Coelacanthe: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Les éditions Coelacanthe sont une des activités de l'association Coelacanthe créée en 2000 pour promouvoir la culture comorienne et africaine en France.
Les éditions avaient pour objectif, à l’origine, de publier une revue d’histoire spécialisée sur les Comores et les pays de l'Océan Indien : Tarehi. Revue d'histoire et d'archéologie. Celle-ci est toujours produite par les Éditions Coelacanthe.
En 2010, les éditions Coelacanthe ont décidé d’élargir le champ de leurs publications : ouvrages d’histoire, essais, romans, nouvelles, théâtre, poésie… tout peut nous intéresser dès que cela touche aux quatre îles des Comores, à l’Afrique et au monde noir.
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0634576532Adresse
51 Rue Hélène Muller , 94320 Thiais FranceSite Web
https://www.editions-coelacanthe.com/Téléphone
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51 Rue Hélène Muller , 94320 Thiais FranceDépôt de manuscrits
Par voie postale:
COELACANTHE146 rue de Florence
77550 Moissy-Cramayel
France
Par internet:
eds.coelacanthe@gmail.comMaisons d'éditions similaires :
Nouveau Monde
Vlb
Cygne (Editions du)
Fedora
LES DÉBUTS DE LA MAISON D'ÉDITION
C’est fin 2015 que les éditions Fedora ouvrent leurs portes, après trois années de préparatifs. Elles naissent d’une volonté de renforcer une branche éditoriale actuellement en retrait dans le panorama de l'édition archéologique, celle des publications épistémologiques, des manuels ou plus généralement des travaux servant la discipline elle-même. En effet, si les résultats de la recherche sont plutôt bien publiés et de plus en plus vulgarisés, il n’existe que trop peu encore d'ouvrages pour les professionnels et les futurs archéologues.
L'ARCHÉOLOGIE POUR TOUS
Les éditions Fedora se veulent ainsi un lieu d'élaboration d'un type nouveau d'outils. À travers ses diverses collections, elles proposent des angles de vue riches et variés sur l’archéologie pour en approfondir la théorie ou en faciliter la pratique. Son catalogue vise donc les professionnels comme les étudiants, mais aussi tous ceux qui souhaitent mieux comprendre l’archéologie d’aujourd’hui. Ainsi, afin de refléter au mieux la diversité actuelle des pratiques archéologiques, les auteurs conviés sont issus d’horizons très différents.
Cinquième Couche (La)
La Cinquième Couche est une maison d'édition belge indépendante. La Cinquième Couche, dite aussi 5c, publie essentiellement de la bande dessinée depuis 1993.
Fondée par un groupe d'auteurs de l'atelier de bande dessinée de l'Institut Saint-Luc de Bruxelles (Damien Rocour, Sarah Masson, Michel Squarci, Sibylle Loof, Olivier Fable, Vincent Dutreuil, Nicholas Wood, Sébastien Kempenaers, Christophe Poot, Renaud De Heyn et Xavier Löwenthal), elle demeure jusqu'à la fin des années 1990, un groupe informel qui auto-publie ses productions. Ce n'est qu'au tournant des années 2000 qu'elle devient une réelle structure d'édition. Elle est actuellement pilotée par William Henne.
Cinq collections ont été créées : F., Extracteur, écritures, ESSAIM et Point métal.
En 2016, le catalogue compte 110 publications (5 revues publiées entre 1993 et 1998 et le reste publié à partir de 1999), par une soixantaine d’auteurs, provenant d’une dizaine de pays différents (Belgique, France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Grèce, Finlande, États-Unis, Corée…)
La 5e Couche n’a jamais clairement définit sa ligne éditoriale a priori, sinon qu’en redéfinissant sans cesse son média, elle inscrit la bande dessinée dans les pratiques contemporaines (Tout ce qui frôle la bande dessinée et tend à l’en éloigner intéresse la 5e Couche, extrait du catalogue). Cependant, on peut dégager une tendance lourde en survolant le catalogue de l’éditeur : l’approche conceptuelle. Les publications procèdent majoritairement d’un dispositif narratif ou graphique d’ordre ludique, spéculatif, théorique, poétique ou auto-référentiel, qui préside au propos de l’auteur. Alors certes ce sont des dispositifs que l’on pourra trouver ailleurs (que ce soit en bande dessinée, en littérature ou dans les arts visuels), mais il y a incontestablement, dans les choix du comité éditorial, une inclination jubilatoire pour les jeux sur le langage et les codes visuels : les détournements, les mises en abîme, les structures narratives renversées et/ou systématiques, le jeu sur les contraintes, la déconstruction du récit, la parodie, les postulats surréalistes (poétiques, insolites, absurdes), la déconstruction de l’image, le rapport texte/image dissocié, l’abstraction, le récit métaphorique, la structure musicale, l'imposture,... Tous ces dispositifs formels n’oblitèrent pas les propos de leurs auteurs, au contraire, ils les réactivent : en abordant un thème, déjà mille fois traité, sous une forme renouvelée ou inusitée, l’auteur met en avant son sujet, qu’il soit politique, autobiographique, philosophique ou social.
Cette inclination conceptuelle et ludique n’escamote pas non plus les préoccupations formelles purement rétiniennes des auteurs : couleur, matière, techniques, texture, forme, dessin, composition… (ce sont des aspects traditionnels et modernistes déjà très présents chez d’autres éditeurs, y compris plus classiques).
De même que La 5e Couche participe d’une tendance générale de ces dernières décennies, le décloisonnement. Les livres publiés par la 5C sont pour la plupart à la lisière de la bande dessinée. Les auteurs publiés investissent le plus souvent d’autres disciplines et cela se répercute sur leur pratique de la bande dessinée : le théâtre, la performance et l’installation, la musique, la peinture, la sculpture, le graphisme, la sérigraphie, le cinéma d’animation et la vidéo, le dessin contemporain, la photo, l’affiche, la littérature,… (cet aspect n’est pas forcément spécifique à La 5e Couche et se retrouve chez de nombreux auteurs publiés ailleurs).
Quelques épisodes marquant ont jalonné l’histoire de la 5C : de 2004 à 2007, elle a repris à son catalogue la revue de littérature contemporaine écritures. De 2010 à 2013, elle a publié également la revue "Soldes, Fins de Séries", de Marc Borgers et Jean-Louis Sbille. Elle a été l'éditeur de la Bande dessinée Katz, détournement controversé de Maus, de Art Spiegelman, dans lequel l'auteur anonyme (Ilan Manouach) avait remplacé toutes les têtes des différentes espèces représentées par des têtes de chats. La 5e Couche est aussi l'éditeur de Judith Forest, succès de la bande dessinée féminine, en réalité une imposture littéraire de ses éditeurs de l’époque, William Henne, Xavier Löwenthal et Thomas Boivin.
Texte du catalogue : La bande dessinée est une forme contemporaine parmi d'autres.5C la tient en haute estime, elle et ses lecteurs. Tout ce qui frôle la bande dessinée intéresse La 5e Couche et tend à l’en éloigner. Son champ d’action est, par définition, poreux et illimité. Il ne serait pas étonnant de trouver, parmi ses livres, un précis d’urbanisme tatare ou de dodécaphonisme bantou, pourvu qu’ils s’articulent. Deux images / photos / mots etc. peuvent suffire à établir une articulation narrative. 5C montre. Du jamais vu, jamais comme ça, s’il en est.
5C agence. 5C fomente les conditions qui rendent la création possible. 5C n’a pas de cible. Son manifeste, ce sont ses livres.
Dès l’origine, le sens fusait de toutes parts. Parce que le sens n’est pas dans l’ordre des causes et des conséquences jusqu’au dénouement. Parce que le sens n’est pas dans l’élucidation. Comme un robot privé de sa fonction : il est inutile et libre. 5C aujourd’hui, c’est un catalogue de plus de vingt ans de publications, depuis les expériences collectives du groupe initial jusqu’aux livres d’aujourd’hui. Vous le tenez entre vos mains.
Millon
INED
Espace nord
Du Bout de la Ville
Depuis la naissance des éditions en 2012 avec l’écriture et l’édition d’un livre qui raconte la catastrophe nucléaire de Fukushima, nous avons accompagné l’écriture et permis l’édition de sept livres. Empruntant à la fois au témoignage et à l’essai, chacun de ces livres veut contribuer à l’élaboration d’un langage commun, à la fois issu d’expériences singulières et inscrit dans l’histoire sociale.
Les conditions matérielles, le niveau d’exploitation et la communication numérique généralisée rendent difficile une telle production ; pourtant, ce sont ces mêmes raisons qui rendent l’écriture et l’édition de ces livres toujours plus nécessaires pour penser, vivre et pourquoi pas, changer le monde.
Encyclopaedia Universalis
Encyclopædia Universalis édite depuis 1968 un fonds éditorial à partir de son produit principal : l’encyclopédie du même nom.
Dédiée à la recherche documentaire, la culture générale et l’enseignement, l’Encyclopædia Universalis est la plus importante encyclopédie généraliste de langue française et une des plus renommées du monde, équivalant à la célèbre encyclopédie américaine Encyclopædia Britannica.
Encyclopædia Universalis développe et maintient une politique éditoriale très exigeante, ce qui lui confère le statut d’encyclopédie de référence. Depuis sa création, plus de 7 400 auteurs spécialistes de renommée internationale, parmi lesquels de très nombreux universitaires tous choisis pour leur expertise, sont venus enrichir et garantir la qualité du fonds éditorial de l’entreprise.
Son savoir-faire est également technique. Dès 1995, l’encyclopédie a été développée sur support numérique. Ses contenus sont aujourd’hui disponibles sur Internet, e-books, et DVD-Rom. Ils sont accessibles sur ordinateur, tablette ou smartphone. L’entreprise a conçu un moteur de recherche exclusif et ultraperformant qui permet aux utilisateurs d’obtenir des résultats incroyablement précis, grâce à plusieurs modes de recherche (par mot clé, par thème, par média…).
Forte de ces atouts, Encyclopædia Universalis s’adresse à la fois à l’ensemble des particuliers et au monde de l’éducation.
Un partenariat a été développé avec l’Éducation nationale dès 1999 pour mettre à la disposition des établissements secondaires et des universités une version adaptée du fonds encyclopédique. Une nouvelle encyclopédie a ensuite été conçue pour les écoles élémentaires. Encyclopædia Universalis se positionne aujourd’hui comme un acteur essentiel dans le nouveau panorama de l’éducation numérique.