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Fedora

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2015

LES DÉBUTS DE LA MAISON D'ÉDITION

C’est fin 2015 que les éditions Fedora ouvrent leurs portes, après trois années de préparatifs. Elles naissent d’une volonté de renforcer une branche éditoriale actuellement en retrait dans le panorama de l'édition archéologique, celle des publications épistémologiques, des manuels ou plus généralement des travaux servant la discipline elle-même. En effet, si les résultats de la recherche sont plutôt bien publiés et de plus en plus vulgarisés, il n’existe que trop peu encore d'ouvrages pour les professionnels et les futurs archéologues.

L'ARCHÉOLOGIE POUR TOUS

Les éditions Fedora se veulent ainsi un lieu d'élaboration d'un type nouveau d'outils. À travers ses diverses collections, elles proposent des angles de vue riches et variés sur l’archéologie pour en approfondir la théorie ou en faciliter la pratique. Son catalogue vise donc les professionnels comme les étudiants, mais aussi tous ceux qui souhaitent mieux comprendre l’archéologie d’aujourd’hui. Ainsi, afin de refléter au mieux la diversité actuelle des pratiques archéologiques, les auteurs conviés sont issus d’horizons très différents.

 

Contact

editions.fedora@gmail.com

Téléphone

0556361047

Adresse

222 rue de Suzon, Résidence Le Voltaire apt. 256, 33400 Talence
France

Dépôt de manuscrits

Par voie postale:

Service des manuscrits
222 rue de Suzon, Résidence Le Voltaire apt. 256
33400 Talence
France

Par internet:

editions.fedora@gmail.com

Modalité d'envois

AVANT D'ENVOYER
Nous ne publions que des textes relatifs à l’archéologie. Nous vous conseillons de vérifier

dans la section collection si votre manuscrit peut correspondre à notre ligne éditoriale.

Nous ne publions pas de romans adultes. Nous vous demandons de bien vouloir respecter

les normes de publications afin d’éviter tout problème lors de l’expertise.

LES ÉTAPES AVANT PUBLICATION
Nous vous informerons dès réception de votre manuscrit et votre texte sera alors confié à plusieurs relecteurs afin d’évaluer la faisabilité de publication au sein de nos éditions. Selon les cas, ce processus peut prendre un temps plus ou moins long. Si votre texte est accepté, sera alors établi un contrat précisant les caractéristiques du projet. Lors de la phase de mise en page et correction, les éditions peuvent vous demander d’effectuer ou proposer, pour le bien du texte, des réécritures ou modifications. Les éditions Fedora de par leur taille modeste ont un rythme lent de publication, aussi et afin de publier votre texte dans les meilleures conditions, il peut se dérouler 1 ou 2 ans entre l'acceptation de votre manuscrit et sa publication.

Maisons d'éditions similaires :

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Avant-Propos

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2010
Hervé Gérard qui a assuré différentes fonctions chez d’importants éditeurs et qui préside depuis 2008 la Foire du Livre de Bruxelles se promet de réaliser un vieux rêve : monter sa propre maison d’édition ! Historien, journaliste et écrivain, l’homme est passionné… et déterminé ! Le défi est de taille, mais l’idée fait son chemin. Mûrit pendant des mois. Il s’associe à un ami de qualité : Jacques Hayez, fondateur des chaînes de vêtements Cassis et Paprika et exploitant des EXKI en Wallonie, et lance Avant-Propos en 2010. Fin 2014, la maison d’édition compte une centaine de titres, de prestigieuses collaborations avec des musées et des initiatives privées, avec les Archives générales du Royaume, avec l’Académie royale de lettres et littérature françaises de Belgique et avec la Fondation Matanel. Avant-Propos connaît également de gros succès de librairie notamment avec les livres de Philippe Maystadt, Hervé Hasquin, Mark Eyskens et des succès fin 2014 avec Femmes prix Nobel de la paix d’Esmeralda de Belgique, Somme toute de Xavier Magnée ou encore Histoire du jazz en Belgique de Marc Danval. Le polar de Frédéric Ernotte, C’est dans la boîte, couronné par un important prix français, caracole en tête des meilleures ventes notamment dans sa version numérique. Par ailleurs, l’Académie royale de lettres et littérature françaises de Belgique a décerné, en mai 2014, un prix important à L’année dernière à Saint-Idesbald de Jean Jauniaux, et on ne compte plus les titres sélectionnés pour d’autres distinctions en attente d’être attribuées. Dans un univers éditorial particulièrement complexe et difficile, Avant-Propos fait sans doute exception avec près d’une trentaine de titres prévus en 2015, dont certains sont également publiés en numérique. S’y mêleront livres d’art de qualité, notamment en support d’importantes expositions ou collections, une série d’ouvrages publiés en partenariat avec les Archives Générales du Royaume, d’autres avec l’aide d’institutions publiques ou privées, livres d’entreprises ou d’artistes, essais signés par des plumes bien connues, ou littérature de fiction sous la signature d’auteurs français, belges ou simplement citoyens du monde. Avant-Propos est connue pour avoir une assise financière particulièrement solide qui met tous ses auteurs et partenaires à l’abri de tout désagrément, ainsi que pour la grande qualité de ses prestations éditoriales. Depuis octobre 2014, une troisième personne à temps plein chargée de la communication est venue renforcer l’équipe. Avec comme partenaire Media Service, département du grand groupe éditorial Media-Participations, la maison d’édition Avant-Propos est présente sur tout le marché francophone européen voire mondial via les sites de vente en ligne où toute sa production est disponible. Tous ces partenaires de qualité contribuent au magnifique retentissement de tous les titres publiés par la maison.
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Critiques éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Droz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924

Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.

II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.

Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.

L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.

Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.

Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.

Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.

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L'Age d'Homme

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
4000 livres au catalogue dont
La maison d'édition L'Age d'Homme est fondée en 1966 à Lausanne par Vladimir Dimitrijevic. C'est sans doute à L'Age d'Homme, forte aujourd'hui de 4000 titres, que nous devons de ne plus réduire la littérature russe aux seuls noms de Dostoïevski , de Tolstoï ou de Gorki. Grâce à la collection «Classiques Slaves», les lecteurs ont pu découvrir les œuvres majeures du symbolisme russe, celle d'André Biely (Pétersbourg, La Colombe d'Argent, Kotik Letaiev), d'Ossip Mandelstam, d'Alexandre Blok ; des auteurs aussi considérables que les polonais Witkiewicz ou Ladislas Reymont ; les écrits esthétiques de Malévitch, les essais et les romans de Zamiatine, de Leskov ou de Boris Pilniak. De Ivo Andritch et Dobritsa Tchossitch aux chefs-d'œuvre d'Alexandre Zinoviev, la collection «Classiques Slaves» qui compte aujourd'hui plus de 500 titres, a permis de faire connaître un immense patrimoine littéraire que le «réalisme-socialiste» n'avait pas réussi à étouffer.
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EHESS

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1959
800 livres au catalogue dont 25 publiés par an
Les Éditions de l'EHESS ont pour mission de faire connaître et diffuser des recherches exigeantes et novatrices dans le domaine des sciences sociales. En accord avec la tradition expérimentale de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, elles participent à l'exploration de nouveaux champs de savoirs et travaillent au projet intellectuel des sciences sociales, dans la pluralité des manières de faire, des terrains et des périodes qui organisent ces disciplines. Le fonds de l'EHESS contient des travaux ayant durablement  influencé la vie scientifique depuis un demi-siècle, soit 900 titres, dont 650 sont disponibles. Il s'enrichit chaque année d'une trentaine de titres en histoire, histoire de l'art, anthropologie, sociologie, économie, linguistique, psychologie, géographie.
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Cerf

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1929
4000 livres au catalogue dont 200 publiés par an
Fondées en 1929, les Éditions du Cerf, premier éditeur religieux francophone, publient près de 120 nouveautés par an. Son catalogue de 5 000 titres couvre l'ensemble des religions monothéistes, l'histoire antique et médiévale, la philosophie, les sciences humaines.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Cabédita

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
L'existence des Editions Cabédita, fondées en 1987 par Eric Caboussat, est liée au souci de doter les régions d'un créneau littéraire consacré avant tout à l'histoire, à la mémoire, au patrimoine et aux traditions.
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Bartillat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2000
Refondées en 2000, les éditions Bartillat interviennent sur plusieurs fronts culturels : littérature sous toutes ses formes - roman, essai, correspondance, poésie, biographie - mais aussi histoire, esthétique, voyage, musique et d'autres disciplines... Chaque livre invite à la découverte d'une vision inédite d'un sujet ou à la réinterprétation d'un texte ou d'un auteur. Nouveautés et rééditions se répondent en un dialogue fécond où les œuvres s'éclairent à la lumière de notre époque. À la merci des secousses, les volumes traversent le temps. Nos livres souhaitent trouver leur place dans la longue chaîne de transmission des écrits, tel un maillon qui recueille le passé et préserve l'avenir. Un livre mène souvent à un autre livre, qui lui-même ouvre de nouvelles perspectives.
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Belin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1777
2500 livres au catalogue dont 250 publiés par an
Les Éditions Belin travaillent depuis 1777 à la transmission de la connaissance. Nos publications couvrent principalement les domaines scolaire et universitaire, tant sur support papier qu'en numérique, et nous publions également des ouvrages de vulgarisation, des essais, des revues de sciences humaines ainsi que des titres en botanique, en équitation et des ouvrages pour la jeunesse. Une filiale, Pour la Science, publie chaque mois l'édition française de
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