Annuaire d' éditeur / Magellan et Cie
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Magellan et Cie

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1999

Créées en 1999 par Marc Wiltz, les éditions Magellan & Cie donnent la parole aux écrivains-voyageurs de toutes les époques. En publiant récits et carnets de voyage, reflets de la diversité de notre planète, elles espèrent rendre hommage au navigateur portugais Fernand de Magellan (1480-1521), auteur de la première circumnavigation, qui, au prix de sa vie, mit fin au mythe d’une terre plate et rendit service à l’humanité tout entière.

Magellan donc, Bougainville, Pierre Loti ou Gérard de Nerval, explorateurs pour les uns, auteurs romantiques pour les autres, dévoilent des terres lointaines sur tous les continents ou parlent de leurs pérégrinations audacieuses. À ces voix des siècles passés s’associent de nombreux auteurs contemporains du monde entier, réunis dans la collection « Miniatures », ainsi que les coups de crayon de carnettistes et de peintres voyageurs résolument modernes qui expriment et interrogent l’altérité.

Dans sa librairie située à Paris (34, rue Ramey - 75018), Magellan & Cie accueille aussi d’autres collections dédiées aux spectacles vivants, à des témoignages contemporains et des albums jeunesse sur le voyage qui ouvrent également sur le monde un regard coloré et amusant. 400 titres publiés depuis la création de la maison d'édition.

La richesse de l’homme sur terre est ainsi abordée sous tous ses aspects.

Contact

contact@editions-magellan.com

Téléphone

0153280305

Adresse

34 rue Ramey, 75018 Paris
France

Maisons d'éditions similaires :

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Editions de l'Olivier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1991
700 livres au catalogue dont 40 publiés par an
Nées en 1991, les éditions de l'Olivier (40 titres par an) ont imposé leur marque grâce à leur catalogue de littérature américaine et à un groupe d'auteurs français. S'y ajoute la collection Penser/Rêver, à la frontière entre psychanalyse et littérature, et une ligne de romans graphiques.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Rocher (Editions du)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1943
5200 livres au catalogue dont 70 publiés par an
Fondées en 1943, les Éditions du Rocher publient des fictions, essais, documents, des ouvrages pratiques ou sur la santé.
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Cosmopole

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1998

En 1998, les éditions Cosmopole commencent par publier des récits de voyage et d’histoire. Au fil des ans, des biographies historiques de grands personnages de l’épopée napoléonienne ainsi que des dictionnaires ont enrichi le catalogue.

En 2008, la maison est reprise ; l’accent sera mis sur l’histoire et la découverte avec la publication de récits d’exploration. Le vrai tournant est pris en 2010 avec la création d’une collection élégante et originale, « Les dictionnaires insolites », dirigée par Vanessa Pignarre et Patrick Arfi. Cette collection a d’abord proposé un voyage différent, à travers les mots, dans des pays, des régions et des villes du monde entier.

Le succès des dictionnaires insolites tient à tous ceux qui ont œuvré à la conception des livres, les auteurs (journalistes, universitaires, écrivains ou encore expatriés) qui apportent leurs connaissances et laissent entrevoir leur personnalité, et les graphistes, Karin Doering-Froger puis Amélie Pignarre, dont le talent et l’imagination ne se sont pas démentis.

En 2021, la collection s’ouvre à la déclinaison de thèmes culturels comme les rapports des humains aux chats, la problématique des frontières, l’attrait pour la mer, l’insularité…

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L'asiathèque

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1970
200 livres au catalogue dont

Fondée au début des années 70 par des passionnés d'Asie, autour de Christiane et d'Alain Thiollier, L'Asiathèque est à l'origine une librairie orientaliste dont le propos est de réunir des ouvrages de référence en français et en langues étrangères afin d'offrir au public un accès élargi aux cultures orientales. Située 6 rue Christine, près de l'Odéon, la librairie devient vite un lieu de rencontre, à l'esprit apprécié aussi bien des voyageurs que des étudiants et des chercheurs.

Rapidement un département édition s'y adjoint avec la publication des Actes du XXIXe Congrès international des orientalistes en 1973. De 1985 à 1993, les éditions prennent un nouvel élan, mené par Isabelle Delloye et poursuivi par Christiane et Alain Thiollier à partir de 1994, le département librairie ayant fermé en 1993.

Le secteur édition se développe, particulièrement dans le domaine de la pédagogie des langues, en lien étroit avec l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO). Chinois, japonais, hébreu, arabe, coréen, turc, bengali, birman, mais aussi russe, hongrois, grec moderne, judéo-espagnol, tachelhit, quechua, wolof... il ne s'agit plus seulement des langues de l'Asie, mais aussi de celles de l'Europe médiane, de l'Amérique latine, de l'Afrique.

Aussi les éditions doivent-elles se choisir un nouveau nom évoquant cette approche multiple des langues et des cultures. Ce sera "Maison des langues du monde", mais l'ancien nom de "L'Asiathèque" demeure, marquant une continuité de l'esprit de la maison.

 

Aujourd'hui où, plus que jamais, l'apprentissage des langues du monde, allant de pair avec la connaissance des cultures, est le gage d'une plus grande ouverture à l'autre et d'une meilleure harmonie entre les peuples de la planète, L'Asiathèque - Maison des langues du monde tient le cap et se tourne vers l'avenir en œuvrant au développement de méthodologies innovantes d'apprentissage des langues (participation au projet ALPCU).

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Ateliers Henry Dougier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1975
Nous voulons être aujourd’hui – comme hier, en 1975, quand on a créé Autrement et ses 30 collections – des passeurs d’idées et d’émotions, des créateurs de concepts et d’« outils » incitant au rêve et à l’action. L’un et l’autre, inséparables ! Car notre démarche volontariste s’inscrit dans un regard impliqué, mais libre sur des sociétés en mutation accélérée, dans une ouverture permanente vers le haut et vers le large. Vers le haut, par l’originalité des angles, la force des écritures, la fiabilité des auteurs, la beauté des formes. Vers le large, par l’ampleur des focalisations, la diversité des sensibilités, la convergence du court et du long terme, la fusion de la mémoire et de l’imaginaire. Notre ambition : raconter, avec lucidité, simplicité et tendresse, la beauté et les fureurs du monde. Tout ce qui est susceptible de nous réveiller, de briser la glace en nous, de réenchanter nos vies.
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Cabédita

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
L'existence des Editions Cabédita, fondées en 1987 par Eric Caboussat, est liée au souci de doter les régions d'un créneau littéraire consacré avant tout à l'histoire, à la mémoire, au patrimoine et aux traditions.
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Buchet-Chastel

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1936
850 livres au catalogue dont 60 publiés par an
Nées en 1936 des éditions Corrêa, les éditions Buchet/Chastel furent fondées par Edmond Buchet et Jean Chastel. Edmond Buchet fut un véritable découvreur de talents littéraires français (Blaise Cendrars, Maurice Sachs') et publia également des auteurs confirmés (André Gide, Paul Valéry, Colette'). Avant-gardiste, il développa un important catalogue de littérature étrangère (Henry Miller, Lawrence Durrell, Malcolm Lowry). De 1970 à 1994, Guy Buchet développa les collections non littéraires et lança une collection "Spiritualité". La maison intègre Libella en 2001. Depuis cette date, elle a conservé et développé sa dominante littéraire : fictions française et étrangère, essais et documents, musique, tout en s'ouvrant à d'autres domaines comme l'écologie.
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Tallandier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1965
590 livres au catalogue dont 90 publiés par an
Les éditions Tallandier publient de l'histoire sous toutes ses formes. Biographies, préhistoire, antiquité, Moyen Âge, Renaissance et Temps Moderne, les clefs du 20
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Les 400 Coups éditions

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1996
Les Editions Les 400 Coups existent au Québec depuis 1994 et ont progressivement pris pied en France à l'aube de ce nouveau siècle. Consacrées à plus de 80% à l'édition jeunesse, les 400 Coups, à travers toute une série de collections ( "Comme 3 pommes" , " Ma langue au chat" , "Grimace" , "Au Pays des grands" ...) touchent tous les âges de l'enfance, et tous les sujets, de la vie quotidienne à l'histoire de l'art. Distribuées par Le Seuil, Les Editions Les 400 Coups renforcent désormais leur ancrage en France, sans pour autant perdre son originalité québécoise (quelque chose d'assez assez indéfinissable en soi, mais de tout de suite remarquable pour n'importe quel petit lecteur concerné!), qui conjugue un certain goût pour la langue avec des illustrations pleines d'audace et de fantaisie. A côté de ses collections jeunesse, les 400 Coups publient également de la BD (la collection "Mécanique Générale" , "Zone Convective" , ...), des livres de photo (les hivers au Québec, par exemple) et, depuis peu, des romans contemporains et des livres de littérature générale.
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