Annuaire d' éditeur / Maison des Sciences de l'Homme
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Maison des Sciences de l'Homme

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
1400 livres au catalogue dont 40 publiés par an
Avec plus de 1 000 titres (entre collections et revues), les Éditions de la Maison des sciences de l'homme sont l'expression de la politique scientifique de la Fondation Maison des sciences de l'homme, politique d'ouverture soutenue par un statut et des missions qui en font un lieu favorable aux rencontres et aux échanges scientifiques entre états, cultures, institutions et disciplines. Dans le domaine des SHS, l'éditeur garantit certification et validation, soutien éditorial et formel. Ouvert à une diversification de ses techniques de fabrication, de diffusion et de distribution afin de mieux répondre à l'évolution du marché éditorial scientifique, un accent est mis sur la publication électronique afin de proposer une offre de services multi supports et multi canal à la communauté.

Contact

thorn@msh-paris.fr

Téléphone

0153485638

Adresse

190, avenue de France, 75648 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

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Galilée

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1971

Les Éditions Galilée naissent en 1971. Dès les premières parutions, en 1973, le ton est donné, l’orientation est prise. 1973, c’est l’année de Critique du capitalisme quotidien de Michel Bosquet ; Les Figures juives de Marx d’Elisabeth de Fontenay ; Le Discours impur de Jean-Noël Vuarnet ; Camera obscura – de l’idéologie de Sarah Kofman ; Le Titre de la lettre, de Jean-Luc Nancy et Philippe Lacoue-Labarthe ; L’Archéologie du frivole de Jacques Derrida, préfaçant l’Essai sur l’origine des connaissances humaines de Condillac. Moins d’une année plus tard, Jacques Derrida, Jean-Luc Nancy, Philippe Lacoue-Labarthe et Sarah Kofman créent la collection « La philosophie en effet » que Jacques Derrida inaugure par la publication de Glas, aventure éditoriale aussi bien que graphique, littéraire et philosophique : mise en effet du questionnement philosophique, non pas pour lui-même, mais tel qu’au monde et tel qu’en l’autre, la pensée le met au travail. C’est dans cette même collection que Sarah Kofman fera paraître peu après Quatre romans analytiques (1974).

Dans le même moment, sur les mêmes modes, tandis que la maison édite les revues Digraph et Chorus, se déploie le questionnement esthétique avec la parution de Marcel Duchamp ou le grand fictif de Jean Clair (1975) ; L’Invention du corps chrétien de Jean-Louis Schefer ; suivi par Détruire la peinture de Louis Marin et Les Transformateurs Duchamp de Jean-François Lyotard. Ce dernier fait ainsi son entrée dans la maison d’édition qui, jusqu’à sa disparition en 1998, publiera l’essentiel de son œuvre.

La rencontre avec les artistes, le travail dans et par le livre avec les créateurs, axe essentiel de la politique éditoriale, seront inaugurés par Wifredo Lam avec l’ouvrage intitulé sobrement Dessins dont il fera la couverture (1975).

Le champ littéraire, essentiel lui aussi, est ouvert par Georges Perec avec son si fameux Espèces d’espaces (1974) bientôt suivi d’Alphabets, illustré de dessins de Dado (1976).

Au croisement de l’art et de la littérature, c’est l’édition de Farce de Jean-Marie Touratier avec une couverture originale de Christian Boltanski et un tiré à part où une fenêtre ouverture à même le livre insère un sucre taillé par Boltanski dans une cage grillagée (1979).

À la fin des années 1970, de nouveaux auteurs rejoignent la maison d’édition à laquelle ils vont donner année après année la part la plus importante de leur œuvre : André Gorz, Fondements pour une morale, Paul Virilio, Vitesse et politique  Jean Baudrillard, Oublier Foucault (1977), suivi de De la séduction (1980) ;

En près de cinquante ans, ces orientations n’ont cessé de se renforcer avec des artistes tels que Valerio Adami, Pierre Alechinsky, Karel Appel, Paul Jenkins, François Rouan, Simon Hantaï, Antoni Tàpies, Vladimir Velickovic, Ernest Pignon-Ernest, Raymond Mason, Philippe Cognée, Gérard Titus-Carmel… ; et des auteurs comme Christine Buci-Glucksmann, Jacques Rancière, Étienne Balibar, Hélène Cixous, Yves Bonnefoy, Michel Onfray, Pascal Quignard, Bernard Stiegler, Philippe Bonnefis…

Aux interrogations de la pensée s’associent les questions du texte, de la langue, des pratiques de l’art, la permanente recherche de l’acuité pour ce qui met les enjeux de l’homme et du monde en question, ou comme l’aurait dit Derrida : en effets.

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Mercure de France

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1894
5000 livres au catalogue dont 50 publiés par an
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Classiques Garnier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1896
Depuis 1896 Classiques Garnier publie dans des éditions de référence des œuvres littéraires du monde entier, françaises et étrangères, de l'antiquité à nos jours. En 2009, Classiques Garnier a étendu ses publications à tout ce qui concerne la littérature et les sciences humaines pour éditer des études et des essais des meilleures spécialités sur la littérature française, les littératures étrangères, la linguistique, l'histoire, l'art, la musique, le droit et les sciences économiques et sociales. Maison d'édition utilisant les technologies les plus avancées, Classiques Garnier publie ses ouvrages sur trois supports : en grand format, en bases de données et en format poche.
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Fario (Éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2009

Depuis l’automne 2009, les éditions fario publient, aux côtés de la revue, des livres. Une première collection a vu le jour, inaugurée par un texte de Gustave Roud, Le repos du cavalier, suivi d’une étude de James Sacré, Aimé parmi les autres. Dans le sillage d’une revue, cette polyphonie fragile et éphémère, des lignes de force se dessinent, des corps de textes s’assemblent, des dilections naissent ou s’affirment. Gustave Roud est présent depuis le début.

Cette présence presque diaphane, son attachement à un lieu en même temps que ses errances de marcheur nocturne, son extrême attention au monde qui l’entoure tout autant qu’à l’invisible, l’éclat voilé et mélancolique de ses proses, l’accord tacite que celles-ci entretiennent avec le souvenir des morts, tout cela nous accompagne. Nous avons souhaité que le premier ouvrage publié autour de la revue soit de sa main. Notre catalogue s’est depuis élargi.

Pas davantage que les sommaires de la revue, il ne saurait être réduit à un quelconque programme ; il est ouvert à la littérature sous toutes ses formes, à la philosophie, à la critique sociale, aux arts. Les textes que nous publions reconnaissent leur dette envers la langue et envers le monde, ils sont d’un temps, d’un lieu, ils tentent, par des chemins divers de donner sens aux convulsions démentes de l’époque.

Notre attention à la matière du livre, à son enveloppe d’encre et de papier, vient affirmer que la lecture est une expérience entière, qu’elle implique ou entraîne une présence qui n’est pas que d’esprit, et qu’elle ne se consume pas dans la mouvante brillance des écrans.

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Belin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1777
2500 livres au catalogue dont 250 publiés par an
Les Éditions Belin travaillent depuis 1777 à la transmission de la connaissance. Nos publications couvrent principalement les domaines scolaire et universitaire, tant sur support papier qu'en numérique, et nous publions également des ouvrages de vulgarisation, des essais, des revues de sciences humaines ainsi que des titres en botanique, en équitation et des ouvrages pour la jeunesse. Une filiale, Pour la Science, publie chaque mois l'édition française de
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Economica

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1971

Éditions Economica est une maison d'édition française spécialisée dans les sujets économiques et stratégiques.

Basée à Paris, elle a été fondée en 1971 par Jean Pavlevski, agrégé d'économie et originaire de Macédoine.

Wikipédia

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Bartillat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2000
Refondées en 2000, les éditions Bartillat interviennent sur plusieurs fronts culturels : littérature sous toutes ses formes - roman, essai, correspondance, poésie, biographie - mais aussi histoire, esthétique, voyage, musique et d'autres disciplines... Chaque livre invite à la découverte d'une vision inédite d'un sujet ou à la réinterprétation d'un texte ou d'un auteur. Nouveautés et rééditions se répondent en un dialogue fécond où les œuvres s'éclairent à la lumière de notre époque. À la merci des secousses, les volumes traversent le temps. Nos livres souhaitent trouver leur place dans la longue chaîne de transmission des écrits, tel un maillon qui recueille le passé et préserve l'avenir. Un livre mène souvent à un autre livre, qui lui-même ouvre de nouvelles perspectives.
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Phaidon

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1999
Le nom Phaidon fait directement référence au Phédon, dialogue de Platon, où Socrate, dans son discours sur l’immortalité de l’âme, s’adresse à Cébès en ces termes : « Toutes les belles choses deviennent belles par le Beau ». Tendre vers la beauté essentielle, tel est l’idéal que Phaidon s’efforce d’atteindre.Phaidon a été fondée à Vienne par Bela Horowitz et Ludwig Goldscheider en 1923. Fin lettré, Bela Horowitz s’intéressa d’abord à la réédition d’ouvrages classiques et, soucieux de mettre le livre à la portée de tous, il introduisit dès la création de Phaidon le principe fondamental que l’on connaît aujourd’hui : une qualité visuelle et éditoriale accessible à tous. Cette double exigence le porta naturellement vers les livres d’art, publications alors réservées aux cercles d’initiés. Dès 1934 parut une première monographie de Van Gogh, peintre alors largement méconnu du public : le succès fut considérable, à la grande surprise de Bela Horowitz et de son associé Ludwig Goldscheider dont l’ingéniosité leur avait permis d’ouvrir une brèche dans un marché apparemment sclérosé.Contraint de quitter Vienne avant la guerre, Bela Horowitz s’établit à Oxford puis à Londres, où il poursuivit son activité d’éditeur jusqu’à sa mort en 1955, laissant à ses héritiers le soin de continuer son œuvre, véritable entreprise de démocratisation de l’art. Depuis 1991À partir de 1968, Phaidon connut plusieurs changements de direction avant d’être rachetée en 1991 par Richard Schlagman alors que la société était en grandes difficultés financières. Depuis, sous l’impulsion de son président et propriétaire Richard Schlagman, Phaidon n’a cessé d’explorer des domaines moins étudiés tels que la photographie, la mode, le design ou l’architecture.Entièrement indépendante, Phaidon compte aujourd’hui environ 150 personnes, réparties dans les bureaux de Londres, New York, Paris et les antennes de Milan, Barcelone et Tokyo.Depuis 2005 : développement d’une collection « Jeunesse »En 2006, Phaidon publie en français Le Musée de l’art pour les enfants. Volume 1 d’Amanda Renshaw (Directrice éditoriale de Phaidon) et en 2007, son second volume. Ces ouvrages d’initiation à l’art pour les enfants à partir de 6 ans sont conçus comme des visites guidées et interactives au cœur d’un musée dont les œuvres ont été choisies spécialement pour eux. Les mouvements, styles, supports, formes et thèmes sont variés et rythment ces amusants parcours jalonnés de questions et de pauses créatives : « Est-ce que cette image te rappelle ta classe ? », « Est-ce que tu collectionnes quelque chose ? », ou « Comment t’y prendrais-tu pour caricaturer un objet ? ». Raphaël, Léonard de Vinci, David Hockney, Arman ou Andy Warhol sont quelques-uns des 60 artistes à découvrir à travers les deux volumes du Musée de l’art pour les enfants. Pour poursuivre et approfondir la visite, une fiche technique en fin d’ouvrage pour chaque œuvre précise sa date de création, ses dimensions, son lieu de conservation, les matières qui la composent. Le Musée de l’art pour les enfants vient parfaitement illustrer, comme avait pu le commenter Etienne Delessert, que « les limites de la perception de l’enfant, de ses facultés d’assimilation et de sa sensibilité n’existent que dans l’esprit des adultes. ».En 2008, Phaidon publie Au pays des petits poux de Beatrice Alemagna, album pour les enfants à partir de 3 ans.Phaidon est également l’éditeur, en anglais, des aventures du Petit Nicolas de Goscinny et Sempé et des ouvrages de Tomi Ungerer.
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Espace nord

Maison d'édition à compte d'éditeur
300 livres au catalogue dont
La collection Espace Nord rassemble plus de 300 titres du patrimoine littéraire francophone belge. Elle offre un catalogue d’auteurs remarquables et veille à la réédition d’œuvres indisponibles. Caractérisée par son format de poche, son prix accessible et la présence d’un appareil pédagogique à la fin de chaque volume, la collection Espace Nord est une référence auprès du monde scolaire et du public. Propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la collection est gérée par Les Impressions Nouvelles et Cairn.info. Son comité de lecture se compose de spécialistes reconnus de la littérature francophone belge : Paul Aron, Laurence Boudart, Françoise Chatelain, Aurore Dumont, Rony Demaeseneer, Laurent Demoulin, Christian Libens, Jean-Luc Outers, Pierre Piret et Rossano Rosi.
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Droz

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924

Telle fut la notice qui figura longtemps en tête des catalogues de la maison d'édition.

II fallait de l'intelligence, du cran et du caractère à une femme pour fonder et diriger une maison d'édition dans le Paris des années folles. C'est en décembre 1924 exactement que la neuchâteloise Eugénie Droz, alors âgée de trente et un ans, publia ses premiers livres, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle.

Ce fut bientôt l'inévitable VIe et le 25 rue de Tournon, dans cette maison donnée par un roi à un poète.

L'érudite demoiselle resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève.

Dès l'origine l'ancrage genevois de la maison était inscrit, sinon dans les astres, du moins sur la page de tous les titres, puisqu'Eugénie Droz avait choisi comme marque celle de l'imprimeur Jean de Stalle, actif à Genève de 1487 à 1493, et dont le troisième et vraisemblablement dernier livre, un Ars minor de Donat édité par Antonio Mancinelli, qu'il imprime le 15 mai 1493, fut le seul à porter la marque aux quatre putti tenant son propre monogramme.La seule modification qu'osa l'éditrice moderne fut de remplacer les initiales I.S. par les siennes.

Plus tard, elle voulut que son affaire restât genevoise et, en 1963, c'est à deux jeunes historiens aux intérêts complémentaires, Giovanni Busino et Alain Dufour, qu'elle céda la société. Ils perpétuèrent l'audience scientifique de la maison. En 1966 eut lieu le dernier déménagement; le 11, rue Firmin-Massot étant depuis l'adresse de la Librairie Droz S.A.

Depuis 1995, une troisième génération a pris la relève et Max Engammare dirige les destinées de la Librairie Droz.

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