CAPC Musée Art Bordeaux: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
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Maisons d'éditions similaires :
Ecole française d'Athènes EFA
En 1873, 27 ans après sa création, l’École française d’Athènes créait un Institut de Correspondance hellénique « devant réunir les faits intéressant l’histoire, la langue et les antiquités du peuple grec ». Un tel Institut exigeait un Bulletin et à la fin du mois de janvier 1877, sortait de presse le premier numéro du Bulletin de correspondance hellénique.
L’activité éditoriale de l’École française d’Athènes était née.
143 ans plus tard, les publications de l’EFA demeurent le point de passage obligé pour quiconque s’intéresse à la Grèce et au monde grec de l’Antiquité à nos jours. Elles proposent plus de 600 titres en histoire, archéologie, épigraphie, numismatique, géographie, sociologie et plus largement dans toutes les disciplines érudites des sciences de l’Antiquité ainsi que dans plusieurs disciplines des sciences humaines et sociales. Fidèles à leur vocation initiale d’assurer la diffusion des recherches de l’institution, mais aussi de ses partenaires scientifiques, les Éditions de l’École française d’Athènes publient entre vingt et vingt-cinq nouveaux titres par an. Jouissant d’une large diffusion francophone et internationale, ces publications s’adressent également à un public non universitaire.
Ouvertes sur les développements du numérique, l’École française d’Athènes inaugure très tôt, en 2003, sa propre bibliothèque numérique, CEFAEL. Ses publications se trouvent depuis, également, sur Persée, Open Edition Journals (BCH, BCHmc et Bulletin archéologique des EFE) et sur son site.
Elles sont diffusées par Peeters Publishers en association avec Ian Steven Distribution pour le marché nord-américain.
Les Éditions de l’École française d’Athènes publient cinq revues et 18 collections.
Les Éditions Buissonnières
Les Éditions Buissonnières ont été créées en 1991 par Georges Boulestreau à Crozon. Spécialisées dans l’édition scolaire et musicale, les Éditions Buissonnières intègrent également un studio de création et d’exécution graphique travaillant pour les collectivités locales, les éditeurs, les agences de communication et les entreprises.
Les Éditions Buissonnières (6 personnes) réalisent depuis plus de 20 ans des livres scolaires et musicaux, des guides touristiques, des magazines pour les collectivités locales, des catalogues pour l’industrie. Pour l'édition scolaire, Sylvie Vieillard est responsable des éditions scolaires et chargée des dossiers environnementaux, Catherine Walmetz est responsable des éditions musicales. Le studio graphique est animé par Nadine Gautier-Quentin et Sébastien Salesses, graphistes et co-gérants et Annick Lefèbvre. Valérie Melkonian est comptable et responsable des impressions, ventes et expéditions.
POLI Editions
La revue Poli interroge les cultures visuelles, audiovisuelles et interactives. Du cinéma à la musique pop, de la télévision au web, de la photographie au jeu vidéo, Poli porte un regard neuf sur les images actuelles.
Poli aborde les enjeux de la production, médiation et réception des cultures visuelles et ouvre un espace de réflexion autour des industries culturelles et créatives via des contributions internationales provenant d’horizons variés.
DAP
CLC éditions
Ecole française Extrême-Orient
Dialogues (Editions)
Sillage
Codhos
Le Codhos est un réseau documentaire, une fédération d’institutions qui peuvent être tout aussi bien des centres de recherches universitaires, des fondations privées, des organismes proches des partis et des syndicats, des grandes institutions publiques. Selon ses statuts, le Codhos a pour but de faciliter l’information et les échanges entre ses membres, de réaliser des instruments documentaires et des outils informatiques concernant le mouvement ouvrier et social, à partir des fonds détenus par chaque organisme adhérent à l’association. Ces réalisations doivent faciliter les recherches des étudiants et des chercheurs. Le Codhos est né du constat de la dispersion des sources de l’histoire ouvrière et sociale en de nombreuses institutions, de taille, de statuts et de moyens très divers, dispersion à l’image du mouvement ouvrier et social français. Pour tenter d’y remédier, l’idée est venue à quelques-uns, documentalistes, archivistes, historiens, de mettre en commun leur expérience, de travailler en plus étroite collaboration. Le projet a pris corps au congrès de l’Ialhi (International association of labour history institutions) à Amsterdam en septembre 1999. En mars 2001 est né ainsi le Codhos, une association loi de 1901, qui élit un bureau comprenant obligatoirement un président, un secrétaire et un trésorier ; elle fonctionne avec des commissions de travail chargées de conduire les projets définis en commun lors des assemblées générales régulières. Tout organisme mettant au service du public des fonds documentaires concernant le mouvement ouvrier et social peut adhérer au collectif.
Sa candidature est soumise à l’assemblée générale qui se réunit deux fois par an. Les actions entreprises par le collectif, passé de dix à une quarantaines d’institutions partenaires en dix ans, s’inscrivent dans ces quelques objectifs : valoriser les fonds du mouvement ouvrier et social, proposer des guides de sources, sur support papier ou électronique, alerter les acteurs publics sur l’état des collections, participer à des actions de sensibilisation aux techniques et procédés de conservation et de sauvegarde des collections, avec naturellement aujourd’hui la mise en place de projets de numérisation.
Le Codhos désire également favoriser les échanges, l’aide mutuelle et la formation entre ses membres. Le Codhos peut permettre une mise en commun de moyens, favoriser la mise en place de formations communes à travers l’organisation de séminaires ou journées d’études qui concernent non seulement des questions techniques mais également le contexte scientifique dans lequel travaille chacun Le Codhos a fêté ses dix ans en 2011. Fort de son bilan d’activités qui a fait de lui en quelques années seulement le pôle de référence en histoire ouvrière et sociale en France, et reconnu comme tel par les grandes institutions publiques nationales et par ses partenaires européens de l’Ialhi, il reste un collectif reposant naturellement sur les investissements de chacun et la bonne volonté de ses membres, qui par leur diversité et leur complémentarité ont su créer une dynamique originale, partager des expériences et réaliser des initiatives concrètes.