
Incartades(s) éditions: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
L'Aire (Editions de)
POL
Cent mille milliards
Éditeur indépendant créé en 2013, Cent Mille Milliards publie une dizaine de titres par an dans tous les domaines : roman, nouvelle, essai, voyage, cuisine, religion, entreprise, politique…
Tout est dans le nom : Cent mille milliards de poèmes publiés en une seule fois donnent une idée du potentiel de l’écriture comme de l’audace de l’édition. Avec Cent Mille Milliards, l’indépendance n’a pas de prix, et la créativité est illimitée…
Notre ambition est aussi d’augmenter l’influence du livre grâce aux nouvelles technologies : dans les relations avec les auteurs (qui trouvent enfin le public qu’ils cherchent), avec les lecteurs (qui accèdent à autre chose qu’à des têtes de gondoles) et avec les libraires (qui croulent déjà sous les cartons), dans l’impression à la demande (il n’y a plus de pilon), dans la gestion (vite imprimé, vite livré), dans les formes de paiement, dans la diffusion d’un contenu sur plusieurs médias, etc.
Le monde change radicalement, il est urgent de s’engager pour améliorer la vie et y apporter du rêve.
Espace nord
Cécile Defaut (Éditions)
Créées en 2004 à Nantes, les éditions nouvelles Cécile Defaut, ont développé un ensemble de publications (à raison en moyenne de 15 titres par an) dans le champ des lettres, de la philosophie et des sciences humaines en général.
Un catalogue riche et exigeant comprenant des philosophes comme Paul Valadier, Marcel Gauchet, Marcel Conche, des écrivains étrangers (Kenzaburô Oé, Prix Nobel de littérature 1994, japonais), des romanciers (Philippe Sollers, Philippe Forest, Pierre Bergounioux), des poètes (Jean-Claude Pinson) et des psychanalystes (Philippe Lacadée, Gilles Chatenay), etc.
Près d'une centaine de titres qui sont autant d'invitations à une réflexion en prise sur le monde d'aujourd'hui à travers les grandes questions qui nous concernent et nous touchent tous.
Chêne (Editions du)
Préludes
Préludes souffle ses cinq bougies ! Cinq années d’invitation à la découverte, de petites musiques qui vous restent dans la tête et de voix singulières, cinq années de partage, de coups de cœur et de rencontres littéraires.
Il faut reconnaître que le défi était de taille : repérer de nouveaux talents français et étrangers, les réunir autour d’une ligne éditoriale délibérément romanesque, leur offrir un écrin prestigieux et une harmonie visuelle. Nous vous avons ensuite confié ces pépites, à vous journalistes et blogueuses/rs et à vous libraires, pour les faire connaître à vos lecteurs. Et vous avez été au rendez-vous ! Préludes, ce sont des succès remarquables quel que soit le genre, comme "Un parfum d’herbe coupée" de Nicolas Delesalle, "La Ferme du bout du monde" de Sarah Vaughan ou "Mon amie Adèle" de Sarah Pinborough, des rencontres avec des auteurs qui deviennent des compagnons de route, des passerelles entre libraires et lecteurs, une famille littéraire qui se construit peu à peu.
C’est aussi la passion d’une équipe, qui chaque année conçoit un programme varié alliant littérature blanche et noire, avec, pour seule boussole : le coup de cœur.
Ce sont enfin cinquante titres publiés. Trois cent cinquante mille exemplaires vendus depuis cinq ans. Notre plus grand défi ? Maintenir ce savant mélange entre talents confirmés et nouvelles plumes pour décliner, sur les prochaines années, cette enivrante mélodie sans fin qu’est la littérature. Réinventons ensemble le plaisir de lire et de s’évader au fil des pages…
Poétisthme
Les Éditions POÉTISTHME proposent des écrits transversaux que l’on ne peut apprécier sans faire un pas de côté – des vies latérales qui se sont refusées au littéral. Nous assumons une littérature qui se dérobe au couperet de la verticalité et à la sécheresse de l’orthodoxie. Nous revendiquons une littérature horizontale, transnationale – une littérature qui est le carrefour où se rencontrent les langages pour donner forme et visibilité au dialogue entre des voix différentes. Nous prenons donc le parti de faire face aux tensions dans le rapport à la langue pour questionner la dimension linguistique de la condition humaine – car la Parole, qu’on la méprise, la manipule ou la révère, est le point nodal de notre existence commune.
LE PARTI-PRIS DE LA POÉSIE
Si nous mettons en partage des écrits – des fragments – des fulgurances à caractère poétique, c’est parce que nous croyons qu’ils sont le lieu-dit où se manifeste le plus clairement que la langue – la culture – l’identité, ne sont pas une totalité close ou un tout figé, mais bien le fruit d’un engagement, d’un geste performatif allant de Soi vers l’Autre. La poésie se confronte aux certitudes – démantèle le cadre identitaire – met en branle l’autorité illusoire, notamment celle des frontières en le Je et le Nous : deux sujets qui s’interrogent mutuellement dans le poème.
Pour Nous, éditer de la poésie, c’est revendiquer une manière de prêter attention au langage en décalage avec les usages. Non pas pour sombrer dans le particularisme ou dans un discours intellectuel nombriliste, mais pour tenter de recréer du commun sans méconnaître les identités ou, dit autrement, de permettre aux identités de s’inscrire dans le langage commun. Ce mouvement est à nos yeux celui du langage poétique.
NOS COLLECTIONS
FEU DE BRANDES : voix-brûlots – compositions au bord du poétique – paroles houleuses & émotions cahot-iques – textes qui se tissent sur la brèche – mailles obliques – scories & mété-or-es – secousses s-isthm-iques où confluent nos passions atomiques.
« Les abrutis ne voient le beau que dans les belles choses », Arthur Cravan, Maintenant (1912).
CONFLUENCES : voix enlacées non corsetées – mots choraux dont l’arborescence donne naissance à des mots-coraux – récifs où l’on s’échoue & se retrouve – paroles qui se répondent dans le désert des siècles – par-delà l’écart incommensurable une langue de terre qui joint lettre à l’être.
« Les évènements m’ennuient. Les évènements sont l’écume des choses. C’est la mer qui m’intéresse. C’est dans la mer que l’on pêche ; c’est sur elle que l’on navigue ; c’est en elle que l’on plonge… », Paul Valéry.
CIRCUMNAVIGATION : « L’errance est vocation », disait Glissant. Pour nous, elle sera raison : raison d’éditer, de chercher dans l’ailleurs – d’un îlot, d’une nation – des voix qui ouvrent des voies pour penser l’écart entre le proche et le loin – cet entre-deux que nous nommons isthme. À travers l’errance, nous voulons quitter l’exil intérieur auquel nous condamnent les racines langagières : nous voilà partis à la quête d’un verbe qui n’existe qu’autre part...
Beluga