DAP: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Editions Libre2Lire
Les livres sont les préludes à l’imaginaire, à la découverte, à l’émotion…
La richesse de notre catalogue permet de satisfaire tous les goûts avec un point commun :
Chacun de nos livres vous donnera envie de « tourner la page » !
C’est ainsi que nous les sélectionnons :
pour vous donner du plaisir !
Faire éditer votre livre…
Donner naissance à votre livre.
Vous avez passé de longs moments à écrire sur des pages blanches, il est temps maintenant de donner vie à votre histoire, de la montrer au monde, de séduire vos lecteurs. Nous existons pour vous offrir cette opportunité. Mais comme tout bébé, il faut aussi l’élever, le faire évoluer, le porter. C’est notre rôle avec votre aide.
Notre maison d’édition se veut un Label de Qualité ! Une marque qui induise à nos clients lecteurs ce simple réflexe : « Si c’est du Libre2Lire : j’achète sans hésitation ! Je suis certain de ne pas être déçu… »
Nous sommes ouvert aux nouveaux talents et respectons ses auteurs. Raison pour laquelle, quel que soit le retour de notre comité de lecture, nous vous le transmettrons lors d’un entretien téléphonique, et pas par courrier stéréotypé.
Nous ne proposons que des contrats d’édition A COMPTE D’ÉDITEUR. C’est à dire que nous nous occupons de tout, À NOS FRAIS : vérification du texte, mise en page, couverture graphique, impression, commercialisation. Vous n’avez pas de minimum de vente à faire pour toucher vos droits d’auteur et aucune obligation d’achat de livres.
Centro editoriale Valtortiano
Le Centro Editoriale Valtortiano (CEV) a été constitué en 1985 par Emilio Pisani, fils de Michele Pisani (1896-1965), premier éditeur de Maria Valtorta (1897-1961).
Selon les termes de l’acte constitutif du CEV, “son but spécifique et prioritaire est de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux.
Sa personne, par la recherche historique et documentaire, les recueils des témoignages, la garde des objets lui ayant appartenu, la protection de son nom et de sa mémoire, les démarches visant à la faire connaître dans les domaines civil, culturel et ecclésial.
Ses écrits, par la presse et la diffusion des œuvres littéraires et de toute documentation soit celle laissée par Maria Valtorta elle-même, soit celle qui serait fournie par d’autres concernant sa personne, en italien et en d’autres langues.
Ses idéaux et sa spiritualité, par le moyen de la divulgation de l’instruction religieuse, notamment scripturaire dans l’esprit catholique”.
Le siège du CEV est à Isola del Liri, une agréable localité de l’Italie centrale, qui doit son nom au fleuve Liri. Celui-ci partage ses eaux en amont d’un ancien château, se jette ensuite en deux cascades dans la vallée, pour réunir en aval ses deux cours d’eau qui ont embrassé au passage le noyau du village.
Les eaux du fleuve ont favorisé le développement des usines de papier que, au début du XIXe s., des entrepreneurs français, venus à la suite de Joachim Murat, nommé roi de Naples par Napoleon Bonaparte, ont voulu installer sur le territoire de Isola del Liri.
Le lieu devint un des centres européens les plus importants de l’industrie du papier, et fut amplifié par la suite par la technique industrielle de la papeterie et du feutre.
Au siècle suivant s’y développa aussi, avec la production littéraire, une typographie éditrice, spécialisée surtout dans la presse catholique pour les Instituts religieux et les Congrégations romaines.
C’est ainsi qu’il a été possible à Michele Pisani, son propriétaire, de prendre connaissance des manuscrits de Maria Valtorta et de s’en constituer l’éditeur courageux.
Ce fut le départ du Cev: la branche valtortienne d’une entreprise éditoriale, qui devint un arbre…
Le CEV, compté en Italie parmi les éditeurs qui chaque année remportent le prix du Ministère pour les Biens de Culture en raison de ses exportations de livres, a obtenu en outre, plusieur fois, le prix de la Culture de la Présidence du Conseil des Ministres.
Cercle Profane
Éditions du Septénaire
Fondées en 1998, les Editions du Septénaire constituent aujourd’hui la référence française en matière de littérature spirituelle, plus particulièrement rosicrucienne, hermétique et gnostique.
Les Editions du Septénaire publient et diffusent des ouvrages sélectionnés, axés sur la connaissance de soi et du monde, la transformation profonde de l'homme et par là l’émergence d’une nouvelle dimension spirituelle libératrice au sein de chaque être humain.
Nous cherchons et mettons en lumière tout ce qui, dans la littérature antique et contemporaine, se rattache à ce fil d’or de la connaissance universelle et peut aider le lecteur à le découvrir en lui-même.
A l'envers Editions
Contrechamps Editions
Deux ouvrages sortiront à l’automne 2021 : le premier est un ensemble de textes du philosophe Theodor W. Adorno centrés autour du thème de la couleur dans la musique : l’auteur développe tout un ensemble de réflexions sur le timbre comme élément structurel ou simple couleur, sur les rapports entre la musique et la peinture, et sur deux compositeurs qui ont développé l’écriture orchestrale, lui donnant une fonction symbolique et illustrative, Wagner et Strauss. Une partie de ce volume reprend des textes regroupés dans un volume posthume de l’œuvre complète d’Adorno, les autres sont tirés de différentes sources. La plupart des textes sont inédits en français. La traduction et la présentation de l’ouvrage sont dues à Sofiane Boussahel.
Le deuxième livre proposé cet automne appartient à la collection Poche qui a été lancée il y a un peu plus d’un an afin de proposer des monographies d’œuvres musicales contemporaines. Laurent Feneyrou s’est attaché au quatuor à cordes de Luigi Nono, Fragmente-Stille, an Diotima, qui dans une forme fondée sur le fragment et la discontinuité, est nourrie de l’intérieur par des phrases tirées de poèmes de Hölderlin. Il étudie cette œuvre singulière à partir des nombreuses esquisses déposées à l’Archivio Nono de Venise, montrant tout le travail d’élaboration qui aboutit à l’œuvre. Il situe aussi celle-ci dans le contexte politique de l’époque et dans la trajectoire de Nono (Laurent Feneyrou est par ailleurs l’éditeur des textes de Nono en français aux éditions Contrechamps).
Nous signalons aussi la sortie d’un autre Poche (fin juin 2021) qui se situe à la charnière des deux saisons, et qui est consacré à une œuvre de musique électro-acoustique, la première de cette ampleur : Symphonie pour un homme seul. Imaginée dans un premier temps par Pierre Schaeffer, pionnier et théoricien de la musique concrète, elle a été composée avec Pierre Henry, grande figure de cette même tendance musicale. Loïc Bertrand retrace la genèse de l’œuvre, notamment grâce au Journal inédit de Pierre Schaeffer, et tout en l’analysant, en signale les enjeux. Dans la dernière partie de son livre, il évoque les ballets que Béjart et Cunningham ont réalisé sur cette œuvre.
Rappelons que tous les textes de la collection Poche sont inédits et résultent d’une commande aux auteurs de la part des éditions Contrechamps.
En 2022, d’autres ouvrages de cette collection sont prévus : sur Gruppen de Karlheinz Stockhausen, par Pascal Decroupet, sur 4’33 de John Cage, par David Christoffel, sur les Espaces acoustiques de Gérard Grisey, par François-Xavier Féron, et sur Coro de Luciano Berio, par Alain Poirier.
Dans la grande collection, nous publierons un livre sur Gérard Grisey du musicologue et compositeur autrichien Lukas Haselböck, et le premier volume des écrits de Schönberg qui font l’objet d’un travail de longue haleine destiné à offrir au public francophone un ensemble représentatif des textes de ce compositeur, dont beaucoup sont restés inédits.
Tous les livres des éditions Contrechamps sont disponibles également en format numérique.
Philippe Albèra
Codhos
Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.
Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.
Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.