
L'Echappée: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
Loubatières (Éditions)
Ouest-France
Elles jouent également un rôle notable dans le rayonnement culturel en se positionnant résolument comme la maison d'édition des régions de France.
Avec 200 nouveautés publiées par an et un catalogue de 1500 titres, elles travaillent avec plus de 2000 auteurs, tous spécialistes de leur domaine.
Spécialisées dans le tourisme, elles ont développé des collections histoire, patrimoine, cuisine, pratique, mer, nature, loisirs créatifs, architecture et beaux livres.
Noir Sur Blanc (Les éditions)
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Mercure de France
L'asiathèque
Fondée au début des années 70 par des passionnés d'Asie, autour de Christiane et d'Alain Thiollier, L'Asiathèque est à l'origine une librairie orientaliste dont le propos est de réunir des ouvrages de référence en français et en langues étrangères afin d'offrir au public un accès élargi aux cultures orientales. Située 6 rue Christine, près de l'Odéon, la librairie devient vite un lieu de rencontre, à l'esprit apprécié aussi bien des voyageurs que des étudiants et des chercheurs.
Rapidement un département édition s'y adjoint avec la publication des Actes du XXIXe Congrès international des orientalistes en 1973. De 1985 à 1993, les éditions prennent un nouvel élan, mené par Isabelle Delloye et poursuivi par Christiane et Alain Thiollier à partir de 1994, le département librairie ayant fermé en 1993.
Le secteur édition se développe, particulièrement dans le domaine de la pédagogie des langues, en lien étroit avec l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO). Chinois, japonais, hébreu, arabe, coréen, turc, bengali, birman, mais aussi russe, hongrois, grec moderne, judéo-espagnol, tachelhit, quechua, wolof... il ne s'agit plus seulement des langues de l'Asie, mais aussi de celles de l'Europe médiane, de l'Amérique latine, de l'Afrique.
Aussi les éditions doivent-elles se choisir un nouveau nom évoquant cette approche multiple des langues et des cultures. Ce sera "Maison des langues du monde", mais l'ancien nom de "L'Asiathèque" demeure, marquant une continuité de l'esprit de la maison.
Aujourd'hui où, plus que jamais, l'apprentissage des langues du monde, allant de pair avec la connaissance des cultures, est le gage d'une plus grande ouverture à l'autre et d'une meilleure harmonie entre les peuples de la planète, L'Asiathèque - Maison des langues du monde tient le cap et se tourne vers l'avenir en œuvrant au développement de méthodologies innovantes d'apprentissage des langues (participation au projet ALPCU).
Xenia
Classiques Garnier
Archipel (L')