Château des ducs de Bretagne: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Créée en 2007, la maison d'édition 'intégrée' au Château des ducs de Bretagne, rattachée à la direction scientifique du musée d'histoire de Nantes, publie des ouvrages qui prolongent votre visite de ce site majeur de l'Ouest de la France et qui accompagnent de contenus inédits les nombreuses expositions qui s'y déroulent. Un livre pour chaque membre de la famille !
Interroger le patrimoine et la riche histoire de cette ville portuaire millénaire, ouverte sur le monde, est le fil directeur des nombreuses publications du musée. Un questionnement qui se veut citoyen tout en portant aussi un regard sur les autres civilisations — du Moyen Âge à nos jours. Des thèmes forts se dégagent comme l'histoire de la principauté bretonne sous la duchesse-reine Anne de Bretagne ; la traite atlantique et la mise en esclavage ; la Révolution française ; l'industrialisation des 19e et 20e siècles, les deux guerres mondiales... et l'histoire coloniale.
S'inscrit ainsi Nantes dans une histoire globale et connectée : une histoire partagée.
Contact
Site Web
https://www.chateaunantes.fr/Téléphone
0251174900Adresse
4, place Marc Elder, 44000 Nantes FranceSite Web
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Dépôt de manuscrits
Château des ducs de Bretagne n'accepte aucun nouveau manuscrit.
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Maisons d'éditions similaires :
Editions Amok
Codhos
Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.
Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.
Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.
Sillage
Ecole nationale des chartes
L'École nationale des chartes publie sous forme imprimée et numérique cinq collections d’ouvrages :
- les Mémoires et documents de l'École des chartes, collection qui remonte à 1896 et qui accueille des monographies et des ouvrages collectifs d’envergure, au premier rang desquels des thèses d’anciens élèves de l’École des chartes
- les Études et rencontres de l'École des chartes, collection lancée en 1998, qui accueille avant tout les actes de journées d’études ou de rencontres scientifiques
- les Matériaux pour l'histoire, collection inaugurée en 1996 et constituée de volumes in-4° abondamment illustrés
- les Études et documents pour une Gallia Pontificia, collection coéditée par l'École nationale des chartes et l'Institut historique allemand de Paris depuis 2009 pour présenter les travaux réalisés dans le cadre de la Gallia Pontificia, entreprise scientifique qui se propose de recenser, publier et étudier les actes pontificaux concernant la France antérieurs à 1198
- Magister, collection qui propose des ouvrages de référence dans les domaines qui constituent le cœur des spécialités de l'École : ecdotique, archivistique, diplomatique, paléographie, codicologie, philologie, archéologie, histoire de l’art. Ces manuels, élaborés par les professeurs et enseignants-chercheurs de l’École, s’adressent aux étudiants ainsi qu’à tous ceux qui souhaitent s’initier à ces disciplines
À ces collections, s’ajoute une publication périodique liée à l’activité de formation de l’École des chartes :
les Positions des thèses soutenues par les élèves pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe publiées annuellement par l'École des chartes depuis 1849 ; elles sont intégralement disponibles en ligne depuis 2000 et répertoriées depuis 1849.
Ecole française d'Athènes EFA
En 1873, 27 ans après sa création, l’École française d’Athènes créait un Institut de Correspondance hellénique « devant réunir les faits intéressant l’histoire, la langue et les antiquités du peuple grec ». Un tel Institut exigeait un Bulletin et à la fin du mois de janvier 1877, sortait de presse le premier numéro du Bulletin de correspondance hellénique.
L’activité éditoriale de l’École française d’Athènes était née.
143 ans plus tard, les publications de l’EFA demeurent le point de passage obligé pour quiconque s’intéresse à la Grèce et au monde grec de l’Antiquité à nos jours. Elles proposent plus de 600 titres en histoire, archéologie, épigraphie, numismatique, géographie, sociologie et plus largement dans toutes les disciplines érudites des sciences de l’Antiquité ainsi que dans plusieurs disciplines des sciences humaines et sociales. Fidèles à leur vocation initiale d’assurer la diffusion des recherches de l’institution, mais aussi de ses partenaires scientifiques, les Éditions de l’École française d’Athènes publient entre vingt et vingt-cinq nouveaux titres par an. Jouissant d’une large diffusion francophone et internationale, ces publications s’adressent également à un public non universitaire.
Ouvertes sur les développements du numérique, l’École française d’Athènes inaugure très tôt, en 2003, sa propre bibliothèque numérique, CEFAEL. Ses publications se trouvent depuis, également, sur Persée, Open Edition Journals (BCH, BCHmc et Bulletin archéologique des EFE) et sur son site.
Elles sont diffusées par Peeters Publishers en association avec Ian Steven Distribution pour le marché nord-américain.
Les Éditions de l’École française d’Athènes publient cinq revues et 18 collections.
Acoria
Fort de son expérience dans le monde de l'édition et de la presse ( Le matin de Paris, la maison d'édition Autrement, directeur littéraire) et homme de théatre, Caya Makhélé crée en 1998 la maison d'édition Acoria. Au départ, ce sont les textes de théatre assez exigent et d'autres dont les auteurs sont des amis que désire publier le directeur.
Au fil du temps, la maison se développe et élargit son champs à la littérature générale et puis à la littérature jeunesse. Avec un catalogue de 120 titres, Acoria base sa politique éditoriale sur la proximité, travaillant avec des auteurs de toutes origines avec le souci d'être au plus près de leur démarche.
Acoria attache aussi beaucoup d'importance à la rencontre ( dans les écoles, lors de manifestations) entre les auteurs et leur lecteurs. La maison s'intéresse particulièrement aux thèmes qui touchent à la compréhension de la différence et à l'autre dans la description de son vécu.
Dans le domaine de la littérature jeunesse, ces livres se destinent aux enfants qui savent lire, à partir de 10 ans. Sa production est avant tout des petits récits et des romans mais aussi des contes, des essais, des entretiens et explications. Ses principales collections pour la jeunesse sont "Partage" , "Conte d'ici et d'ailleurs" et "Petites graines" .
Une nouvelle collection intitulée "Comprendre le monde" , traitant de sujets pointus et sociaux, devrait bientôt voir le jour.
Bréal
Les éditions Bréal sont une maison d'édition française fondée en 1969 par Jean-Michel Zunquin. Elle est devenue, en 2014, une marque éditoriale exploitée par le groupe Studyrama.
À l'origine, la spécialité scolaire et parascolaire de Bréal se manifeste dans des précis (de science, d'économie...) pour classes préparatoires et des fiches pour le lycée et l'université.
La maison publie aussi depuis 1999 des manuels pour le collège et des essais, et intègre de nouveaux auteurs comme Yves Cochet, Bernard Maris, Marcela Iacub, Patrice Maniglier, Emmanuel Pierrat, François Bégaudeau, Jean-Paul Escande, Michel Onfray, Serge Hefez, Jean-Paul Guedj, Joann Sfar, Ferrante Ferranti, Marc Montoussé, Laurent Carroué, Didier Collet, Claude Ruiz, Sylvie Brunel, Frédéric Fougerat ou, plus récemment, Kilien Stengel et François Jost.
Wikipédia
Fallois (Éditions de)
CTHS
Libertalia
À la fin du XVIIe siècle, Misson, un gentilhomme provençal passé à la piraterie, et Carraccioli, un prêtre défroqué aux idées révolutionnaires, fondèrent au nord de Madagascar une République égalitaire du nom de Libertalia.Éphémère, mythique, née de l’imaginaire fertile de Daniel Defoe, l’utopie pirate n’a probablement jamais existé.
Pourtant, à l’heure de l’argent-roi, du sécuritaire triomphant, du libéralisme et des égoïsmes généralisés, certains refusent encore de se soumettre à la « fin de l’histoire », à l’injustice confondante, au cercle vicieux de la modération et de la résignation. Parce qu’aujourd’hui plus qu’hier, « ceux qui vivent sont ceux qui luttent », les éditions Libertalia se donnent pour objectif d’armer les esprits et de les préparer à des lendemains solidaires et libertaires.Tremblez puissants, nous ne ferons pas de quartier !