Futuribles: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Futuribles est un centre de réflexion et d’études prospectives qui vise une intégration efficace du temps long dans les décisions et les actions.
Depuis 1960, Futuribles joue un rôle moteur dans le développement de la prospective en France et dans le monde.
Notre conviction est que pour agir librement et construire le futur de nos organisations et de nos sociétés, la compréhension et la prise en considération des évolutions en cours est primordiale. Notre travail consiste donc à repérer, analyser et comprendre les grandes transformations en cours, à cerner les principales incertitudes, à concevoir des processus de décision et d’action intégrant la prise en compte du long terme et l’implication des acteurs dans la construction du futur.
Nos activités sont menées grâce à une équipe d’une dizaine de permanents et à un large réseau d’experts et de partenaires.
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47 rue de Babylone, 75007 Paris FranceSite Web
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Maisons d'éditions similaires :
Art press
Bilingue (français/anglais) depuis 1992, artpress propose à ses lecteurs une approche éditoriale unique : lier les différentes formes de la création contemporaine – arts plastiques, littérature, photo, vidéo, cinéma, arts électroniques, architecture, danse, théâtre, musique, … – entre elles et les mettre en perspective.
Chaque mois, des articles de fond analysent les grands événements artistiques, les phénomènes culturels de notre époque, ainsi que les courants de pensée émergents. Des dossiers présentent des scènes artistiques à travers le monde, des interviews permettent de rencontrer créateurs, conservateurs et marchands. Des comptes-rendus d’expositions et chroniques thématiques enrichissent également chaque numéro.
La revue est en vente en kiosque le 21 de chaque mois.
Premières loges
Magazines d’actualité, revue spécialisée ou livres au long cours : les Éditions Premières Loges prolongent le plaisir de l’écoute. Tous les formats, pour tout le classique.
Fondées en 1989, les éditions Premières Loges s’organisent dès leurs naissance autour de L’Avant-Scène Opéra dont elles assurent toujours la publication. Depuis 2018, elles ont rejoint le groupe Humensis au sein duquel elles publient sous leur marque revues, livres et magazines sur l’univers de la musique classique.
Bouregreg
Seuil
"Publier des ouvrages qui permettent de comprendre notre temps
et d'imaginer ce que le monde doit devenir. "
L'ambition des fondateurs du Seuil est aujourd'hui intacte et plus utile que jamais. Fort de ces convictions, Le Seuil est désormais au premier rang des maisons généralistes, présent dans tous les domaines éditoriaux : littératures française et étrangère, thrillers et policiers, sciences humaines, documents, spiritualités, sciences, jeunesse et beaux-livres.
Créé en 1935, sous le double signe de l'engagement intellectuel et du catholicisme social, Le Seuil connaît son véritable essor à partir de 1945. Dès lors, Jean Bardet et Paul Flamand, les fondateurs, façonnent un catalogue ouvert à tous les secteurs de la création et du savoir. En 1979, Michel Chodkiewicz fait fructifier l'héritage des fondateurs et, à partir de 1989, Claude Cherki mène une politique de développement éditorial et commercial.
La fidélité à ses origines, au brassage des idées, l'attention portée à son époque ont favorisé le renouvellement de la maison. La dimension spirituelle s'est perpétuée avec les collections dirigées par Emmanuel Mounier, avec Paul-André Lesort, ou encore Teilhard de Chardin. Dans les années 1960, Le Seuil prend part aux débats liés à l'aggiornamento de l'Église. Une réflexion sur la dimension sociale du religieux qu'aura approfondie Jean-Louis Schlegel.
Le secteur politique reflète les luttes et les contradictions du monde contemporain. Les combats en faveur de la décolonisation, la volonté de saisir "L'Histoire immédiate" à partir des années 1960 (Jean Lacouture puis Jean-Claude Guillebaud), le soutien apporté à la littérature dissidente d'Europe de l'Est (Soljenitsyne), "Combats" de Claude Durand ou encore "L'épreuve des faits" de Hervé Hamon et Patrick Rotman, marquent, jusqu'à la période récente, cette attention critique à l'actualité politique, ce que confirme l'investissement intellectuel de la maison dans toutes les disciplines des sciences humaines.
François Wahl a, entre autres, permis le succès de "L'Ordre philosophique" (avec Paul Ricœur, collection aujourd’hui dirigée par Michaël Foessel et Jean-Claude Monod)), du "Champ freudien" (avec Jacques Lacan). Jacques Julliard et Michel Winock fondent "L'univers historique" en 1974 (aujourd’hui dirigée par Patrick Boucheron). Jean-Marc Lévy-Leblond reprend "Science ouverte". Sans prétendre à l'exhaustivité, il faut mentionner encore "La Couleur des idées" (Jean-Pierre Dupuy, Jean-Luc Giribone et Olivier Mongin), "La Librairie du XXe (puis du XXIe) siècle" (Maurice Olender), "Libre examen" (Olivier Bétourné), "Liber" (Pierre Bourdieu), "Economie humaine" (Jacques Généreux), « Anthropocène » (Christophe Bonneuil). On y publie en sciences humaines des auteurs majeurs, tels Edgar Morin, Roland Barthes, Hubert Reeves, Georges Duby, Gérard Genette, Pierre Bourdieu, John Rawls, Jean-Pierre Vernant, Alain Badiou... Et puis il y a aussi les revues : Poétique, Communications, Actes de la recherche en sciences sociales, Pouvoirs, Le Genre Humain, etc.
C'est Jean Cayrol qui aura posé la première pierre du domaine littéraire, avec sa collection "Ecrire" (1956). Les revues Tel Quel (Philippe Sollers) et Change (Jean-Pierre Faye) placent l'éditeur au cœur des débats d'avant-garde. En 1959, un an après qu'Edouard Glissant a été distingué par le Renaudot, un premier Goncourt récompense André Schwarz-Bart. La collection littéraire "Cadre Rouge" est d'abord animée par François-Régis Bastide. Elle est marquée par Didier Decoin, Patrick Grainville, Louis Gardel, Elie Wiesel, Erik Orsenna, Tahar Ben Jelloun, Andreï Makine, Régis Jauffret, Lydie Salvayre. Depuis 1974, "Fiction & Cie", fondée par Denis Roche, reprise en 2004 par Bernard Comment, mêle les genres avec Jacques Roubaud, Olivier Rolin, Chantal Thomas, Antoine Volodine, Thomas Pynchon…
Une forte lignée francophone singularise Le Seuil, avec Mouloud Feraoun, Mohammed Dib, Kateb Yacine, Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Anne Hébert, Jacques Godbout, puis Nelly Arcan, Ahmadou Kourouma, Alain Mabanckou ou Charif Majdalani.
Très tôt, la littérature étrangère ("Cadre vert") occupe au Seuil une place centrale, d'abord avec des œuvres venues d'Allemagne (Heinrich Böll, Günter Grass...). Ce domaine s'impose vite, avec Gabriel Garcia Marquez, Italo Calvino, Carlo Emilio Gadda, John Updike, William Boyd, John Irving, John Michael Coetzee, José Saramago, Manuel Vázquez Montalbán, Arturo Pérez-Reverte, Antonio Muñoz Molina, Elfriede Jelinek...
Dans les années 1990, tandis que son appareil de diffusion-distribution se renforce, le périmètre éditorial du Seuil s'élargit. Jacques Binsztok monte un département jeunesse, tandis que Jean-Robert Masson puis Claude Hénard assurent le développement des Beaux-livres. Le littéraire s'étend avec la création de L'Olivier (Olivier Cohen). "Seuil Policiers", collection fondée par Robert Pépin, publie Michael Connelly et Henning Mankell. Les essais s'enrichissent avec "La République des Idées" (Pierre Rosanvallon).
Innovateur dans l'édition de poche avec Microcosme (1951), Le Seuil a mené à partir de 1970 une politique active de développement de la série "Points". Un essor qui suit les évolutions du catalogue. Il débute avec des collections de sciences humaines, d'essais et de documents, puis "Points Romans". Après sa filialisation en 2006, Points, sous l'impulsion d'Emmanuelle Vial, voit son catalogue s’enrichir à vive allure tandis que de nouvelles séries sont créées.
En 2004, La Martinière Groupe rachète Le Seuil. Denis Jeambar prend les rênes en octobre 2006.
En janvier 2010, Olivier Bétourné, qui était entré dans la maison comme lecteur en 1977, puis en était devenu le secrétaire général en 1984 avant de quitter la rue Jacob en 1992, prend les fonctions de Président. Le Seuil déménage au 25 boulevard Romain Rolland, dans le quatorzième arrondissement de Paris.
En 2016, la maison est organisée en huit départements éditoriaux : Littérature (sous la direction de Frédéric Mora), Littérature étrangère, Sciences humaines (sous la direction de Séverine Nickel), Documents, Beaux-livres (sous la direction de Nathalie Beaux), Jeunesse (Béatrice Decroix), Don Quichotte (Stéphanie Chevrier) et les éditions du Sous-sol (Adrien Bosc). Thierry Diaz succède à Patrick Gambache à la tête de Points, l’une des trois filiales du Seuil avec les éditions de L'Olivier (Olivier Cohen) et les éditions Métailié (Anne-Marie Métailié). Autour d’Olivier Bétourné, la direction est renforcée : Ludovic Rio devient Directeur général adjoint, tandis qu’Adrien Bosc assure les fonctions de Directeur adjoint de l’édition. Bernard Comment est nommé conseilleur du Président pour le développement de la littérature.
En avril 2018, Hugues Jallon est nommé président du Seuil, après avoir été directeur éditorial pendant 4 ans au Seuil puis Président des éditions La Découverte de 2013 à 2018.
Une nouvelle étape de l'aventure est engagée.
Fallois (Éditions de)
Débats Publics
Créées en 2007, Débats Publics est une maison d’édition dont la vocation est de donner la parole aux dirigeants qui, à la lumière de leur expérience et de leurs convictions personnelles, souhaitent livrer leurs réflexions sur des sujets de société contemporains.
La crise économique et sociale que nous traversons actuellement remet en question l’ensemble des repères d’une société qui ne se reconnaît plus dans l’image qu’on lui renvoie. Et l’ampleur de cette crise est d’autant plus remarquable qu’elle est mondialisée.
Dans ce monde en plein bouleversement, au moment où il est question d’un nouveau départ et où l’on cherche à inventer les bases sur lesquelles construire l’après-crise, il existe aujourd’hui une nouvelle génération de dirigeants qui souhaitent partager leurs réflexions.
Car loin de s’accommoder d’une société utilisatrice, des hommes et des femmes se sentent une impérieuse responsabilité de réagir et d’agir.
Il y a aujourd’hui un vrai bouillonnement d’idées pour reconstruire un monde sans faire les mêmes erreurs. La crise va demander des efforts. Il faut un rêve, le rêve d’un nouveau XXIème siècle auquel ces dirigeants, en connexion avec leur temps, veulent contribuer.
Grâce à leurs métiers, leurs expériences et leurs expertises, ils ont acquis un savoir, une capacité d’analyse et des convictions qu’ils veulent aujourd’hui faire partager.
L’objectif pour les éditions Débats Publics est d’offrir une plate-forme à ces femmes et à ces hommes, de promouvoir leur dialogue avec l’opinion publique, de nourrir et de créer un débat public autour du sujet abordé par chacun de ces auteurs.
CAPC Musée Art Bordeaux
Dalloz
Aujourd'hui parmi les leaders de l'édition juridique professionnelle et universitaire en France, les Éditions Dalloz s'appuient à la fois sur un savoir faire séculaire et sur les techniques les plus modernes d'édition et de diffusion numériques.
Avec près d'un millier de titres sous les plus grandes signatures du droit, le catalogue des Éditions Dalloz rend compte de la richesse et du dynamisme de la production française en matière juridique.
AFA
L’Association Française des Anthropologues a été fondée en mai 1979 à la suite du colloque « Situation et avenir de l’anthropologie » (avril 1977). Elle s’est donné pour objet de « promouvoir le développement de l’anthropologie et des relations entre les anthropologues, informer le public sur l’anthropologie, représenter l’ethnologie française dans les instances internationales, éclairer les anthropologues sur leurs responsabilités ». Depuis plus d’une décennie, elle tente d’adapter son action au contexte créé par l’arrivée de nombreux jeunes chercheurs sans statut sur le marché de l’emploi et aux tensions qui travaillent le champ disciplinaire.
L’Association Française des Anthropologues est aujourd’hui la seule l’association professionnelle d’anthropologues qui édite une revue, le Journal des Anthropologues. Elle est aussi celle qui compte le plus d’adhérents. Ces derniers résident non seulement en Europe mais aussi dans les pays francophones d’Afrique, d’Amérique ou d’Asie.
L’AFA organise régulièrement des manifestations scientifiques de différents type : séminaires, tables ronde, colloques. Depuis 2007 elle anime périodiquement des « Rencontres-ethnologie » en collaboration avec une librairie parisienne dans la perspective d’ouvrir l’anthropologie à un public plus large.
L’Association est également membre fondateur du Conseil mondial des associations d’anthropologie (depuis 2004).
L’AFA a participé à l’organisation des Assises de l’anthropologie et de l’ethnologie en France en décembre 2007 et à la création de l’Association Française d’anthropologie et d’ethnologie en janvier 2009, dans le but de fédérer les initiatives et de tisser des synergies entre l’ensemble du tissu associatif concernant notre discipline.
Codhos
Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.
Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.
Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.