
Grenouille Editions: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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http://editions-grenouille.com/Maisons d'éditions similaires :
Parenthèses (Éditions)
Dans maison d’édition il y a maison. Deux architectes, ébouriffés de Buckminster Fuller, Taos ou Theotiuacan, s’obstinèrent à vouloir dire combien « des hommes ont longtemps regardé la terre autrement qu’avec des yeux dédaigneux. Ils en ont soulevé la pellicule supérieure pour édifier leurs abris et s’y insérer. » Ce fut Archi de terre. D’abord vingt-six feuilles, deux cent quatre-vingt-dix millimètres sur quatre cent vingt, reprographiés recto verso d’après des originaux de deux feuilles issus d’une IBM à boule Letter Gothie surtitrés en lettres transfert Franklin, fixées sur une carte de deux cents grammes, le tout plié et doté de deux agrafes métalliques de douze millimètres.
Vint ensuite l’odeur du plomb fondu et des bains de fixatif de l’imprimerie de la rue Sainte très exactement en face de la librairie Lire, celle-là même qui nous donnait à voir tous les Maspero [toutes deux, l’imprimerie et la librairie ont depuis longtemps disparu, l’une sous les faux billets l’autre sous les attentats]. Le premier livre était presque là. Il fallait maintenant trouver un nom à la maison-demeure qui allait l’héberger. Elle aurait pu s’appeler NO REPRODUCTION, car ces termes légaux figuraient, prêts à poncer, sur toutes les planches de Letraset. Ce sera défi plus que choix-la marque d’un attachement à la précision typographique, la dénomination de ces signes de ponctuation doublés — pour venir s’intercaler. Archi de terre, aux Éditions Parenthèses, douze mille exemplaires diffusés première ivresse d’un métier encore à découvrir. Des livres d’architecture donc, mais bien sûr des livres d’architectes, menés comme un projet — « projet éditorial » — façonnant le matériau brut pour abriter, pérenniser. Des livres considérés comme un espace de découverte à aménager, au prix d’une implication absolue dans le confinement de la page — du moindre attribut typographique à l’image choisie et traitée.
L’architecture dans tous ses états — histoire, pratique ou objets emblématiques-mais surtout architecture pour s’ouvrir au monde collection « Architectures traditionnelles » — « l’architecture traditionnelle reste l’enseigne ethnique la plus démonstrative, mais aussi, souvent, la plus menacée ». L’architecture toujours à l’écoute, à l’écoute notamment du jazz, musique de l’esclavage oublié : collection « Epistrophy » — « accompagnements du jazz, de ses éclats, ses inassurances, ses colères, dans une passion cherchant à susciter ou renforcer la passion de ses gestes ». L’architecture s’ouvrant à l’art, aux origines de l’art : collection « Arts témoins » — « Témoins de la perfection des gestes fondateurs. Témoins aussi des Histoires qui,toujours, alimentent l’acte créatif. Témoins de ces altérités, les documents, gravures ou photographies mis en scène et confrontés à une connaissance en devenir, révèlent les richesses des mondes qui restent à découvrir. » Des collections, des livres pour une édition sans cloisonnements, fusionnelle, aqueduc dans l’espace ouvert de la découverte : collection « Eupalinos » où se confrontent des approches toutes complémentaires-art, architecture, urbanisme, musique (jazz, musiques improvisées, cultures musicales) , histoire, société ; collection « Diasporales » pour dire que « toute authenticité est un exil ».
L’édition sans perdre conscience : le livre n’est qu’un livre.
L’édition sans oublier de lever les yeux.

Jourdan (Editions)
Part Commune (La)
Créée en 1998 par Yves Landrein, les Editions La Part Commune sont une enseigne qui publie en moyenne 12 à 15 titres par an. Il s'agit exclusivement de littérature : romans, correspondances, poésie et prose poétique. Depuis le décès d'Yves Landrein le 28 octobre 2012, sa compagne Mireille Lacour, accompagnée d'auteurs et d'amis, poursuit l'activité des Editions La Part Commune avec la même ligne éditoriale.
Le mot d'ordre de cette maison d'édition basée à Rennes, c'est la qualité littéraire du texte, l'universalité de l'écrit et l'éternité qui l'habite. Que l'auteur soit de tel ou tel siècle importe peu, la modernité peut en effet se manifester à travers toutes les époques.
Forte de cette identité, les Editions La Part Commune ont ainsi remis en lumière des textes injustement oubliés ou égarés dans les mailles du temps par les fluctuations des modes. Des ouvrages comme La Femme pauvre ou Le Désespéré, du pamphlétaire Léon Bloy, ont pu retrouver une actualité. Des œuvres introuvables depuis quelques années, comme la correspondance croisée entre Flaubert et Maupassant ou encore le témoignage de l'ancien professeur d'Arthur Rimbaud : Rimbaud tel que je l'ai connu, ont pris toute leur place au sein d'un catalogue de plus de 240 titres.
Parallèlement, la maison s'attache à poursuivre le travail de publication de l'abondante correspondance de Georges Perros - une des rencontres marquantes de la vie d'Yves Landrein.
Triades et Aethera (Éditions)
Les éditions Triades ont été fondées en 1952 par Simone Rihouët-Coroze (1892-1982) dans le but de faire connaître en langue française les oeuvres du philosophe Rudolf Steiner, le fondateur de l’anthroposophie.
Aujourd’hui, le catalogue Triades propose des ouvrages de pédagogie, médecine, biologie, philosophie, etc.
Nos livres s’adressent à toute personne qui cherche à mieux se connaître et à mieux comprendre le monde qui l’entoure. Il n’existe pas, pour étudier cette science de l’esprit, de chemin tout tracé. C’est à chacun de s’ouvrir le sien.
Aucun livre n’apporte jamais de réponse définitive. Ce qui importe est d’abord de se mettre intérieurement en route et de cheminer à travers ses propres questions.

Glénat
Gunten
Editeurs depuis 1993, nous avons créé en 1998 cette maison avec un but : laisser les auteurs s'exprimer librement.
Peu de contraintes, seuls sont interdits les fascistes, les cons, les nombrilistes, les égocentristes, les cupides, les bien-pensants, les xénophobes, les pédophiles, les machistes et autres bouffons qui polluent notre vie...
Nous assumons tout ce que nous faisons et en règle générale nous ne sommes pas chiants et nos auteurs nous aiment bien... enfin ceux qui comprennent que pour devenir célèbre il aurait été préférable de s'adresser à d'autres, plus beaux, plus forts, plus grands, plus riches, plus intelligents, plus tout... Chacun sa cour.
Donc si vous savez écrire en français, si vous avez quelque chose dans le chou, si vous savez l'exprimer, si vous n'êtes pas geignard, si vous ne pleurez pas sur votre sort (on a nos propres emmerdes de santé, et pas des moindres, inutile de nous demander des mouchoirs), vous pouvez nous envoyer votre texte.
Une garantie : Le goncourt ne passera pas ici, ces messieurs ne s'abaisseront jamais à regarder des livres édités par nous. Ils ont tort, mais ça que voulez-vous, tant que nous vivrons dans une économie libérale... le fric commandera tout et, comme une pompe à merde, le pognon continuera d'aller au pognon. Pour les lauriers, à part les nôtres et ceux de nos lecteurs, nous envoyer votre texte s'avérera un mauvais choix.
Diffusion et distribution dans tout l'Est de la France, la Franche-Comté et, sur FNAC, Amazon (dans la catégorie économie libérale, passez-moi le plat), et nous sommes référencés chez tous les libraires de France.
Agnès et Michel

Nuinui (Editions)
Éditions du monolithe
Chronique Sociale
Ces trois secteurs d'intervention s'avèrent d'ailleurs complémentaires : pas d'édition sans formation, ni de formation sans recherche. Juridiquement, la Chronique est, à la fois, une association régie par la loi de juillet 1901 et dirigée par un Conseil d'Administration (créé en 1967) pour ses activités de formation et de recherche, et une Société anonyme à responsabilité limitée (SARL créée en 1920) pour l'activité édition.
Les deux structures sont liées juridiquement et travaillent en synergie au quotidien pour mettre en oeuvre le même projet.
Historiquement, la Chronique Sociale s'est préoccupée, dès ses origines, de sensibiliser le grand public aux évolutions de la société en suggérant une organisation de la vie collective plus solidaire et plus respectueuse des personnes.
Sa spécificité - et son originalité - consistent à privilégier la culture de proximité et l'échange d'informations en faisant appel à celles et ceux qui ont enrichi un savoir théorique initial par un savoir-faire de terrain ou l'inverse.
Elle s'adresse, en retour, à tous les acteurs d'humanité soucieux de mieux comprendre le monde en vue de le servir mieux, depuis leur propre épanouissement jusqu'à leur action au sein des organisations et au sein de la société.