1975, il fonde les Éditions Ouest-France pour le groupe de presse rennais du même nom. Il en fera le premier éditeur en région avant de quitter le groupe en fin 1986 pour diriger le département « Éducation » de Fernand Nathan. En 1988, outre la SA Éditions Jean-Paul Gisserot, il fonde les Éditions Sud-Ouest pour le groupe de presse bordelais du même nom. Il dirigera cette maison jusqu’en 2000.
Les activités commerciales demeurent gérées par leur filiale, TéléGiss Distribution, déjà installée dans le Finistère depuis 2000. L’ensemble, comptant 10 salariés ETP aujourd’hui, en fait l’une des toutes premières entreprises d’édition de livres de la région Bretagne.
Les activités d’édition et de direction, employant trois personnes, ont été rattachées au siège des Éditions, transféré de Paris à Quintin, dans les Côtes d’Armor, en 2019.
Avec plus de 1700 titres publiés à leur actif, les Éditions Gisserot éditent des ouvrages de vulgarisation sur l’Histoire, l’Histoire de l’art, le Patrimoine culturel et la Nature. Elles proposent par ailleurs de larges collections en vie pratique (cuisine, santé, loisirs nature) et de nombreux ouvrages destinés à la jeunesse (littérature et documentaires).
Nombre de leurs livres d’histoire et d’histoire de l’art sont sur la liste de lecture des étudiants des universités. Les Éditions Gisserot cherchent, tant par le prix abordable de leurs livres que par un souci d’offrir des textes de qualité (écrits par les meilleurs spécialistes des sujets traités mais à la portée du grand public), à proposer des ouvrages à la portée du plus grand nombre.
Mercure de France
Elyzad
Les éditions elyzad sont nées à Tunis en 2005. Malgré un contexte politique pesant, face à la censure et à la situation de « douce » asphyxie dans laquelle nous nous trouvions, il était vital pour nous de donner à entendre les voix des romanciers, « ces historiens de l’imaginaire », qui disent la parole tue, explorent l’âme humaine dans toute sa nudité.
Pour porter loin cet engagement, nous avions des défis à relever. Celui de faire circuler les textes du Sud vers le Nord afin d’inverser la dynamique dans laquelle nous étions cantonnés. Abordant ce chemin ardu, nous avons fait le choix de l’exigence : sélection minutieuse de textes littéraires, attention particulière à la finition de l’objet livre (papier, couverture).
Très vite, un diffuseur-distributeur en France nous a accompagnés dans cette aventure, nous permettant ainsi cette traversée des textes. Aujourd’hui les rives se sont jointes, qui est d’ailleurs, qui est d’ici ?
Les frontières sont désormais effacées. Si nous publions essentiellement en langue française, la langue arabe nourrit sans cesse notre réflexion. Car il s’agit pour nous d’offrir à lire des écritures plurielles, dont nous nous faisons les passeurs. Plusieurs de nos auteurs ont reçu des prix littéraires en Tunisie, en France, en Inde.
En décembre 2011, le prix Alioune Diop de l’édition africaine nous a été décerné. Ces récompenses sont un moteur pour poursuivre l’aventure et maintenir notre engagement : découvrir l’autre dans sa singularité, dans son universalité, combattre les préjugés, faire entendre les battements du cœur du Monde. Avec toujours la même exigence, des textes garants d’une pensée libre...
Amsterdam éditions
Fondées en 2003 par Charlotte Nordmann et Jérôme Vidal, les Éditions Amsterdam assurent la traduction et l’édition d’ouvrages de philosophie, d’histoire et de sciences sociales, d’essais critiques et politiques. Elles ont notamment introduit auprès du lectorat français des figures majeures du monde anglophone, accompagné la « Spinoza Renaissance », et travaillé les domaines des cultural studies, des gender studies, des postcolonial studies et de l’histoire atlantique.
Animées depuis 2016 par une nouvelle équipe sous la direction éditoriale de Nicolas Vieillescazes, les Éditions Amsterdam voudraient participer à l’émergence d’une génération d’intellectuels de gauche, tout en continuant à vous offrir le meilleur de la production intellectuelle de langue anglaise. Elles accueillent par ailleurs deux nouvelles collections : « L’ordinaire du capital », qui publie des documentaires littéraires, et « Les Prairies ordinaires », dédiée à la culture et aux arts. Ce faisant, elles espèrent contribuer à ce qu’en matière d’idées, la radicalité redevienne un marqueur d’exigence dans l’espace francophone.
Fournel (Editions du)
Eyrolles
Eclat (Éditions de l')
Les éditions de l'Éclat sont créées à Paris en février 1985 sous le statut d'association loi de 1901 puis de SARL à partir de 1988.
Le premier titre publié est Comment trouver, comment chercher une première vérité ? du philosophe Jules Lequier.
Sa diffusion à l’international est assuré par les distributeurs Zoé Diffusion en Suisse, Dimédia au Canada et Harmonia Mundi en France et Belgique.
Wikipédia
Editions de l'Olivier
Cêtre éditions
Fortes d'une expérience de plus de 46 années dans le domaine du livre, les Éditions Cêtre développent, avec le souci constant de la qualité et de la découverte, un catalogue riche par sa diversité, son ouverture et sa forte identité comtoise.
Domaines éditoriaux : documents, romans historiques, beaux livres, patrimoine, livres pratiques... en lien avec la Franche-Comté.
Maison d'édition indépendante franc-comtoise depuis 1975
Notre histoire
C’est avec M. Louis Cêtre, Bisontin de naissance (1913-1985) que tout a commencé. Louis sera employé à la librairie de ses cousins, les frères Chaffanjon. Puis, avec leur accord, il achète en 1942, la librairie Alexandre, du 14 Grande Rue à Besançon qui devient alors la librairie Cêtre.
Dès 1973, Louis Cêtre avait créé le prix du meilleur livre comtois. Cette initiative le mènera très vite à l’édition de livres comtois en 1975 (avec la publication d’un livre à succès Le Temps des croquants de François Girod). Bien d’autres succès suivirent.
Louis Cêtre débutera cette nouvelle activité dans le domaine de l'édition en région avec son fils Marcel Cêtre, qui la poursuivra jusqu'en 2001.
En 1986, Évelyne épouse Marcel Cêtre. Alors étudiante à l’École des Beaux-Arts de Besançon, elle travaillera à son tour pour les éditions Cêtre et en deviendra la directrice en 2001.
Évelyne Cêtre, éditrice indépendante, a aussi créé et géré la librairie Franc-Comtoise située 138 Grande Rue à Besançon de 2003 à 2014.
Aujourd’hui, installées 9 rue d’Anvers, les éditions Cêtre continuent à creuser leur sillon de leur prestigieuse singularité. Si les nouveautés sont aujourd’hui de 6 à 8 ouvrages par an, les rééditions sont nombreuses.
« On ne peut que souhaiter la poursuite d’un succès qui ne s’est jamais démenti, au service, entre autres, de l’Histoire de notre région ! »
Texte extrait de l'article daté du 9 décembre 2017 de M. Jean-Claude Goudot paru dans le bulletin de l'association Vivre aux Chaprais.
DDB
Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.
1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.
1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.
De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.
En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.
Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.
Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.
Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».
Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.
Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.
Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.
Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.
Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.
Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.
Modalité d'envois
Il est tout à fait possible de nous soumettre un manuscrit. Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux auteurs qui écrivent de bons livres !
Quelques remarques :
Notre « cœur de cible » étant la Normandie, si votre proposition de roman, de livre d’histoire etc. ne concerne pas la Normandie, nous serons obligés de le refuser sans l’étudier. Et puis, ce n’est pas parce que l’action se déroule dans une commune de l’un des 5 départements de la région qu’il s’agit d’un ouvrage « régionaliste » pour autant. C’est une nuance importante.
Sachez que nous recevons plusieurs propositions de manuscrits par semaine, et si le thème correspond à notre catalogue, on le fait relire par des personnes extérieures des Éditions Corlet, que c’est une procédure qui peut prendre plusieurs mois vu la quantité de manuscrits que nous recevons.
NB : si vous souhaitez récupérer votre manuscrit à la suite de notre décision, merci de joindre une enveloppe timbrée, sinon on ne ni le renvoie ni le garde pas.