Les éditions Plagiat: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Contact
Site Web
https://www.les-editions-plagiat.frDépôt de manuscrits
Les éditions Plagiat n'accepte aucun nouveau manuscrit.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur :
Maisons d'éditions similaires :
CRAM (Èditions du)
RMN
Cahiers du cinéma
L'histoire des Cahiers est en partie liée avec celle du « septième art », notamment en raison d'une génération de cinéphiles enthousiastes et provocateurs qui donnèrent naissance à la Nouvelle Vague, en instaurant préalablement la politique des auteurs.
Créés en 1951 par Joseph-Marie Lo Duca, Jacques Doniol-Valcroze et André Bazin, avec un soutien économique de Léonide Keigel, les Cahiers succèdent à La Revue du cinéma de Jean George Auriol qui a cessé de paraître en octobre 1949 et dont Doniol et Bazin étaient les collaborateurs. La couverture comme le contenu restent dans le même esprit. Le titre du magazine est proposé par Doniol-Valcroze le 10 février 1951, qui a tout d'abord du mal à convaincre Bazin et Keigel. Les titres les plus envisagés étaient Cinématographe, Du cinéma ou Objectif. Le nom de Cahiers est validé même si des membres sont dubitatifs, pour risque de confusion avec les Cahiers de la Pléiade (qui cessèrent de paraître en 1952) et les Cahiers de la Quinzaine.
Les jeunes cinéphiles, Jean-Luc Godard, François Truffaut, Éric Rohmer, Jacques Rivette, Claude Chabrol et bien d'autres, y écrivent leurs premières critiques, avant de devenir cinéastes.
Wikipédia
Fallois (Éditions de)
CEMS
Le CEMS est une unité de recherche (EHESS/CNRS UMR8044/INSERM U1276) qui comporte une trentaine de chercheurs et enseignants chercheurs.
Il est membre du LabEx TEPSIS (Transformation de l'Etat Politisation des sociétés Institution du social), de l'IFRIS (Institut Francilien Recherche Innovation Société), et de l'EUR GSST (Ecole Universitaire de Recherche Sciences Sociales du Genre et de la Sexualité).
Il héberge le Centre d'Etudes John Dewey/Center for Dewey Studies France.
Clovis
CRÉATION DE LA REVUE FIDELITER
L'abbé Paul Aulagnier créa la revue Fideliter en 1977, afin de doter la Fraternité sacerdotale saint-Pie X de son premier outil de communication en France.
Le premier numéro de la revue Fideliter parut en janvier 1978, il fut tiré à 600 exemplaires sur les presses d’Ecône et fut distribué dans les chapelles du district de France. Petite anecdote amusante, en voyant ce premier numéro de 54 pages dactylographiées, Mgr Marcel Lefebvre – fondateur de la Fraternité saint-Pie X – s’exclama : « Cela fait un peu pot-pourri, votre affaire… Pourvu que ce ne soit pas un mort-né ! »
Heureusement, les collaborateurs à la revue n’ont pas manqué, ce qui lui a permis de se développer rapidement. L’abbé Didier Bonneterre – aujourd’hui décédé – a très vite rédigé une série d’articles sur la liturgie qui furent ensuite réunis en un seul volume, intitulé Le Mouvement liturgique. Ce fut le premier livre publié par Fideliter.
Transmettre la foi catholique, faire connaître le saint sacrifice de la messe, tels furent les premiers enjeux de la revue dans un contexte post-conciliaire de crise de l'Eglise. « Fideliter », cela veut dire en latin la fidélité à la doctrine catholique, c’est pour cela que Mgr Lefebvre avait fondé le séminaire d’Ecône. Fideliter se voulait dès le départ une revue de vulgarisation de la doctrine, accessible à tous les fidèles, mais abordant également l’histoire et la culture catholique.
Les éditions Fideliter commencèrent à publier quelques livres en complément de la revue, dès les premières années.
CRÉATION DES ÉDITIONS CLOVIS
En 1995, l’abbé Grégoire Celier prit la direction de Fideliter et créa les éditions Clovis, en lien avec la revue, dans le but de développer davantage la publication et la vente de livres, notamment à destination de la jeunesse.
Le nom de Clovis fut choisi en l’honneur du 1500e anniversaire du baptême du roi Clovis par saint Rémi (en l’an de grâce 496).
Au mois d'août 2006, l'abbé Philippe Toulza entra dans l'établissement, et un an après, il remplaça l'abbé Celier à la tête des éditions Clovis-Fideliter.
Centro editoriale Valtortiano
Le Centro Editoriale Valtortiano (CEV) a été constitué en 1985 par Emilio Pisani, fils de Michele Pisani (1896-1965), premier éditeur de Maria Valtorta (1897-1961).
Selon les termes de l’acte constitutif du CEV, “son but spécifique et prioritaire est de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux.
Sa personne, par la recherche historique et documentaire, les recueils des témoignages, la garde des objets lui ayant appartenu, la protection de son nom et de sa mémoire, les démarches visant à la faire connaître dans les domaines civil, culturel et ecclésial.
Ses écrits, par la presse et la diffusion des œuvres littéraires et de toute documentation soit celle laissée par Maria Valtorta elle-même, soit celle qui serait fournie par d’autres concernant sa personne, en italien et en d’autres langues.
Ses idéaux et sa spiritualité, par le moyen de la divulgation de l’instruction religieuse, notamment scripturaire dans l’esprit catholique”.
Le siège du CEV est à Isola del Liri, une agréable localité de l’Italie centrale, qui doit son nom au fleuve Liri. Celui-ci partage ses eaux en amont d’un ancien château, se jette ensuite en deux cascades dans la vallée, pour réunir en aval ses deux cours d’eau qui ont embrassé au passage le noyau du village.
Les eaux du fleuve ont favorisé le développement des usines de papier que, au début du XIXe s., des entrepreneurs français, venus à la suite de Joachim Murat, nommé roi de Naples par Napoleon Bonaparte, ont voulu installer sur le territoire de Isola del Liri.
Le lieu devint un des centres européens les plus importants de l’industrie du papier, et fut amplifié par la suite par la technique industrielle de la papeterie et du feutre.
Au siècle suivant s’y développa aussi, avec la production littéraire, une typographie éditrice, spécialisée surtout dans la presse catholique pour les Instituts religieux et les Congrégations romaines.
C’est ainsi qu’il a été possible à Michele Pisani, son propriétaire, de prendre connaissance des manuscrits de Maria Valtorta et de s’en constituer l’éditeur courageux.
Ce fut le départ du Cev: la branche valtortienne d’une entreprise éditoriale, qui devint un arbre…
Le CEV, compté en Italie parmi les éditeurs qui chaque année remportent le prix du Ministère pour les Biens de Culture en raison de ses exportations de livres, a obtenu en outre, plusieur fois, le prix de la Culture de la Présidence du Conseil des Ministres.