Desclée-Mame: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Mame est un éditeur du pôle livre de Media Participations
Depuis plus de deux siècles, les éditions Mame poursuivent la publication de livres de référence pour vivre, célébrer, penser et transmettre la culture et la foi chrétienne en famille comme en Église, d’une façon toujours nouvelle.
Au service de ce projet, les éditions Mame privilégient 4 domaines de publication :
des livres pour la jeunesse, du plus jeune âge à l’adolescence, afin de découvrir la Bible, l’histoire des saints, la prière et toutes les références de la foi et de la culture chrétienne ;
des ouvrages de référence, de réflexion et de spiritualité à destination du grand public ;
des documents pour accompagner la catéchèse et la préparation aux sacrements ;
des livres liturgiques et des recherches théologiques.
Un acteur majeur de l’édition religieuse
Ces publications alimentent l’un des plus riches catalogues de livres religieux en France, comprenant aussi dans son fonds les marques Chalet, Droguet & Ardant, Édifa, Éditions Universitaires, Fleurus Rameau.
Elles permettent aux éditions Mame d’occuper une place éditoriale majeure, non seulement dans les secteurs de l'édition religieuse pour la jeunesse et de la catéchèse, mais encore comme éditeur de La Bible, traduction officielle liturgique et du Catéchisme de l’Église catholique.
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Dépôt de manuscrits
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Maisons d'éditions similaires :
Cahiers du cinéma
L'histoire des Cahiers est en partie liée avec celle du « septième art », notamment en raison d'une génération de cinéphiles enthousiastes et provocateurs qui donnèrent naissance à la Nouvelle Vague, en instaurant préalablement la politique des auteurs.
Créés en 1951 par Joseph-Marie Lo Duca, Jacques Doniol-Valcroze et André Bazin, avec un soutien économique de Léonide Keigel, les Cahiers succèdent à La Revue du cinéma de Jean George Auriol qui a cessé de paraître en octobre 1949 et dont Doniol et Bazin étaient les collaborateurs. La couverture comme le contenu restent dans le même esprit. Le titre du magazine est proposé par Doniol-Valcroze le 10 février 1951, qui a tout d'abord du mal à convaincre Bazin et Keigel. Les titres les plus envisagés étaient Cinématographe, Du cinéma ou Objectif. Le nom de Cahiers est validé même si des membres sont dubitatifs, pour risque de confusion avec les Cahiers de la Pléiade (qui cessèrent de paraître en 1952) et les Cahiers de la Quinzaine.
Les jeunes cinéphiles, Jean-Luc Godard, François Truffaut, Éric Rohmer, Jacques Rivette, Claude Chabrol et bien d'autres, y écrivent leurs premières critiques, avant de devenir cinéastes.
Wikipédia
Contrechamps Editions
Deux ouvrages sortiront à l’automne 2021 : le premier est un ensemble de textes du philosophe Theodor W. Adorno centrés autour du thème de la couleur dans la musique : l’auteur développe tout un ensemble de réflexions sur le timbre comme élément structurel ou simple couleur, sur les rapports entre la musique et la peinture, et sur deux compositeurs qui ont développé l’écriture orchestrale, lui donnant une fonction symbolique et illustrative, Wagner et Strauss. Une partie de ce volume reprend des textes regroupés dans un volume posthume de l’œuvre complète d’Adorno, les autres sont tirés de différentes sources. La plupart des textes sont inédits en français. La traduction et la présentation de l’ouvrage sont dues à Sofiane Boussahel.
Le deuxième livre proposé cet automne appartient à la collection Poche qui a été lancée il y a un peu plus d’un an afin de proposer des monographies d’œuvres musicales contemporaines. Laurent Feneyrou s’est attaché au quatuor à cordes de Luigi Nono, Fragmente-Stille, an Diotima, qui dans une forme fondée sur le fragment et la discontinuité, est nourrie de l’intérieur par des phrases tirées de poèmes de Hölderlin. Il étudie cette œuvre singulière à partir des nombreuses esquisses déposées à l’Archivio Nono de Venise, montrant tout le travail d’élaboration qui aboutit à l’œuvre. Il situe aussi celle-ci dans le contexte politique de l’époque et dans la trajectoire de Nono (Laurent Feneyrou est par ailleurs l’éditeur des textes de Nono en français aux éditions Contrechamps).
Nous signalons aussi la sortie d’un autre Poche (fin juin 2021) qui se situe à la charnière des deux saisons, et qui est consacré à une œuvre de musique électro-acoustique, la première de cette ampleur : Symphonie pour un homme seul. Imaginée dans un premier temps par Pierre Schaeffer, pionnier et théoricien de la musique concrète, elle a été composée avec Pierre Henry, grande figure de cette même tendance musicale. Loïc Bertrand retrace la genèse de l’œuvre, notamment grâce au Journal inédit de Pierre Schaeffer, et tout en l’analysant, en signale les enjeux. Dans la dernière partie de son livre, il évoque les ballets que Béjart et Cunningham ont réalisé sur cette œuvre.
Rappelons que tous les textes de la collection Poche sont inédits et résultent d’une commande aux auteurs de la part des éditions Contrechamps.
En 2022, d’autres ouvrages de cette collection sont prévus : sur Gruppen de Karlheinz Stockhausen, par Pascal Decroupet, sur 4’33 de John Cage, par David Christoffel, sur les Espaces acoustiques de Gérard Grisey, par François-Xavier Féron, et sur Coro de Luciano Berio, par Alain Poirier.
Dans la grande collection, nous publierons un livre sur Gérard Grisey du musicologue et compositeur autrichien Lukas Haselböck, et le premier volume des écrits de Schönberg qui font l’objet d’un travail de longue haleine destiné à offrir au public francophone un ensemble représentatif des textes de ce compositeur, dont beaucoup sont restés inédits.
Tous les livres des éditions Contrechamps sont disponibles également en format numérique.
Philippe Albèra
Aden - Bruxelles
Aden est une maison d'édition indépendante dont le siège se trouve à Bruxelles. Fondée en 2000 par Gilles Martin, elle regroupe dans les premiers temps trois métiers de la chaîne du Livre : édition, librairie et diffusion-distribution. Entre 2006 et 2008, Aden délègue peu à peu la diffusion-distribution pour se concentrer sur le volet édition, avec, notamment, le développement de nouvelles collections: Opium du peuple, Rivière de Cassis, Passe-Mémoire, Fonds rouge, Label littérature… Aujourd’hui, Aden est avant tout une maison d’édition à part entière.
Les éditions Aden publient des essais dans le domaine des sciences sociales et politiques, et de l’étude des médias : contre-histoires, pensées politiques à contre-courant, témoignages, décryptage des religions sont autant de démarches progressistes qui nourrissent le projet éditorial. En accord avec son inspiration rimbaldienne, et parce que la dimension sociale et politique s’exprime aussi dans d’autres genres que celui de l’essai, Aden publie également de la littérature et des ouvrages traitant de l’image ou du graphisme.
Avec sa charte graphique coup de poing et un fonds de plus de deux cents titres (dont plusieurs signés par des auteurs réputés comme Noam Chomsky, Jean Bricmont, Eric Hobsbawm, Serge Latouche, Jean-Marie Piemme…), les éditions Aden souhaitent faire avancer la critique en créant le débat et en l’amenant sur les tables des librairies.
Pourquoi « Aden » ?
« Aden » est le nom d’une ville du Yémen, dont il est question dans l’ouvrage de Pierre Gascar, Rimbaud et la Commune, qui évoque en particulier la participation du poète à la Commune de Paris en 1871. C’est à la lecture de ce livre que Gilles Martin a eu l’idée de mêler la sensualité rimbaldienne à l’énergie de la révolte sociale, point de départ et fil conducteur du projet éditorial des éditions Aden.
Centro editoriale Valtortiano
Le Centro Editoriale Valtortiano (CEV) a été constitué en 1985 par Emilio Pisani, fils de Michele Pisani (1896-1965), premier éditeur de Maria Valtorta (1897-1961).
Selon les termes de l’acte constitutif du CEV, “son but spécifique et prioritaire est de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux.
Sa personne, par la recherche historique et documentaire, les recueils des témoignages, la garde des objets lui ayant appartenu, la protection de son nom et de sa mémoire, les démarches visant à la faire connaître dans les domaines civil, culturel et ecclésial.
Ses écrits, par la presse et la diffusion des œuvres littéraires et de toute documentation soit celle laissée par Maria Valtorta elle-même, soit celle qui serait fournie par d’autres concernant sa personne, en italien et en d’autres langues.
Ses idéaux et sa spiritualité, par le moyen de la divulgation de l’instruction religieuse, notamment scripturaire dans l’esprit catholique”.
Le siège du CEV est à Isola del Liri, une agréable localité de l’Italie centrale, qui doit son nom au fleuve Liri. Celui-ci partage ses eaux en amont d’un ancien château, se jette ensuite en deux cascades dans la vallée, pour réunir en aval ses deux cours d’eau qui ont embrassé au passage le noyau du village.
Les eaux du fleuve ont favorisé le développement des usines de papier que, au début du XIXe s., des entrepreneurs français, venus à la suite de Joachim Murat, nommé roi de Naples par Napoleon Bonaparte, ont voulu installer sur le territoire de Isola del Liri.
Le lieu devint un des centres européens les plus importants de l’industrie du papier, et fut amplifié par la suite par la technique industrielle de la papeterie et du feutre.
Au siècle suivant s’y développa aussi, avec la production littéraire, une typographie éditrice, spécialisée surtout dans la presse catholique pour les Instituts religieux et les Congrégations romaines.
C’est ainsi qu’il a été possible à Michele Pisani, son propriétaire, de prendre connaissance des manuscrits de Maria Valtorta et de s’en constituer l’éditeur courageux.
Ce fut le départ du Cev: la branche valtortienne d’une entreprise éditoriale, qui devint un arbre…
Le CEV, compté en Italie parmi les éditeurs qui chaque année remportent le prix du Ministère pour les Biens de Culture en raison de ses exportations de livres, a obtenu en outre, plusieur fois, le prix de la Culture de la Présidence du Conseil des Ministres.

CEMS
Le CEMS est une unité de recherche (EHESS/CNRS UMR8044/INSERM U1276) qui comporte une trentaine de chercheurs et enseignants chercheurs.
Il est membre du LabEx TEPSIS (Transformation de l'Etat Politisation des sociétés Institution du social), de l'IFRIS (Institut Francilien Recherche Innovation Société), et de l'EUR GSST (Ecole Universitaire de Recherche Sciences Sociales du Genre et de la Sexualité).
Il héberge le Centre d'Etudes John Dewey/Center for Dewey Studies France.
Brumerge (les éditions)
Brumerge est une maison d'édition associative qui pratique l'édition à compte d'éditeur.
Le catalogue de Brumerge est exhaustif, il avantage principalement la littérature générale d’expression francophone (romans, essais, nouvelles, poésies) dans des genres très variés. Depuis peu, Brumerge s'est ouvert aux récits de voyage et aux recueils collectifs à vocation humanitaire.
INHA
L'Institut national d'histoire de l'art est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), destiné à promouvoir la recherche scientifique en histoire de l'art. Il est placé sous la double tutelle du ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, et du ministère de la Culture.
Imaginé dès 1973 par Jacques Thuillier, puis formalisé en 1983 par André Chastel, l'INHA a été créé par décret le 12 juillet 2001.
Seuil
"Publier des ouvrages qui permettent de comprendre notre temps
et d'imaginer ce que le monde doit devenir. "
L'ambition des fondateurs du Seuil est aujourd'hui intacte et plus utile que jamais. Fort de ces convictions, Le Seuil est désormais au premier rang des maisons généralistes, présent dans tous les domaines éditoriaux : littératures française et étrangère, thrillers et policiers, sciences humaines, documents, spiritualités, sciences, jeunesse et beaux-livres.
Créé en 1935, sous le double signe de l'engagement intellectuel et du catholicisme social, Le Seuil connaît son véritable essor à partir de 1945. Dès lors, Jean Bardet et Paul Flamand, les fondateurs, façonnent un catalogue ouvert à tous les secteurs de la création et du savoir. En 1979, Michel Chodkiewicz fait fructifier l'héritage des fondateurs et, à partir de 1989, Claude Cherki mène une politique de développement éditorial et commercial.
La fidélité à ses origines, au brassage des idées, l'attention portée à son époque ont favorisé le renouvellement de la maison. La dimension spirituelle s'est perpétuée avec les collections dirigées par Emmanuel Mounier, avec Paul-André Lesort, ou encore Teilhard de Chardin. Dans les années 1960, Le Seuil prend part aux débats liés à l'aggiornamento de l'Église. Une réflexion sur la dimension sociale du religieux qu'aura approfondie Jean-Louis Schlegel.
Le secteur politique reflète les luttes et les contradictions du monde contemporain. Les combats en faveur de la décolonisation, la volonté de saisir "L'Histoire immédiate" à partir des années 1960 (Jean Lacouture puis Jean-Claude Guillebaud), le soutien apporté à la littérature dissidente d'Europe de l'Est (Soljenitsyne), "Combats" de Claude Durand ou encore "L'épreuve des faits" de Hervé Hamon et Patrick Rotman, marquent, jusqu'à la période récente, cette attention critique à l'actualité politique, ce que confirme l'investissement intellectuel de la maison dans toutes les disciplines des sciences humaines.
François Wahl a, entre autres, permis le succès de "L'Ordre philosophique" (avec Paul Ricœur, collection aujourd’hui dirigée par Michaël Foessel et Jean-Claude Monod)), du "Champ freudien" (avec Jacques Lacan). Jacques Julliard et Michel Winock fondent "L'univers historique" en 1974 (aujourd’hui dirigée par Patrick Boucheron). Jean-Marc Lévy-Leblond reprend "Science ouverte". Sans prétendre à l'exhaustivité, il faut mentionner encore "La Couleur des idées" (Jean-Pierre Dupuy, Jean-Luc Giribone et Olivier Mongin), "La Librairie du XXe (puis du XXIe) siècle" (Maurice Olender), "Libre examen" (Olivier Bétourné), "Liber" (Pierre Bourdieu), "Economie humaine" (Jacques Généreux), « Anthropocène » (Christophe Bonneuil). On y publie en sciences humaines des auteurs majeurs, tels Edgar Morin, Roland Barthes, Hubert Reeves, Georges Duby, Gérard Genette, Pierre Bourdieu, John Rawls, Jean-Pierre Vernant, Alain Badiou... Et puis il y a aussi les revues : Poétique, Communications, Actes de la recherche en sciences sociales, Pouvoirs, Le Genre Humain, etc.
C'est Jean Cayrol qui aura posé la première pierre du domaine littéraire, avec sa collection "Ecrire" (1956). Les revues Tel Quel (Philippe Sollers) et Change (Jean-Pierre Faye) placent l'éditeur au cœur des débats d'avant-garde. En 1959, un an après qu'Edouard Glissant a été distingué par le Renaudot, un premier Goncourt récompense André Schwarz-Bart. La collection littéraire "Cadre Rouge" est d'abord animée par François-Régis Bastide. Elle est marquée par Didier Decoin, Patrick Grainville, Louis Gardel, Elie Wiesel, Erik Orsenna, Tahar Ben Jelloun, Andreï Makine, Régis Jauffret, Lydie Salvayre. Depuis 1974, "Fiction & Cie", fondée par Denis Roche, reprise en 2004 par Bernard Comment, mêle les genres avec Jacques Roubaud, Olivier Rolin, Chantal Thomas, Antoine Volodine, Thomas Pynchon…
Une forte lignée francophone singularise Le Seuil, avec Mouloud Feraoun, Mohammed Dib, Kateb Yacine, Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Anne Hébert, Jacques Godbout, puis Nelly Arcan, Ahmadou Kourouma, Alain Mabanckou ou Charif Majdalani.
Très tôt, la littérature étrangère ("Cadre vert") occupe au Seuil une place centrale, d'abord avec des œuvres venues d'Allemagne (Heinrich Böll, Günter Grass...). Ce domaine s'impose vite, avec Gabriel Garcia Marquez, Italo Calvino, Carlo Emilio Gadda, John Updike, William Boyd, John Irving, John Michael Coetzee, José Saramago, Manuel Vázquez Montalbán, Arturo Pérez-Reverte, Antonio Muñoz Molina, Elfriede Jelinek...
Dans les années 1990, tandis que son appareil de diffusion-distribution se renforce, le périmètre éditorial du Seuil s'élargit. Jacques Binsztok monte un département jeunesse, tandis que Jean-Robert Masson puis Claude Hénard assurent le développement des Beaux-livres. Le littéraire s'étend avec la création de L'Olivier (Olivier Cohen). "Seuil Policiers", collection fondée par Robert Pépin, publie Michael Connelly et Henning Mankell. Les essais s'enrichissent avec "La République des Idées" (Pierre Rosanvallon).
Innovateur dans l'édition de poche avec Microcosme (1951), Le Seuil a mené à partir de 1970 une politique active de développement de la série "Points". Un essor qui suit les évolutions du catalogue. Il débute avec des collections de sciences humaines, d'essais et de documents, puis "Points Romans". Après sa filialisation en 2006, Points, sous l'impulsion d'Emmanuelle Vial, voit son catalogue s’enrichir à vive allure tandis que de nouvelles séries sont créées.
En 2004, La Martinière Groupe rachète Le Seuil. Denis Jeambar prend les rênes en octobre 2006.
En janvier 2010, Olivier Bétourné, qui était entré dans la maison comme lecteur en 1977, puis en était devenu le secrétaire général en 1984 avant de quitter la rue Jacob en 1992, prend les fonctions de Président. Le Seuil déménage au 25 boulevard Romain Rolland, dans le quatorzième arrondissement de Paris.
En 2016, la maison est organisée en huit départements éditoriaux : Littérature (sous la direction de Frédéric Mora), Littérature étrangère, Sciences humaines (sous la direction de Séverine Nickel), Documents, Beaux-livres (sous la direction de Nathalie Beaux), Jeunesse (Béatrice Decroix), Don Quichotte (Stéphanie Chevrier) et les éditions du Sous-sol (Adrien Bosc). Thierry Diaz succède à Patrick Gambache à la tête de Points, l’une des trois filiales du Seuil avec les éditions de L'Olivier (Olivier Cohen) et les éditions Métailié (Anne-Marie Métailié). Autour d’Olivier Bétourné, la direction est renforcée : Ludovic Rio devient Directeur général adjoint, tandis qu’Adrien Bosc assure les fonctions de Directeur adjoint de l’édition. Bernard Comment est nommé conseilleur du Président pour le développement de la littérature.
En avril 2018, Hugues Jallon est nommé président du Seuil, après avoir été directeur éditorial pendant 4 ans au Seuil puis Président des éditions La Découverte de 2013 à 2018.
Une nouvelle étape de l'aventure est engagée.
Amis de Réfractions (Les)
AFA
L’Association Française des Anthropologues a été fondée en mai 1979 à la suite du colloque « Situation et avenir de l’anthropologie » (avril 1977). Elle s’est donné pour objet de « promouvoir le développement de l’anthropologie et des relations entre les anthropologues, informer le public sur l’anthropologie, représenter l’ethnologie française dans les instances internationales, éclairer les anthropologues sur leurs responsabilités ». Depuis plus d’une décennie, elle tente d’adapter son action au contexte créé par l’arrivée de nombreux jeunes chercheurs sans statut sur le marché de l’emploi et aux tensions qui travaillent le champ disciplinaire.
L’Association Française des Anthropologues est aujourd’hui la seule l’association professionnelle d’anthropologues qui édite une revue, le Journal des Anthropologues. Elle est aussi celle qui compte le plus d’adhérents. Ces derniers résident non seulement en Europe mais aussi dans les pays francophones d’Afrique, d’Amérique ou d’Asie.
L’AFA organise régulièrement des manifestations scientifiques de différents type : séminaires, tables ronde, colloques. Depuis 2007 elle anime périodiquement des « Rencontres-ethnologie » en collaboration avec une librairie parisienne dans la perspective d’ouvrir l’anthropologie à un public plus large.
L’Association est également membre fondateur du Conseil mondial des associations d’anthropologie (depuis 2004).
L’AFA a participé à l’organisation des Assises de l’anthropologie et de l’ethnologie en France en décembre 2007 et à la création de l’Association Française d’anthropologie et d’ethnologie en janvier 2009, dans le but de fédérer les initiatives et de tisser des synergies entre l’ensemble du tissu associatif concernant notre discipline.