Boréal: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
C'est à Trois-Rivières, le 18 mars 1963, que Gilles Boulet, prêtre, Pierre Gravel, libraire, Jacques Lacoursière, professeur, Denis Vaugeois, historien, et Mgr Albert Tessier, cinéaste et historien, fondent les éditions du Boréal Express.
La maison atteint vite la célébrité avec son journal d'histoire du Canada, qui marque une date dans l'enseignement de l'histoire au pays. Quelques années plus tard, les éditions du Boréal Express, dont Denis Vaugeois est le seul timonier, publient des livres sur des sujets historiques.
En 1976, quand Denis Vaugeois quitte le poste d'éditeur, la maison compte 54 titres à son catalogue. Elle s'est fait connaître d'un vaste public et a été le lieu de l'affirmation d'une nouvelle historiographie québécoise. Elle se trouve donc en phase avec l'évolution des mentalités, car c'est l'époque où les Québécois, avant de construire l'avenir que leur a laissé entrevoir la Révolution tranquille, veulent sonder leur passé.
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Maisons d'éditions similaires :

Classiques Garnier
Echo des vagues (L')
A l’origine des éditions l’écho des vagues, il y eut une librairie éponyme fondée à Rouen en 2004. D’abord située rue Alsace-Lorraine, puis rue des Boucheries Saint-Ouen à l’ombre de l’abbatiale, près du Robec, la librairie était spécialisée dans le fonds normand, l’histoire et l’archéologie.
En parallèle, la librairie s’était, dès 2009, lancée dans l’édition. Aujourd’hui, ce sont plus de vingt-cinq titres qui auront été publiés.
Fin 2012, la librairie cessait son activité et les éditions l’écho des vagues volaient de leurs propres ailes.
Poursuivant leur parcours éditorial, les éditions l’écho des vagues travaillent à la mise en valeur de l’histoire et du patrimoine régional en proposant des ouvrages aux thématiques inédites ou renouvelées.
Magellan et Cie
Créées en 1999 par Marc Wiltz, les éditions Magellan & Cie donnent la parole aux écrivains-voyageurs de toutes les époques. En publiant récits et carnets de voyage, reflets de la diversité de notre planète, elles espèrent rendre hommage au navigateur portugais Fernand de Magellan (1480-1521), auteur de la première circumnavigation, qui, au prix de sa vie, mit fin au mythe d’une terre plate et rendit service à l’humanité tout entière.
Magellan donc, Bougainville, Pierre Loti ou Gérard de Nerval, explorateurs pour les uns, auteurs romantiques pour les autres, dévoilent des terres lointaines sur tous les continents ou parlent de leurs pérégrinations audacieuses. À ces voix des siècles passés s’associent de nombreux auteurs contemporains du monde entier, réunis dans la collection « Miniatures », ainsi que les coups de crayon de carnettistes et de peintres voyageurs résolument modernes qui expriment et interrogent l’altérité.
Dans sa librairie située à Paris (34, rue Ramey - 75018), Magellan & Cie accueille aussi d’autres collections dédiées aux spectacles vivants, à des témoignages contemporains et des albums jeunesse sur le voyage qui ouvrent également sur le monde un regard coloré et amusant. 400 titres publiés depuis la création de la maison d'édition.
La richesse de l’homme sur terre est ainsi abordée sous tous ses aspects.
Cosmopole
En 1998, les éditions Cosmopole commencent par publier des récits de voyage et d’histoire. Au fil des ans, des biographies historiques de grands personnages de l’épopée napoléonienne ainsi que des dictionnaires ont enrichi le catalogue.
En 2008, la maison est reprise ; l’accent sera mis sur l’histoire et la découverte avec la publication de récits d’exploration. Le vrai tournant est pris en 2010 avec la création d’une collection élégante et originale, « Les dictionnaires insolites », dirigée par Vanessa Pignarre et Patrick Arfi. Cette collection a d’abord proposé un voyage différent, à travers les mots, dans des pays, des régions et des villes du monde entier.
Le succès des dictionnaires insolites tient à tous ceux qui ont œuvré à la conception des livres, les auteurs (journalistes, universitaires, écrivains ou encore expatriés) qui apportent leurs connaissances et laissent entrevoir leur personnalité, et les graphistes, Karin Doering-Froger puis Amélie Pignarre, dont le talent et l’imagination ne se sont pas démentis.
En 2021, la collection s’ouvre à la déclinaison de thèmes culturels comme les rapports des humains aux chats, la problématique des frontières, l’attrait pour la mer, l’insularité…
Le Festin
Hier
Le Festin a cette année 30 ans. Du chemin a été parcouru depuis le n° 1 de septembre 1989, sous-titré « Lettres, Lieux, Vues », et imprimé à quelque 1 000 exemplaires. La première page annonçait déjà en substance les grandes lignes directrices de ce que sera cette aventure éditoriale : ne pas aborder les patrimoines et la création en Nouvelle-Aquitaine sous un angle académique, mais selon une approche décomplexée et généreuse. Élevé au rang de doctrine, ce principe restera toujours le credo du Festin.
« L’Esprit Festin »
Il fallait redynamiser l’image vieillotte que véhiculait encore le patrimoine, en restituant la connaissance et en la rendant intelligible et attractive à tous, en défendant une vision plus prospective que nostalgique, plus régionale que régionaliste, plus familière qu’élitiste.
De fait, en tant qu’objet, la revue se présente à mi-chemin entre le livre et le magazine. Quant à son contenu, il associe des recherches scientifiques, inédites et documentées, à une démarche de vulgarisation. Partis pris, coups de cœur constituent le ferment de ce que l’on pourrait appeler « l’esprit Festin », autant éloigné du bulletin de société savante que du fanzine touristique. Un soin tout particulier est apporté aux images (recherches iconographiques ou actualité des reportages), car elles aiguillonnent la curiosité du lecteur. Elles éclairent, au même titre que la mise en page, le contenu rédactionnel, le soulignent en même temps qu’elle le divertit, afin qu’il n’y ait aucun hiatus entre le fond et la forme.
Enfin, le terrain d’action du Festin s'étend à toute la région Nouvelle-Aquitaine afin de proposer une lecture transversale du territoire. S’il existe une identité culturelle régionale, elle réside dans cet espace sensible où chaque site, chaque œuvre, chaque territoire est support d’interprétations, de correspondances et d’échanges. C’est aussi la diversité de la Nouvelle-Aquitaine qui fait la force de la revue. Réalisé par des amateurs passionnés pour d'autres passionnés, Le Festin se met au service de la connaissance, de l’expérience, de la découverte et du plaisir.
Aujourd’hui
En 2019, Le Festin fête ses 30 ans. Entre temps, il a tenté d’évoluer et d’améliorer par petites touches son propos rédactionnel et visuel. D’abord semestriel, puis trimestriel (à partir de 2002), il s’est imposé comme un rendez-vous désormais attendu pour les lecteurs. Il comptabilise aujourd’hui un catalogue de 109 numéros (dont beaucoup sont épuisés), auquel s’ajoute une trentaine de hors-série thématiques. Parallèlement, la maison d’édition propose chaque année une vingtaine de nouveaux titres (littérature, catalogue d’exposition, livres d’art, essais) qui viennent ainsi compléter le fonds culturel et patrimonial régional. Pour la seule revue, les plus de 10 000 pages qu’elle totalise depuis ses débuts en font un sommaire encyclopédique unique pour la Nouvelle-Aquitaine. Ce sont quelque 10 000 exemplaires et 2500 abonnements qui sont diffusés chaque trimestre dans plus de 600 points de vente.
Avec le temps, Le Festin a ainsi inventé son propre modèle économique, sans y perdre son âme ni ses ambitions. Loin de là, la grande aventure demeure intacte, l’équipe rédactionnelle et l'équipe commerciale composées de 15 salariés s’impliquent aujourd’hui dans cette profusion d’ouvrages avec toujours la même passion.
B42
Les Éditions B42 publient des ouvrages qui interrogent l’environnement visuel dans lequel nous vivons, en contribuant à la constitution d’une bibliothèque d’outils de réflexion sur les pratiques du design, du design graphique, de la typographie et de la création contemporaine. Ces études croisent d’autres domaines que sont la technologie, les médias, le numérique, l’anthropologie ou les études culturelles.
B42 s’est engagé dans un travail de traduction de textes majeurs de l’histoire du design et de la typographie, et également dans la publication d’essais qui contribuent à la diffusion et au renouvellement des savoirs.
De ce travail engagé en 2008 a émergé un catalogue de livres de référence, plébiscités notamment par les enseignants, qui constituent un fonds vivant, toujours en mouvement. Ils occupent une place de choix dans les bibliothèques des designers, des graphistes, des architectes, des artistes, des étudiants et enseignants de ces domaines.

Cairn (Editions)
DDB
Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.
1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.
1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.
De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.
En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.
Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.
Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.
Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».
Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.
Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.
Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.
Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.
Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.
Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.
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Nous n’acceptons que les manuscrits complets, sur papier, en feuilles paginées détachées, non boudinées (nous n’acceptons aucun manuscrit sur support électronique)
Vous pouvez soit déposer votre manuscrit en personne à nos bureaux, soit nous le faire parvenir par la poste en joignant à votre envoi une lettre de présentation où figurent vos coordonnées complètes et une adresse électronique. Nous vous remettrons ou vous enverrons par courriel un accusé de réception et vous communiquerons la décision du comité éditorial deux à trois mois après le dépôt du manuscrit. Il est inutile de communiquer avec nous avant cette échéance. Étant donné la quantité de manuscrits que nous recevons, il nous est impossible de transmettre aux auteurs qui ne sont pas sélectionnés un commentaire de lecture.
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