Éditions du geste - théâtre: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Les éditions du geste ont vu le jour en septembre 2018.
Elles voudraient contribuer à rendre au théâtre sa place dans la littérature, et pourquoi pas dans la vie.
Elles proposent, obéissant au double geste du théâtre, des textes littéraires et des textes à jouer.
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editionsdugeste@gmail.comMaisons d'éditions similaires :
Gallimard
Cambourakis
Droz
Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.
II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.
Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.
L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.
Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.
Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.
Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.
Eyrolles
Esperluète
Alidades
Créées en 1981 sous la forme d'une revue, les éditions Alidades passent assez vite au livre, avec 'La Toile / La Tela' de Mirella Muià, poème narratif à plusieurs voix sur le thème méditerranéen du voyageur et de la femme enfermée dans l'attente.
Le bonheur des rencontres et des amitiés conduit à explorer des champs tels que ceux de la poésie russe du vingtième siècle, et aussi de la littérature contemporaine de Sibérie orientale, prose et poésie.
Des hasards mènent à d'autres domaines au départ de différentes collections : textes satiriques (L'impertinent), poésie chantée (Le chant), essais (travaux), curiosités (trouvures), correspondances de peintres et publication de traductions historiques s'ajoutent à la Petite Bibliothèque Russe et à la collection Création qui accueille des poètes contemporains français et étrangers. Les années 2009 et 2010 sont marquées par le lancement d'une collection dédiée à la poésie irlandaise du XXIème siècle (Irlande 21) et par la découverte, grâce à Claude Krul, des poètes syriens Chawqî Baghdâdî et Nazîh Abou Afach, qui, avec d'autres, nous accompagnent depuis.
Le catalogue compte aujourd'hui plus de 170 titres. Nos ouvrages, pour la plupart de fabrication "maison" et de petit volume (de 24 à 64 pages), sont diffusés par nos soins, pour peu qu'on les demande, notre logique restant associative et non commerciale.
Comme de nombreux petits ou "micro" éditeurs, nous ne sommes guère en mesure de définir ni de tenir une "ligne éditoriale" : certains textes s'imposent, d'autres nous ennuient. C'est question de musique, d'originalité, d'exigence (ou de ce que nous croyons tel).
Comme d'autres nous recevons nombre de manuscrits – actuellement au moins un par jour – que nous n'avons matériellement pas le temps de lire. Alidades est d'abord préoccupée par les questions de traduction et la découverte d'auteurs et d'œuvres étrangers. Nous entendons affirmer plus clairement ce choix : décision a été prise de ne plus accueillir de nouveaux auteurs écrivant en français. De très nombreuses maisons le font, qui les servent mieux que nous ne saurions le faire. E.M.
Mémoire d'Encrier
Fondées à Montréal en mars 2003 par Rodney Saint-Éloi, les éditions Mémoire d’encrier se sont fixé pour mandat de réunir des auteurs de diverses origines autour d’une seule et même exigence : l’authenticité des voix. Mémoire d’encrier est ce lieu-carrefour où se tissent rencontres, dialogues et échanges pour que les voix soient visibles et vivantes.
Mémoire d’encrier publie de la fiction : roman, récit, nouvelle; aussi de la poésie, des essais, des chroniques. Un catalogue diversifié aménage des passerelles entre cultures et imaginaires du monde.
Mémoire d’encrier publie des auteurs québécois, amérindiens, antillais, arabes, africains… représentant ainsi une large plate-forme où se confrontent les imaginaires dans l’apprentissage et le respect de la différence et de la diversité culturelle. Mémoire d’encrier propose de penser l’autre autrement, l’autre au pluriel, en ouvrant de multiples fenêtres sur le monde, ceci de manière décomplexée.
Dans nos sociétés actuelles, rien ne manque plus que la compréhension. C’est dans cet esprit que Mémoire d’encrier a fondé en 2016, pour pouvoir sensibiliser, diffuser et promouvoir une pensée de la diversité, l’organisme à but non lucratif Espace de la Diversité (EDLD). Un espace de diffusion pour les littératures de la diversité, pour les valeurs du vivre-ensemble et pour confronter l’histoire, le racisme et les inégalités. À travers le catalogue de Mémoire d’encrier et les initiatives (ateliers, conférences, rendez-vous littéraires…) de L’Espace de la Diversité, un pont entre générations, visions et vécus du monde est en œuvre.
Le souhait est de rompre avec la rectitude éditoriale et la monoculture, qui dévident les êtres. Pour rassembler les continents et les humains, nous avons besoin de repousser la peur, la solitude et le repli afin d’imaginer et d’oser inventer un monde neuf. Mémoire d’encrier est cette manière de revisiter notre être le plus profond et de nous concilier avec nos parts manquantes, en regardant et en acceptant l’autre dans sa combien riche et complexe différence.
Jacques André
… Merci de m’avoir suivi jusque chez moi. J’ai entrepris de faire repeindre ce site, de le rafraîchir pour mieux vous y accueillir. Prenez garde à la peinture fraîche et soyez indulgents.
Je reprends mon propos. A quoi sert un éditeur ? Un faiseur de livres ? Un « bookmaker » ? Le mot me paraît juste, puisque, chaque fois que l’on sort un nouveau titre, c’est un pari. Je vous pose la question, mais ce n’est pas à moi d’y répondre. C’est à vous de le faire. Moi, pour l’instant, je continue. Comme les libraires, comme les théâtreux, les musiciens, les danseurs. On s’accroche.
Evidemment, nous avons perdu quelques plumes au passage. Trésoreries effondrées, loyers à payer, avenir incertain, salons et festivals annulés ou reportés, mais peu importe. On perdure ! Dansons sur le volcan.
Pour y parvenir, nous allons évidement lâcher du lest et nous recentrer sur l’essentiel : promouvoir l’excellence, refuser la médiocrité, dire non aux gens à qui on aurait bien voulu faire plaisir, rehausser la barre, resserrer les rangs. En bon général au cœur de la bataille, nous n’hésiterons pas à renvoyer chez eux les lâches, les faibles et les touristes de la littérature. Les chiffres ne seront plus au rendez-vous, mais, maintenant, on s’en fout ! Moins de livres, mieux de littérature. C’est à ce prix-là que nous vaincrons notre véritable ennemi : l’indifférence.
Chronique Sociale
Ces trois secteurs d'intervention s'avèrent d'ailleurs complémentaires : pas d'édition sans formation, ni de formation sans recherche. Juridiquement, la Chronique est, à la fois, une association régie par la loi de juillet 1901 et dirigée par un Conseil d'Administration (créé en 1967) pour ses activités de formation et de recherche, et une Société anonyme à responsabilité limitée (SARL créée en 1920) pour l'activité édition.
Les deux structures sont liées juridiquement et travaillent en synergie au quotidien pour mettre en oeuvre le même projet.
Historiquement, la Chronique Sociale s'est préoccupée, dès ses origines, de sensibiliser le grand public aux évolutions de la société en suggérant une organisation de la vie collective plus solidaire et plus respectueuse des personnes.
Sa spécificité - et son originalité - consistent à privilégier la culture de proximité et l'échange d'informations en faisant appel à celles et ceux qui ont enrichi un savoir théorique initial par un savoir-faire de terrain ou l'inverse.
Elle s'adresse, en retour, à tous les acteurs d'humanité soucieux de mieux comprendre le monde en vue de le servir mieux, depuis leur propre épanouissement jusqu'à leur action au sein des organisations et au sein de la société.
Atelier de création libertaire
Plus tard, "l'Imaginaire subversif - Interrogations sur l'utopie" est le premier "livre" que nous avons édité. Comme "Interrogations sur l'autogestion", il contient des contributions, entre autres de Murray Bookchin.
Les premières années, nous ne sortions qu'un ou deux livres par ans, Depuis une dizaine d'année, c'est entre 10 et 14 titres par an qui sortent.