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Nouveaux débats publics

Maison d'édition à compte d'éditeur

Le mot du président
« Les dirigeants sont au cœur de la mondialisation des économies et des sociétés. Ils vivent dans un monde où l’instantanéité de l’information est la règle. Ils affrontent des crises systémiques. Ils rendent des arbitrages. Ils prennent des engagements sociétaux. Le monde compte sur eux en temps de crise, comme en temps de croissance. Ils sont souvent enviés, parfois décriés, de temps en temps rejetés. Pourtant, ils réfléchissent à un monde plus humain, une consommation plus équilibrée, une utilisation des matières premières respectueuse des générations futures. Les éditions Débats Publics leur sont dédiées, parce que ces enjeux et leur engagement collectif valent bien leur participation à ces nouveaux débats publics. »

 
LA PHILOSOPHIE DES ÉDITIONS DÉBATS PUBLICS
Soutenir la voix des dirigeants dans le débat public
Créée en 2007, Débats Publics est une maison d’édition dont la vocation est de donner la parole aux dirigeants qui, à la lumière de leur expérience et de leurs convictions personnelles, souhaitent livrer leurs réflexions sur des sujets de société contemporains.

La crise économique et sociale que nous traversons actuellement remet en question l’ensemble des repères d’une société qui ne se reconnaît plus dans l’image qu’on lui renvoie. Et l’ampleur de cette crise est d’autant plus remarquable qu’elle est mondialisée.
Dans ce monde en plein bouleversement, au moment où il est question d’un nouveau départ et où l’on cherche à inventer les bases sur lesquelles construire l’après-crise, il existe aujourd’hui une nouvelle génération de dirigeants qui souhaitent partager leurs réflexions.
Car loin de s’accommoder d’une société utilisatrice, des hommes et des femmes se sentent une impérieuse responsabilité de réagir et d’agir.
Il y a aujourd’hui un vrai bouillonnement d’idées pour reconstruire un monde sans faire les mêmes erreurs. La crise va demander des efforts. Il faut un rêve, le rêve d’un nouveau XXIème siècle auquel ces dirigeants, en connexion avec leur temps, veulent contribuer.

Grâce à leurs métiers, leurs expériences et leurs expertises, ils ont acquis un savoir, une capacité d’analyse et des convictions qu’ils veulent aujourd’hui faire partager.
L’objectif pour les éditions Débats Publics est d’offrir une plate-forme à ces femmes et à ces hommes, de promouvoir leur dialogue avec l’opinion publique, de nourrir et de créer un débat public autour du sujet abordé par chacun de ces auteurs.

Les éditions Débats Publics sont dédiées à ces « auteurs-dirigeants » pour qu’ils contribuent à créer le sens d’une nouvelle société.

Contact

Adresse

28, rue Bayard, 75008 Paris
France

Dépôt de manuscrits

Maisons d'éditions similaires :

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IS Edition

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2013
17 publiés par an
IS Edition est née de notre passion pour la littérature mais aussi pour les nouvelles technologies, notamment celles liées au livre numérique (eBook), qui présentent bien des avantages en termes de lecture.
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Confluences (éditions)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1984
400 livres au catalogue dont

Les éditions confluences ont été créées au mois de juillet 1994, à Bordeaux. La première collection, La Forme de Bordeaux, réunissait chaque fois un écrivain et un photographe, autour d’un lieu de la ville. Depuis, nous avons publié plus de 400 titres et avons fêté en 2019 nos vingt-cinq ans.

S’il nous arrive de déborder sur d’autres domaines, nous consacrons l’essentiel de nos publications à la Nouvelle-Aquitaine.

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François Bourin

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1987
Créées en 1987, les Éditions François Bourin ont marqué le paysage de l’édition française en publiant un certain nombre d’auteurs comme Jeanne Bourin, Michel Serres, Jacques Testard, Alain Etchegoyen, autour d’une ligne éditoriale privilégiant une approche tranchée des grandes questions de société. Après avoir rejoint le groupe de la Cité en 1994, la maison reprend son indépendance en 2002 et publie des auteurs comme Marc Fiorentino avec Tu seras un homme riche, mon fils, Laurence Benhamou avec Le Grand Bazar Mondial, Charles Gave, Christian Saint-Etienne, Philippe Chalmin, Patrice Romain, auteur des Mots d’excuse ou l’écrivain chinois Jian Rong, auteur du best-seller Le Totem du Loup. Mais à la suite de difficultés personnelles, François Bourin a été contraint de céder sa maison en 2013. Après une période de flottement, François Bourin a repris la tête de sa Maison en Mai 2016 avec l’appui financier du Groupe Chevrillon et de plusieurs actionnaires privés. Le groupe Chevrillon, dirigé par Cyrille Chevrillon, est une société à actionnariat familial qui investit dans des entreprises industrielles, de services et de haute technologie. Il développe également ses activités dans le domaine culturel, notamment dans la production cinématographique, musicale et théâtrale. Les Éditions François Bourin représentent son premier investissement dans le secteur de l’édition. La maison reste aujourd’hui fidèle à son ADN : les questions de sociétés et s’applique à éclairer les grandes ruptures de notre époque, qu’elles soient sociétales, économiques, politiques ou scientifiques, en s’appuyant sur les auteurs qui lui sont restés fidèles et en suscitant l’émergence de nouveaux talents. La Maison s’efforce de répondre à ces questions dans tous les domaines, littérature, essais, documents mais aussi humour ou livres illustrés. Le rythme de publication, une vingtaine de titres par an, nous permet de défendre au mieux chacun d’eux auprès de la presse et des libraires. Les couvertures ont également été retravaillées pour améliorer la qualité de nos parutions et leur visibilité en librairie.
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La Martinière

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
2870 livres au catalogue dont 150 publiés par an
Spécialiste français du livre illustré, le groupe La Martinière regroupe les Éditions de La Martinière (beaux-livres photo, art, patrimoine, art de vivre, gastronomie et cuisine pratique), Delachaux & Niestlé (ouvrages naturalistes pour adultes et la jeunesse), Éditions de La Martinière jeunesse (documentaire jeunesse et adolescence). Le groupe La Martinière est également présent dans le secteur de la littérature grâce aux éditions du Seuil qu'il a repris en 2004 et à l'étranger avec les maisons américaines Abrams et Stewart, Tabori & Chang ; et en Allemagne, Knesebeck Verlag.
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Glyphe

Maison d'édition à compte d'éditeur
« On croit que le Graal est la publication. Tant de personnes écrivent avec ce rêve d’y parvenir un jour, mais il y a pire violence que la douleur de ne pas être publié: l’être dans l’anonymat le plus complet. Au bout de quelques jours, on ne trouve plus votre livre nulle part, et on se retrouve d’une manière un peu pathétique à errer d’une librairie à l’autre à la recherche d’une preuve que tout cela a existé. Publier un roman qui ne rencontre pas son public, c’est permettre à l’indifférence de se matérialiser. » David Foenkinos, Le Mystère Henri Pick
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Actes Sud

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1978
10850 livres au catalogue dont 500 publiés par an
Créées en 1978, dans la vallée des Baux, par Hubert Nyssen et Christine Le B'uf, rejoints par les autres fondateurs, Françoise Nyssen, Bertrand Py, Jean-Paul Capitani, les éditions Actes Sud développent une politique éditoriale généraliste. Elles se sont distinguées par leur implantation en région, leur identité graphique, mais également par une ouverture de leur catalogue aux littératures étrangères. Installées depuis 1983 à Arles, elles poursuivent leur développement dans une volonté d'indépendance et un esprit de découverte. Leur catalogue (plus de 6 500 titres), réserve une place essentielle à la littérature (une soixantaine de domaines  linguistiques et un domaine français riche de 500 titres), et accueille des auteurs venus de multiples disciplines artistiques.
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Classiques Garnier

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1896
Depuis 1896 Classiques Garnier publie dans des éditions de référence des œuvres littéraires du monde entier, françaises et étrangères, de l'antiquité à nos jours. En 2009, Classiques Garnier a étendu ses publications à tout ce qui concerne la littérature et les sciences humaines pour éditer des études et des essais des meilleures spécialités sur la littérature française, les littératures étrangères, la linguistique, l'histoire, l'art, la musique, le droit et les sciences économiques et sociales. Maison d'édition utilisant les technologies les plus avancées, Classiques Garnier publie ses ouvrages sur trois supports : en grand format, en bases de données et en format poche.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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MEDIA Livres

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2017
4 livres au catalogue dont 10 publiés par an

Nouvelle maison d'édition à Perigueux (Dordogne)

Déjà 5 livres à son actif et un magazine. 

Nous organisons plusieurs salons littéraires  dont celui de Lanouaille le 30 juin 2018.(+ de 60 auteurs et des personnalités comme Manuel Valls, Cédric Villani, JL Debré...) 

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Chronique Sociale

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1892
Fondée à Lyon en 1892, elle est à la fois un organisme de formation, un lieu d'échange, de confrontation, de recherche, et une maison d'édition.
Ces trois secteurs d'intervention s'avèrent d'ailleurs complémentaires : pas d'édition sans formation, ni de formation sans recherche. Juridiquement, la Chronique est, à la fois, une association régie par la loi de juillet 1901 et dirigée par un Conseil d'Administration (créé en 1967) pour ses activités de formation et de recherche, et une Société anonyme à responsabilité limitée (SARL créée en 1920) pour l'activité édition.
Les deux structures sont liées juridiquement et travaillent en synergie au quotidien pour mettre en oeuvre le même projet.
Historiquement, la Chronique Sociale s'est préoccupée, dès ses origines, de sensibiliser le grand public aux évolutions de la société en suggérant une organisation de la vie collective plus solidaire et plus respectueuse des personnes.
Sa spécificité - et son originalité - consistent à privilégier la culture de proximité et l'échange d'informations en faisant appel à celles et ceux qui ont enrichi un savoir théorique initial par un savoir-faire de terrain ou l'inverse.
Elle s'adresse, en retour, à tous les acteurs d'humanité soucieux de mieux comprendre le monde en vue de le servir mieux, depuis leur propre épanouissement jusqu'à leur action au sein des organisations et au sein de la société.
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