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Maisons d'éditions similaires :
Éditions des Régionalismes
Un catalogue de plus de 1.400 titres, sous les labels REGIONALISMES et PRNG, dont les axes éditoriaux sont les suivants :
• histoires “régionales” des pays et provinces de France (Gascogne, Périgord, Languedoc, Quercy, Provence, Dauphiné, Savoie, Poitou, Saintonge, Angoumois, Touraine, Maine, Anjou, Orléanais, Berry, Bretagne, Normandie, Picardie, Flandre, Artois, Ile-de-France, Auvergne, Lyonnais, Bourgogne, Franche-Comté, Champagne, Alsace et Lorraine).
• littérature "régionaliste", littérature de "terroir", littérature générale ancrée dans un "pays", contes & légendes des pays de France, folklore
• redécouverte de livres anciens épuisés sur ces domaines
• littérature gasconne, occitane, provençale, limousine, auvergnate en français et en oc ; littérature populaire en poitevin et saintongeais ;
• apprentissage des langues d'oc (dictionnaires, grammaires, méthodes) ;
• histoire du pyrénéisme et de l'alpinisme, récits de montagne (Alpes, Pyrénées) ;
• beaux-livres sur les îles de l'Atlantique et de la Manche (coll. "Visitons...") ;
• topo-guides de randonnées dans les Pyrénées, les Alpes (PRNG) ;
• récits de voyages anciens ou contemporains ; pèlerinages ; histoires et récits de marins, pirates, flibustiers ; maritima (PRNG) ;
• histoire du Premier Empire et du Second Empire (PRNG) ;
• uchronie (l'utopie dans l'histoire) et science-fiction "historique" du XIXe et de la première moitié du XXe siècle (PRNG) ;

Dialogues (Editions)
CTHS
Seuil
"Publier des ouvrages qui permettent de comprendre notre temps
et d'imaginer ce que le monde doit devenir. "
L'ambition des fondateurs du Seuil est aujourd'hui intacte et plus utile que jamais. Fort de ces convictions, Le Seuil est désormais au premier rang des maisons généralistes, présent dans tous les domaines éditoriaux : littératures française et étrangère, thrillers et policiers, sciences humaines, documents, spiritualités, sciences, jeunesse et beaux-livres.
Créé en 1935, sous le double signe de l'engagement intellectuel et du catholicisme social, Le Seuil connaît son véritable essor à partir de 1945. Dès lors, Jean Bardet et Paul Flamand, les fondateurs, façonnent un catalogue ouvert à tous les secteurs de la création et du savoir. En 1979, Michel Chodkiewicz fait fructifier l'héritage des fondateurs et, à partir de 1989, Claude Cherki mène une politique de développement éditorial et commercial.
La fidélité à ses origines, au brassage des idées, l'attention portée à son époque ont favorisé le renouvellement de la maison. La dimension spirituelle s'est perpétuée avec les collections dirigées par Emmanuel Mounier, avec Paul-André Lesort, ou encore Teilhard de Chardin. Dans les années 1960, Le Seuil prend part aux débats liés à l'aggiornamento de l'Église. Une réflexion sur la dimension sociale du religieux qu'aura approfondie Jean-Louis Schlegel.
Le secteur politique reflète les luttes et les contradictions du monde contemporain. Les combats en faveur de la décolonisation, la volonté de saisir "L'Histoire immédiate" à partir des années 1960 (Jean Lacouture puis Jean-Claude Guillebaud), le soutien apporté à la littérature dissidente d'Europe de l'Est (Soljenitsyne), "Combats" de Claude Durand ou encore "L'épreuve des faits" de Hervé Hamon et Patrick Rotman, marquent, jusqu'à la période récente, cette attention critique à l'actualité politique, ce que confirme l'investissement intellectuel de la maison dans toutes les disciplines des sciences humaines.
François Wahl a, entre autres, permis le succès de "L'Ordre philosophique" (avec Paul Ricœur, collection aujourd’hui dirigée par Michaël Foessel et Jean-Claude Monod)), du "Champ freudien" (avec Jacques Lacan). Jacques Julliard et Michel Winock fondent "L'univers historique" en 1974 (aujourd’hui dirigée par Patrick Boucheron). Jean-Marc Lévy-Leblond reprend "Science ouverte". Sans prétendre à l'exhaustivité, il faut mentionner encore "La Couleur des idées" (Jean-Pierre Dupuy, Jean-Luc Giribone et Olivier Mongin), "La Librairie du XXe (puis du XXIe) siècle" (Maurice Olender), "Libre examen" (Olivier Bétourné), "Liber" (Pierre Bourdieu), "Economie humaine" (Jacques Généreux), « Anthropocène » (Christophe Bonneuil). On y publie en sciences humaines des auteurs majeurs, tels Edgar Morin, Roland Barthes, Hubert Reeves, Georges Duby, Gérard Genette, Pierre Bourdieu, John Rawls, Jean-Pierre Vernant, Alain Badiou... Et puis il y a aussi les revues : Poétique, Communications, Actes de la recherche en sciences sociales, Pouvoirs, Le Genre Humain, etc.
C'est Jean Cayrol qui aura posé la première pierre du domaine littéraire, avec sa collection "Ecrire" (1956). Les revues Tel Quel (Philippe Sollers) et Change (Jean-Pierre Faye) placent l'éditeur au cœur des débats d'avant-garde. En 1959, un an après qu'Edouard Glissant a été distingué par le Renaudot, un premier Goncourt récompense André Schwarz-Bart. La collection littéraire "Cadre Rouge" est d'abord animée par François-Régis Bastide. Elle est marquée par Didier Decoin, Patrick Grainville, Louis Gardel, Elie Wiesel, Erik Orsenna, Tahar Ben Jelloun, Andreï Makine, Régis Jauffret, Lydie Salvayre. Depuis 1974, "Fiction & Cie", fondée par Denis Roche, reprise en 2004 par Bernard Comment, mêle les genres avec Jacques Roubaud, Olivier Rolin, Chantal Thomas, Antoine Volodine, Thomas Pynchon…
Une forte lignée francophone singularise Le Seuil, avec Mouloud Feraoun, Mohammed Dib, Kateb Yacine, Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Anne Hébert, Jacques Godbout, puis Nelly Arcan, Ahmadou Kourouma, Alain Mabanckou ou Charif Majdalani.
Très tôt, la littérature étrangère ("Cadre vert") occupe au Seuil une place centrale, d'abord avec des œuvres venues d'Allemagne (Heinrich Böll, Günter Grass...). Ce domaine s'impose vite, avec Gabriel Garcia Marquez, Italo Calvino, Carlo Emilio Gadda, John Updike, William Boyd, John Irving, John Michael Coetzee, José Saramago, Manuel Vázquez Montalbán, Arturo Pérez-Reverte, Antonio Muñoz Molina, Elfriede Jelinek...
Dans les années 1990, tandis que son appareil de diffusion-distribution se renforce, le périmètre éditorial du Seuil s'élargit. Jacques Binsztok monte un département jeunesse, tandis que Jean-Robert Masson puis Claude Hénard assurent le développement des Beaux-livres. Le littéraire s'étend avec la création de L'Olivier (Olivier Cohen). "Seuil Policiers", collection fondée par Robert Pépin, publie Michael Connelly et Henning Mankell. Les essais s'enrichissent avec "La République des Idées" (Pierre Rosanvallon).
Innovateur dans l'édition de poche avec Microcosme (1951), Le Seuil a mené à partir de 1970 une politique active de développement de la série "Points". Un essor qui suit les évolutions du catalogue. Il débute avec des collections de sciences humaines, d'essais et de documents, puis "Points Romans". Après sa filialisation en 2006, Points, sous l'impulsion d'Emmanuelle Vial, voit son catalogue s’enrichir à vive allure tandis que de nouvelles séries sont créées.
En 2004, La Martinière Groupe rachète Le Seuil. Denis Jeambar prend les rênes en octobre 2006.
En janvier 2010, Olivier Bétourné, qui était entré dans la maison comme lecteur en 1977, puis en était devenu le secrétaire général en 1984 avant de quitter la rue Jacob en 1992, prend les fonctions de Président. Le Seuil déménage au 25 boulevard Romain Rolland, dans le quatorzième arrondissement de Paris.
En 2016, la maison est organisée en huit départements éditoriaux : Littérature (sous la direction de Frédéric Mora), Littérature étrangère, Sciences humaines (sous la direction de Séverine Nickel), Documents, Beaux-livres (sous la direction de Nathalie Beaux), Jeunesse (Béatrice Decroix), Don Quichotte (Stéphanie Chevrier) et les éditions du Sous-sol (Adrien Bosc). Thierry Diaz succède à Patrick Gambache à la tête de Points, l’une des trois filiales du Seuil avec les éditions de L'Olivier (Olivier Cohen) et les éditions Métailié (Anne-Marie Métailié). Autour d’Olivier Bétourné, la direction est renforcée : Ludovic Rio devient Directeur général adjoint, tandis qu’Adrien Bosc assure les fonctions de Directeur adjoint de l’édition. Bernard Comment est nommé conseilleur du Président pour le développement de la littérature.
En avril 2018, Hugues Jallon est nommé président du Seuil, après avoir été directeur éditorial pendant 4 ans au Seuil puis Président des éditions La Découverte de 2013 à 2018.
Une nouvelle étape de l'aventure est engagée.
Libertalia
À la fin du XVIIe siècle, Misson, un gentilhomme provençal passé à la piraterie, et Carraccioli, un prêtre défroqué aux idées révolutionnaires, fondèrent au nord de Madagascar une République égalitaire du nom de Libertalia.Éphémère, mythique, née de l’imaginaire fertile de Daniel Defoe, l’utopie pirate n’a probablement jamais existé.
Pourtant, à l’heure de l’argent-roi, du sécuritaire triomphant, du libéralisme et des égoïsmes généralisés, certains refusent encore de se soumettre à la « fin de l’histoire », à l’injustice confondante, au cercle vicieux de la modération et de la résignation. Parce qu’aujourd’hui plus qu’hier, « ceux qui vivent sont ceux qui luttent », les éditions Libertalia se donnent pour objectif d’armer les esprits et de les préparer à des lendemains solidaires et libertaires.Tremblez puissants, nous ne ferons pas de quartier !
Codhos
Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.
Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.
Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.
Ecole française d'Athènes EFA
En 1873, 27 ans après sa création, l’École française d’Athènes créait un Institut de Correspondance hellénique « devant réunir les faits intéressant l’histoire, la langue et les antiquités du peuple grec ». Un tel Institut exigeait un Bulletin et à la fin du mois de janvier 1877, sortait de presse le premier numéro du Bulletin de correspondance hellénique.
L’activité éditoriale de l’École française d’Athènes était née.
143 ans plus tard, les publications de l’EFA demeurent le point de passage obligé pour quiconque s’intéresse à la Grèce et au monde grec de l’Antiquité à nos jours. Elles proposent plus de 600 titres en histoire, archéologie, épigraphie, numismatique, géographie, sociologie et plus largement dans toutes les disciplines érudites des sciences de l’Antiquité ainsi que dans plusieurs disciplines des sciences humaines et sociales. Fidèles à leur vocation initiale d’assurer la diffusion des recherches de l’institution, mais aussi de ses partenaires scientifiques, les Éditions de l’École française d’Athènes publient entre vingt et vingt-cinq nouveaux titres par an. Jouissant d’une large diffusion francophone et internationale, ces publications s’adressent également à un public non universitaire.
Ouvertes sur les développements du numérique, l’École française d’Athènes inaugure très tôt, en 2003, sa propre bibliothèque numérique, CEFAEL. Ses publications se trouvent depuis, également, sur Persée, Open Edition Journals (BCH, BCHmc et Bulletin archéologique des EFE) et sur son site.
Elles sont diffusées par Peeters Publishers en association avec Ian Steven Distribution pour le marché nord-américain.
Les Éditions de l’École française d’Athènes publient cinq revues et 18 collections.
CLC éditions
Ecole nationale des chartes
L'École nationale des chartes publie sous forme imprimée et numérique cinq collections d’ouvrages :
- les Mémoires et documents de l'École des chartes, collection qui remonte à 1896 et qui accueille des monographies et des ouvrages collectifs d’envergure, au premier rang desquels des thèses d’anciens élèves de l’École des chartes
- les Études et rencontres de l'École des chartes, collection lancée en 1998, qui accueille avant tout les actes de journées d’études ou de rencontres scientifiques
- les Matériaux pour l'histoire, collection inaugurée en 1996 et constituée de volumes in-4° abondamment illustrés
- les Études et documents pour une Gallia Pontificia, collection coéditée par l'École nationale des chartes et l'Institut historique allemand de Paris depuis 2009 pour présenter les travaux réalisés dans le cadre de la Gallia Pontificia, entreprise scientifique qui se propose de recenser, publier et étudier les actes pontificaux concernant la France antérieurs à 1198
- Magister, collection qui propose des ouvrages de référence dans les domaines qui constituent le cœur des spécialités de l'École : ecdotique, archivistique, diplomatique, paléographie, codicologie, philologie, archéologie, histoire de l’art. Ces manuels, élaborés par les professeurs et enseignants-chercheurs de l’École, s’adressent aux étudiants ainsi qu’à tous ceux qui souhaitent s’initier à ces disciplines
À ces collections, s’ajoute une publication périodique liée à l’activité de formation de l’École des chartes :
les Positions des thèses soutenues par les élèves pour obtenir le diplôme d'archiviste paléographe publiées annuellement par l'École des chartes depuis 1849 ; elles sont intégralement disponibles en ligne depuis 2000 et répertoriées depuis 1849.