Laboratoire existentiel (Le): contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Le Laboratoire existentiel est né d’abord d’une fascination pour la perfectibilité de l’homme et sa capacité à s’autodéterminer, pour le meilleur et pour le pire.
Que fait-on de nous, de nos expériences, de nos pensées, de ce monde dans lequel on vit ? Nous sommes nos propres chercheurs et nos propres bâtisseurs de société.
Tel est le socle éditorial du Laboratoire existentiel, qui veut s’inscrire dans un mouvement de vie exploratoire et joyeux. Il est le fruit ensuite d’une double-passion pour le texte et l’image.
Et si on mettait davantage l’illustration en avant dans la littérature générale ?
Et si des artistes apportaient leur propre vision au travail des essayistes ?
Chaque livre est ainsi nourri de ce double-regard de l’auteur(e) et de l’illustrateur(trice).
Contact
Site Web
http://lelaboratoireexistentiel.fr/Adresse
25 boulevard du 11 novembre 1918, 95220 Herblay FranceSite Web
http://lelaboratoireexistentiel.fr/Adresse
25 boulevard du 11 novembre 1918, 95220 Herblay FranceDépôt de manuscrits
Par voie postale:
Service des manuscrits25 boulevard du 11 novembre 1918
95220 Herblay
France
Par internet:
as.estay@lelaboratoireexi stentiel.frMaisons d'éditions similaires :
![logo-similar-editor](https://www.edit-it.fr/documents/20182/23101/logo-editions-du-chene.png/afb5ee5e-bbe1-4de5-99ae-aab70bfd705f?version=1.0&t=1501160905000)
Chêne (Editions du)
![logo-similar-editor](https://www.edit-it.fr/documents/20182/23101/logo-equateurs.png/c230cd58-fd7d-41ce-9cbf-eb544f40fa93?version=1.0&t=1501160928000)
Equateurs (Editions des)
![logo-similar-editor](https://www.edit-it.fr/documents/20182/23101/logo-cyplog.png/cd33e64c-38d3-48f8-809f-7e33334b69a9?version=1.0&t=1501160870000)
Cyplog Editions
![logo-similar-editor](https://www.edit-it.fr/documents/20182/23101/logo-henry-dougier.jpg/ab50165b-b0b3-438f-be84-ac92c1b76c95?version=1.0&t=1501160962000)
Ateliers Henry Dougier
Arléa
Arléa est une maison d’édition créée en 1986.
Arléa publie une trentaine de titres chaque année.
Son catalogue comporte : des textes de littérature française et étrangère, des premiers romans, les grands classiques de l’Antiquité, des récits de voyage, quelques essais et livres d’histoire.
Al Dante éditions
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
![logo-similar-editor](https://www.edit-it.fr/documents/20182/23101/logo-denoel.png/b6efb0a0-849e-46de-a6ae-ceac843084bf?version=1.0&t=1501160878000)
Denoël
Antidata
Leha éditions
Leha, une jeune maison d’édition des littératures imaginaires pas comme les autres.
Un peu pompeux comme accroche ? Peut-être si vous ne nous connaissez pas encore, mais ce n’est pas l’esprit. L’esprit de Leha, c’est l’envie de donner un souffle nouveau et puissant à un genre littéraire qui tient à cœur à son équipe : l’imaginaire. Et pour cela, nous avons décidé de rompre avec les positionnements traditionnels en éditant aussi bien des romans que des guides de voyages (dans des mondes imaginaires bien sûr) ou des jeux de rôle. Notre volonté est de trouver des auteurs et des écrits d’excellence dans chacun de ces modes de narration et, quand cela a du sens, croiser ces univers créatifs. Par exemple transposer un roman dans un jeu de rôle, noveliser une bande dessinée et la transformer à cette occasion en jeu de rôle, inviter un auteur de jeu de rôle à écrire un guide de voyage ou un roman, etc…
Leha est très heureuse de constater que ce positionnement constitutif de son ADN fait l’objet depuis de quelques adaptations chez certains de ses éminentes consœurs.
Autre singularité dans son positionnement, dès le départ, Leha a choisi d’éditer des auteurs à tous les stades d’avancée de leur carrière : écrivain « star », débutant ou encore auteur talentueux déjà édité et en quête d’une meilleure visibilité auprès du public.
Cette approche singulière de Leha est expliquée par son éditeur dans le cadre d’interviews accordées dans les medias à son lancement en 2017.