Des Mots Qui Trottent: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Temps de réponse: de 1 à 2 moisAccusé de réception: NON
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Nombre de manuscrits recus par an: 100Nombre de nouveaux auteurs publiés par an: 10
Maisons d'éditions similaires :
JC Lattès
12-21
Espaces 34
Magnard
Bleu autour
Elyzad
Les éditions elyzad sont nées à Tunis en 2005. Malgré un contexte politique pesant, face à la censure et à la situation de « douce » asphyxie dans laquelle nous nous trouvions, il était vital pour nous de donner à entendre les voix des romanciers, « ces historiens de l’imaginaire », qui disent la parole tue, explorent l’âme humaine dans toute sa nudité.
Pour porter loin cet engagement, nous avions des défis à relever. Celui de faire circuler les textes du Sud vers le Nord afin d’inverser la dynamique dans laquelle nous étions cantonnés. Abordant ce chemin ardu, nous avons fait le choix de l’exigence : sélection minutieuse de textes littéraires, attention particulière à la finition de l’objet livre (papier, couverture).
Très vite, un diffuseur-distributeur en France nous a accompagnés dans cette aventure, nous permettant ainsi cette traversée des textes. Aujourd’hui les rives se sont jointes, qui est d’ailleurs, qui est d’ici ?
Les frontières sont désormais effacées. Si nous publions essentiellement en langue française, la langue arabe nourrit sans cesse notre réflexion. Car il s’agit pour nous d’offrir à lire des écritures plurielles, dont nous nous faisons les passeurs. Plusieurs de nos auteurs ont reçu des prix littéraires en Tunisie, en France, en Inde.
En décembre 2011, le prix Alioune Diop de l’édition africaine nous a été décerné. Ces récompenses sont un moteur pour poursuivre l’aventure et maintenir notre engagement : découvrir l’autre dans sa singularité, dans son universalité, combattre les préjugés, faire entendre les battements du cœur du Monde. Avec toujours la même exigence, des textes garants d’une pensée libre...
Jacques André
… Merci de m’avoir suivi jusque chez moi. J’ai entrepris de faire repeindre ce site, de le rafraîchir pour mieux vous y accueillir. Prenez garde à la peinture fraîche et soyez indulgents.
Je reprends mon propos. A quoi sert un éditeur ? Un faiseur de livres ? Un « bookmaker » ? Le mot me paraît juste, puisque, chaque fois que l’on sort un nouveau titre, c’est un pari. Je vous pose la question, mais ce n’est pas à moi d’y répondre. C’est à vous de le faire. Moi, pour l’instant, je continue. Comme les libraires, comme les théâtreux, les musiciens, les danseurs. On s’accroche.
Evidemment, nous avons perdu quelques plumes au passage. Trésoreries effondrées, loyers à payer, avenir incertain, salons et festivals annulés ou reportés, mais peu importe. On perdure ! Dansons sur le volcan.
Pour y parvenir, nous allons évidement lâcher du lest et nous recentrer sur l’essentiel : promouvoir l’excellence, refuser la médiocrité, dire non aux gens à qui on aurait bien voulu faire plaisir, rehausser la barre, resserrer les rangs. En bon général au cœur de la bataille, nous n’hésiterons pas à renvoyer chez eux les lâches, les faibles et les touristes de la littérature. Les chiffres ne seront plus au rendez-vous, mais, maintenant, on s’en fout ! Moins de livres, mieux de littérature. C’est à ce prix-là que nous vaincrons notre véritable ennemi : l’indifférence.
Lazare et Capucine
« Lazare et Capucine » est née de la volonté de promouvoir une réflexion sur la spiritualité en Occident à travers l’écriture. Nous vous proposerons des textes sous différentes formes, romans, essais, enseignements,au gré des auteurs qui viendront nous rejoindre dans cette aventure. Parmi les voies spirituelles, celles qui ne relèvent d’aucune Eglise, spiritualité pure, et celles qui se rattachent à une tradition, et, bien sûr le christianisme, mais un christianisme loin du dogmatisme, détaché de la rationalité latine et non enfermé dans de trop lourdes institutions. Une spiritualité à redécouvrir, une mystique oubliée que certains sont allés chercher sur les chemins de l’Orient au lieu de se pencher vers leurs racines, là où elles leur ont donné fièrement rendez-vous.
Le vent de l’histoire a effacé les traces d’une Bonne-Nouvelle. Ici et là pourtant, de nouvelles pousses osent se frayer un chemin vers la lumière à travers les sédiments des siècles passés. La fleur de capucine puisera sa sève dans cette richesse. Lazare nous rappellera que nous voulons être un pont entre l’Orient et l’Occident.