Clé du Chemin (La): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
La Clé du Chemin a été créée en 1992 pour commercialiser, dans tous les collèges et écoles de France, des Cahiers de Textes originaux, dont les modèles sont déposés à l'INPI.
Pourquoi La Clé du Chemin ?
Quel chemin peut ouvrir cette étonnante clé ?
Au fil des années, elle va en ouvrir plusieurs :
- sa vocation première était d'ouvrir aux élèves les portes d'une meilleure gestion du lendemain en les aidant à mieux organiser leur emploi du temps, devenir donc plus responsables et autonomes. C'était la clé de l'étape qu'est pour eux le temps de leur scolarité.
- avec l'édition de romans et l'auto-édition, elle va ouvrir en plus le chemin de l'évasion et du rêve, de l'aventure et de la découverte, de l'humour et de l'émotion, à travers des intrigues ancrées dans un terroir, mais qui abordent des thèmes universels.
- l'impression publicitaire Auvergne : avec l'impression publicitaire sur tous supports (papier, vinyle, dibond, akylux, textile, objets publicitaires...), elle ouvre enfin toutes les voies de la communication imprimée.
Forte de plus de 20 ans d'expérience et de la confiance de ses clients, elle vous invite à parcourir ce site.
A surfer sur ces pages, vous trouverez sûrement une clé qui vous permettra de faire... un bout de chemin avec nous !
Contact
Site Web
https://www.lacleduchemin.fr/Téléphone
0471033211Adresse
La Clé du Chemin, 43500 Craponne sur Arzon FranceSite Web
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La Clé du Chemin, 43500 Craponne sur Arzon FranceMaisons d'éditions similaires :
Digobar Editions
Ecriture
L'Age d'Homme
La fosse aux ours
Les Éditions Toute Chose
Les Éditions Toute Chose ont ouvert leur vitrine éditoriale en mai 2021 et sont en train de constituer leur catalogue qui comprendra des œuvres de prose et de poésie. Notre ambition est de créer et de promouvoir des livres numériques de qualité, formaté avec soin, illustrés, qui font partie de notre Collection Bel eBook.
Bien que portés sur l'édition numérique, nous publions certains textes en version papier.
Pour en savoir davantage, visitez notre site Internet. Soyez-y les bienvenu.e.s !
L'Atelier du Grand Tétras
Implanté dans un petit village du Massif Jurassien, L'Atelier du Grand Tétras présente d'abord l'originalité de couvrir la chaîne du livre, de l'écriture à la fabrication artisanale. Unie autant pas la littérature que par la confection du livre, l'équipe de l'Atelier s'acharne avec passion à produire des livres dans la tradition artisanale de l'imprimerie. Imprimés sur de beau papier les textes sont assemblés en cahiers cousus à l'ancienne.
L'Atelier du Grand Tétras se consacre à la poésie contemporaine avec la collection Glyphes et à la littérature de création à travers le roman, le récit et la nouvelle avec la collection Écriture.
Dans le prolongement de ses choix éditoriaux, l'Atelier édite également la revue Résonance Générale - Cahiers pour la poétique à laquelle collaborent quelques uns des poètes les plus représentatifs de notre temps présent. Cette revue a favorisé l'ouverture d'une nouvelle collection Essais pour la poétique destinée à appronfondir sur un thème précis les enjeux de la poésie d'aujourd'hui.
Par ailleurs, la collection Entre deux rives, créée récemment, s'attachera à faire connaître des auteurs étrangers qui n'ont pas encore été traduits en France. Parallèlement, l'Atelier du Grand Tétras est tout naturellement porté à publier des textes qui chantent nos terroirs.
Se détournant des étroitesses du régionalisme, l'Atelier édite des écrits célébrant un art de vivre régional : telle est la vocation de la collection Terroir Vécu et de la revue La Racontotte qui depuis 1976 a fidélisé en Franche-Comté de nombreux lecteurs. Marginal avec complaisance, délibérément détaché des seuls intérêts commerciaux, l'Atelier du Grand Tétras s'acharne encore à croire, avec la passion de créer des livres, aux espérances d'Alfred de Vigny quand il abandonne sa "bouteille à la mer".
mot et le reste (Le)
Le mot pour dire le langage et le reste pour dire l’espace, le monde, le social. Mais c’est aussi le mot que confient les auteurs et l’éditeur s’applique au reste.
Créées en 1996 à Marseille par Yves Jolivet, les éditions Le mot et le reste publient environ vingt-cinq titres par an au sein de cinq collections. Les textes reflètent la volonté de fournir des éléments de réflexion sur le monde, de faire circuler des formes poétiques libres de tons, de faire entendre des voix nouvelles et singulières, d’introduire des questionnements esthétiques, le tout sans enfermement. Afin d’explorer ses multiples facettes, une même thématique peut être abordée au sein des différentes collections dans une intention de transversalité. Le lecteur est ainsi invité à s’aventurer au-delà des genres et dépasser les frontières usuelles entre le poétique et le politique, le document et l’esthétique.
Chacun des titres est défendu auprès des libraires, bibliothécaires, lieux de formations, sur Internet… afin qu’il puisse trouver ses lecteurs. Il est essentiel de créer une relation vivante entre le livre et les lecteurs, l’auteur et les lecteurs. Aussi, de nombreux temps d’échanges : rencontres, lectures, conférences… ont lieu tout au long de l’année.
Arléa
Arléa est une maison d’édition créée en 1986.
Arléa publie une trentaine de titres chaque année.
Son catalogue comporte : des textes de littérature française et étrangère, des premiers romans, les grands classiques de l’Antiquité, des récits de voyage, quelques essais et livres d’histoire.
JC Lattès
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.