Annuaire d' éditeur / Charleston
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Charleston

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
15 oeuvres publiés par an
Les éditions Charleston sont nées en janvier 2013. Cette maison d’édition indépendante vous propose de découvrir des romans qui vous transportent, des livres qui racontent des histoires, de belles histoires de femmes : des romans qui font du bien !

Contact

elise@editionscharleston.fr

Téléphone

0140523535

Adresse

29 Boulevard Raspai, 75007 Paris
France

Dépôt de manuscrits

Maisons d'éditions similaires :

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Bleu autour

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997
120 livres au catalogue dont
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Prairial

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2014
4 publiés par an

Prairial est une maison d’édition lancée en 2014, qui souhaite faire redécouvrir des textes rares sous une forme à la fois simple et soignée.

Prairial est aussi le neuvième mois du calendrier républicain – soit la période allant du 20 mai au 18 juin dans le ci-devant calendrier grégorien.

Il nous plait de remettre en usage ce calendrier utopique, qui voulait marquer le début d’une nouvelle ère, mais n’aura finalement servi que douze petites années, de 1793 à 1805. Ce calendrier régi par la froide raison (12 mois de 30 jours, plus quelques sans-culottides pour faire bonne mesure), mais dont la nomenclature a été imaginée par un poète au nom délicieux, l’immortel auteur de « Il pleut, il pleut, bergère », Fabre d’Églantine (à tes mânes, salut !). Un calendrier absurde, en somme, qui croyait pouvoir changer le monde. Comme les livres que nous rééditons.

Car prairial, s’il est bien le joli mois où les fleurs volent au vent, est aussi un mois de luttes – et de rêves démesurés : c’est le 20 prairial an II qu’a lieu la fête de l’Être suprême, rien de moins que la tentative révolutionnaire d’instaurer une nouvelle religion ; c’est le 1er prairial an III que le peuple parisien se soulève pour reprendre un pouvoir qu’on lui a volé. Semblablement nous voulons que Prairial, la maison d’édition, soit celle des délirants, des révoltés et des prophètes.

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Thierry Sajat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1985
La première raison : en arrivant à Paris en 1981 pour travailler (à la Poste), j’ai voulu rencontrer des poètes. J’ai voulu également publier mes premiers écrits. Je m’étais rendu à l’époque dans une maison d’édition parisienne (qui a été contrainte plus tard, par décision de justice, de fermer ses portes) qui faisait de la publicité à la radio chaque soir très tard. Après avoir envoyé un premier manuscrit, j’ai obtenu un rendez-vous pour signer un contrat, ce que je n’ai pu faire, tant était élevée la somme que l’on me demandait.
 
Un poète m’ayant mis en relation avec une autre association provinciale qui publiait des recueils de poèmes, j’ai publié un premier recueil mais cette maison m’a escroqué financièrement.
 
A partir de ce moment là, j’ai décidé que je serais mon propre éditeur. Ce que je fis avec un second recueil publié artisanalement avec les moyens du bord, les poèmes dactylographiés sur une simple machine à écrire.
Un Poète de mes amis n’étant pas assez riche pour publier ses textes, je lui ai proposé de lui présenter une maquette de ses poèmes afin de les relier en un recueil. Ce fut ma première publication en tant qu’éditeur, très artisanale, mais l’ami poète eut son ouvrage.
 
Ensuite j’ai amélioré mes propres éditions. 
 
J'ai créé la « Collection Sajat » La machine à écrire a laissé place à l’ordinateur et les reliures furent de meilleures qualités, mais toujours artisanales. Mes auteurs pouvaient publier pour un coût raisonnable un ouvrage.
 
Enfin,  après des années de recherches et de travail, j’ai rencontré des imprimeurs grâce auxquels j’ai pu présenter de vrais ouvrages de qualité. C’est ainsi qu’allaient naître « les Editions Thierry Sajat », avec une qualité de papier et de reliure.
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Glamencia éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2021

Glamencia Editions est une maison d'édition à compte d'éditeur, humaine et ouverte d'esprit. Nous sommes passionnés de belles histoires et prônons la diversité quelle qu'elle soit. C'est pour cela que nous publions tout type de roman mettant en scène des personnages fictifs de tous horizons, de tout genre et de toutes orientations sexuelles. Un seul crédo, la présence d'amour est indispensable, que celui-ci soit juste de passage ou fasse partie prenante de l'intrigue.

En raison de leur particularité, seuls les essais, les autobiographies, et les fanfictions ne figureront pas dans notre catalogue.
Veuillez vous référer à la page soumission de notre site internet pour connaître les modalités d'envoi de votre manuscrit.

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Caraibeditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2008
Caraïbéditions a souhaité créer un espace d’expression créole et plus largement « domien ». Elle publie des ouvrages qui ont tous un lien direct ou indirect avec les Antilles-Guyane et La Réunion, que ce soit grâce à la langue (les créoles), grâce aux auteurs (originaire ou vivant dans les DOM) ou grâce aux histoires qui se déroulent dans les DOM. Elle a été la première maison d’édition à publier, dès 2008, des ouvrages célèbres en créole antillais, guyanais et réunionnais. C’est ainsi que figurent à son catalogue des romans, des contes et des BD en créole aussi célèbres que « L’étranger » d’Albert Camus, « Le Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry ou "Astérix" d’Uderzo et Goscinny sans oublier des ouvrages tels que « Trajédi Rwa Kristof » d’Aimé Césaire. Avec la publication de ces ouvrages en créole, Caraïbéditions a souhaité créer et publier ses propres séries en français. C’est ainsi que sont nées diverses séries manga, BD et albums jeunesse. La série BD "Mémoire de l’esclavage" de Serge Diantantu est une des rares séries BD parrainée par l’UNESCO. Caraïbéditions possède également une collection de polars et de romans dans lesquelles sont publiées des auteurs connus et reconnus tels que Raphaël Confiant, Ernest Pépin ou Lyonel Trouillot... Le polar "Le gang des Antillais" de Loïc Léry a été porté à l’écran fin 2016. Une collection érotique figure également au catalogue de Caraïbéditions. Une collection essais et ouvrages universitaire figure également au catalogue de Caraïbéditions avec notamment plusieurs ouvrages de santé et bien-être qui connaissent un joli succès tels que "Psychologie des sociétés créoles" ou "Les violences dans les sociétés créoles" d’Errol Nuissier.
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Salvator

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1924
850 livres au catalogue dont 100 publiés par an
Salvator publie des livres pour permettre à ses lecteurs d'approfondir leur recherche intellectuelle et spirituelle. Pour éclairer leurs choix de vie dans une perspective chrétienne et dans un esprit de dialogue, de respect et d'ouverture à la différence des croyances et des cultures. Salvator veut faire connaître la différence et l'espérance chrétiennes comme chemin de vie pour les hommes et les femmes de notre époque. Salvator est partie prenante, du débat public sur les grandes questions de l'existence humaine individuelle et collective.
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Alma éditeur

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Cabédita

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
L'existence des Editions Cabédita, fondées en 1987 par Eric Caboussat, est liée au souci de doter les régions d'un créneau littéraire consacré avant tout à l'histoire, à la mémoire, au patrimoine et aux traditions.
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Editions Maïa

Maison d'édition à compte d'éditeur
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Corridor Bleu (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997

Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.

La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.

Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien.  Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.

Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.

Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.

Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.

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