Annuaire d' éditeur / Dokument Press
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Dokument Press

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1992
Dokument Press is both a publisher and a knowledge providing company with its roots in the Swedish hip hop movement. The company started in 2000 sprung out of the graffiti magazine UP that was founded in 1992. Today, we cover a broad range of cultural expressions.
Our publishing includes book titles that both reaches large audiences and affects social discourse.
We give lectures and workshops both in Sweden and abroad, mainly on street culture, creativity, civic participation and the right to public space.
We also act as producers. We set up exhibitions, put together books and catalogs, do mural painting as well as research and investigation, risk analysis and media management at cultural production.
In total this makes us a dynamic and innovative company with broad expertise and the ability to reach a large audience.
Our clients include Riksutställningar, ABF, White architects, Sweco, Copenhagen Municipality, College of Arts (Konstfack), The Royal Academy of Fine Arts, Stockholm and Uppsala University, the City of Gothenburg and the Swedish Parliament.

Contact

info@dokument.org

Adresse

Årstavägen 26, 120 52 Årsta
Suède

Dépôt de manuscrits

Par internet:

bjorn@dokument.org

Maisons d'éditions similaires :

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Notari

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2003
Les éditions Notari ont été créées en 2006 par Luca et Paola Notari. Installées à Genève, elles sont spécialisées dans la publication de livres d'art et de livres pour la jeunesse. Les livres pour la jeunesse sont choisis en fonction de leur valeur artistique et éducative. Les éditions Notari publient des créations originales ou proposent des traductions en français de livres publiés dans d'autres langues (italien, portugais, suédois...)
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Kero

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2012
45 livres au catalogue dont 15 publiés par an
Éditeur de romans, essais, documents, beaux livres.
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Riveneuve

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2001
40 publiés par an

Riveneuve : la maison d’édition indépendante qui raconte le monde aux Français et les Français au monde

Nées en 2001 au bord de la Méditerranée, quai Rive-Neuve dans le vieux port de Marseille, les éditions Riveneuve publient d’abord une revue littéraire : Riveneuve Continents, revue des littératures de langue française. Mais, déjà, le parti pris est celui de l’ailleurs, des nouvelles rives, des nouvelles frontières. Montées à Paris en 2007, elles deviennent généralistes en sciences humaines et en littérature largement ouvertes sur le monde.

En 2016 la maison déménage dans un espace plus grand – une ancienne boutique d’opticien dont elle conserve l’enseigne lumineuse, au 85 rue de Gergovie dans le 14e arrondissement. C’est l’occasion d’un nouveau souffle et d’un nouveau concept : Riveneuve ne fait pas seulement près d’une cinquantaine de livres par an diffusés et distribués par Interforum, elle tisse du lien social autour des livres, elle « fait société ». Expositions, conférences, débats, lectures-musicales, concerts, ateliers d’écriture ou de calligraphie, marché de Noël, etc., Riveneuve est aussi un petit centre culturel en plein 14e !
 

À l’échelle d’une petite maison d’édition indépendante, il s’agit de penser global et d’agir local. En pleine conscience qu’une part conséquente de la littérature de langue française – c’est-à-dire du monde multiforme de la francophonie ou en traduction – et des sciences humaines est générée par l’exil et le voyage, Riveneuve entend contribuer aux débats qui animent la société française au travers de destins engagés en Europe, en Afrique, en Asie ou aux Amériques. Riveneuve est à l’écoute de la part étrangère qu’il y a dans chaque Français comme de la part française qui existe dans chaque auteur étranger qu’elle publie. Il s’agit de raconter le monde aux Français et les Français au monde.

Plutôt qu’une ligne éditoriale, il s’agit d’un environnement culturel auquel participe le nouveau concept (Riveneuve Concept-Store), le nouveau logo, la bande son de Riveneuve (texte et musique d’HK), le nouvel espace (« la boutique »), les nouvelles collections, le nouveau site web, la nouvelle équipe.

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Bartillat

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 2000
Refondées en 2000, les éditions Bartillat interviennent sur plusieurs fronts culturels : littérature sous toutes ses formes - roman, essai, correspondance, poésie, biographie - mais aussi histoire, esthétique, voyage, musique et d'autres disciplines... Chaque livre invite à la découverte d'une vision inédite d'un sujet ou à la réinterprétation d'un texte ou d'un auteur. Nouveautés et rééditions se répondent en un dialogue fécond où les œuvres s'éclairent à la lumière de notre époque. À la merci des secousses, les volumes traversent le temps. Nos livres souhaitent trouver leur place dans la longue chaîne de transmission des écrits, tel un maillon qui recueille le passé et préserve l'avenir. Un livre mène souvent à un autre livre, qui lui-même ouvre de nouvelles perspectives.
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DDB

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877

Les origines
La fondation en 1877 à Bruges de la maison d’édition Desclée de Brouwer et Compagnie suit de trois ans celle de Desclée, créée par Henri et Jules Desclée qui s’associent Alphonse de Brouwer, propriétaire d’une mégisserie. Ensemble ils créent l’imprimerie Saint-Augustin, destinée à appuyer les efforts de la société Saint-Jean l’Évangéliste de Desclée. Cette initiative s’inscrit dans une période d’industrialisation de la Belgique où, comme la plupart des autres pays européens, la scolarisation progresse et où l’édition catholique voit se développer de prestigieuses maisons comme Brepols ou Casterman.

1877-1920 : les débuts d’une puissante société franco-belge
Très vite Desclée de Brouwer et Cie songe à s’installer en France et apparaît complémentaire de Desclée, reconnu « éditeur pontificale » et publiant des livres pour des clercs. Desclée de Brouwer oriente ses productions vers la culture chrétienne en général comme l’attestent ses premières parutions : La Revue de l’art chrétien, les Vitraux de la cathédrale de Bourges, avant de se lancer grâce à son imprimerie de Bruges dans la publication du Missel de dom Gaspar Lefebvre. Plusieurs librairies s’ouvrent à Lille, ensuite à Paris (rue du Vieux-Colombiers, puis rue de Rennes), à Nîmes et même à Rome. Devenue une puissante société, Desclée de Brouwer et Cie est l’une des premières maisons à utiliser la machine Typograph de Rogers ; elle devient tout normalement un des membres actifs du Syndicat des éditeurs belges.

1920-1946 : les années des « grandes amitiés »
Avec la collaboration d’éditeurs de renom tels qu’Étienne Gilson et Jacques Maritain, disciple de Léon Bloy, la politique éditoriale connaît une véritable explosion après le Première Guerre mondiale. Réunissant autour d’eaux des représentants du « renouveau catholique » qui a caractérisé la France dès le début du siècle – Charles Péguy, Paul Claudel, Julien Green par exemple –, Pierre Van der Meer de Walcheren, anarchiste converti par Léon Bloy, devenu directeur littéraire avant Stanislas Fumet, publie les œuvres des nouveaux convertis (Gertrude von Le Fort), les textes des mystiques (Jean de la Croix, Thérèse d’Avila). Le catalogue s’enrichit de titres qui connaissent de grands succès, comme Distinguer pour unir les degrés du savoir de Jacques Maritain (1932). Lui-même fonde et dirige plusieurs collections nouvelles : « Questions disputées », « Choisir », « Temps et visages », « Bibliothèque française de philosophie ».
Sous la houlette de Pierre Van der Meer, les collections se multiplient : « Les Grands Mystiques » ; on lance des revues de réputations internationale : Les Études carmélitaines, la Revue thomiste; on entreprend la publication d’une œuvre monumentale avec la « Bibliothèque augustinienne », etc. En 1932, la revue Esprit voit aussi le jour au sein de cette équipe éditoriale. Le renouveau intellectuel se caractérise alors par un éclectisme catholique, par l’affirmation d’une autonomie de la pensée laïque et l’engagement politique avec la guerre d’Espagne. Le dialogue avec l’humanisme est représenté par Bernard Guyon (collection « Les Écrivains devant Dieu ») de Henri Gouthier.
 

1946-1970 : une multinationale
Malgré le départ de plusieurs auteurs vers la nouvelle maison d’édition du Seuil, DDB, selon l’abréviation un temps adoptée, connaît une extension internationale : l’imprimerie se modernise pour produire La Sainte Bible qui sera traduite en plusieurs langues ; la maison d’édition s’implante à Bilbao, Buenos-Aires, Utrecht, New York et Montréal, tout en développant une chaîne de librairie à Bruxelles, Louvain, Utrecht, Breda. Elle négocie avec le Cerf la diffusion de la fameuse Bible de poche, ainsi que la collection « Foi vivante » et promeut la publication d’œuvres considérables : celles notamment de Michel de Certeau, Pierre Emmanuel, Hans Küng, Karl Rahner, Hans Urs von Balthasar, les cardinaux Léon-Joseph Suenens et Charles Journet, dom Helder Camara et Maurice Zundel. La maison ouvre ainsi largement ses portes aux auteurs conciliaires et développe une collaboration intense avec des ordres religieux, notamment avec les jésuites (en lançant la collection « Christus »). En 1966, Maritain, alors retiré chez les Petits Frères à Toulouse, signe un dernier livre qui devient en quelques jours un manifeste retentissant, Le Paysan de la Garonne.

De 1970 à 2000 : du déclin au sursaut
La prise du pouvoir de la structure familiale de DDB revient à Marc Desclée de Maredsous, à qui Georges de Halleux doit céder le pouvoir, alors que la maison traverse des années difficiles : les librairies sont vendues, l’imprimerie est en faillite, les filiales s’autonomisent, la multinationale se désagrège, le catalogue est dénaturé et beaucoup d’auteurs partent.

En 1982, le groupe de Publications de la Vie catholique (PVC) rachète à 100 % le capital de Desclée de Brouwer. Le redressement s’effectue en plusieurs années, grâce à un renouvellement de l’équipe éditoriale dirigée désormais par André Bourgeois, directeur général, riche d’une longue expérience éditoriale et commerciale, épaulé par Jacques Deschanel qui, ayant fait toute sa carrière chez DDB, en est la mémoire et l’âme, et enfin grâce à Michel Houssin qui depuis 1987 assure la présidence.

Le succès sourit à nouveau à la maison qui conjugue fidélité à l’histoire, innovation éditoriale, réorganisation des services commerciaux ; soucieuse d’enraciner le religieux dans une culture ouverte (philosophie, psychologie et littérature), elle intègre le Catalogue de la maison quadragénaire l’Épi en le prolongeant. Appelée un temps DDB, la maison renoue aussi avec la dénomination plus classique Desclée de Brouwer.

Entre-temps, elle est redevenue une société importante (30 personnes à l’effectif pour l’édition), réalisant un chiffre d’affaires qui a plus que triplé en quinze ans (dont 20 % à l’exportation) ; il était de 12 millions en 1982, en 1996 d’environ 46 millions, et le nombre de titres annuel est passé de quelque 50 à plus de 120). Sa collaboration ne se limite pas au Cerf, elle s’ouvre à d’autres maisons telles que Grasset et Flammarion. Si elle fait encore 30 % de son chiffre d’affaires avec la Bible (Bible de Jérusalem, Chouraqui et sœur Jeanne d’Arc), la maison s’honore de valoriser l’œuvre de Jean Guitton, Marcel Légaut, Maurice Bellet et Éloi Leclerc, et de publier des ouvrages d’André Frossard, Jean Delumeau, Jeanne Bourin et Sylvie Germain, tout en promouvant des études sur l’islam (Denise Masson, Louis Gardet), sur le judaïsme, sans négliger ni les sagesses orientales (Jean Déchanet) ni les diverses confessions chrétiennes et notamment l’orthodoxie. Par ailleurs de nouvelles collections se sont imposées : « Petit vie de… », « L’Aventure spirituelle », « Petite encyclopédie moderne du christianisme », « Anthropologique », etc. Le Jésus de Jacques Duquesnes publié fin 1994 en collaboration avec Flammarion a été un best-seller qui a relancé le débat sur la christologie.

Comme l’a souhaité expressément André Bourgeois, directeur générale de 1982 à 2000, Desclée de Brouwer cherche « à s’ancrer dans la pensée contemporaine sous toutes ses formes ».

Après celui du groupe Le Monde, le rachat par la maison d’édition religieuse suisse Parole et Silence en 2006 fait entrer Desclée de Brouwer dans une nouvelle phase. La maison édite à présent près de 130 nouveautés par an, et se concentre principalement sur des problématiques très religieuses. En 2012, la maison est placée en redressement judiciaire et a accumulé de très fortes dettes. Elle est rachetée en 2014 par le groupe Elidia, présidé par Bruno Nougayrède et Loïc Mérian.

Aujourd’hui
Le nombre de nouveautés par an est ramené à une trentaine et, sous la houlette de Bruno Nougayrède, les éditions Desclée de Brouwer se recentrent sur les sciences humaines, les sciences religieuses et les essais. La maison d’édition Artège, membre du même groupe, reprenant le fond « confessionnel chrétien » de la maison. Les éditions Desclée de Brouwer retrouvent ainsi leur vocation de maison de savoir et de connaissance. Elles participent à l’intelligence de la société et des phénomènes religieux.

Elles publient à l’automne 2015, dans l’esprit de ce renouveau éditorial, l’essai remarqué et remarquable de Pierre Manent sur la place des religions dans la société, Situation de la France.

Une politique ambitieuse de développement des fonds numériques et papier est enclenchée.

Fidèle à ses origines et à son histoire, les éditions Desclée de Brouwer entrent ainsi résolument dans le XXIe siècle et participent, à leur mesure, à la transmission du savoir et à la réflexion autour de ce savoir.

Cet historique s’appuie très largement sur un article de Charles Chauvin que nous remercions pour ce travail.

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Desclée de Brouwer

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1877
30 publiés par an

Les Éditions Desclée de Brouwer ont été fondées en 1877 à Bruges (Belgique) par Henri Desclée (1830-1917), industriel belge pionnier du gaz d'éclairage, à l'origine de la fondation de l'abbaye de Maredsous et du couvent des Clarisses de Roubaix, et par Alphonse de Brouwer (1850-1937), propriétaire d'une mégisserie appelée « Jean-Baptiste de Brouwer et Cie » (qui deviendra en 1883 l'imprimerie « Desclée, de Brouwer et Cie »), dans le but de promouvoir la culture chrétienne.

Dans les années 1930, cette maison d'édition s'installe à Paris tout en conservant son site en Belgique2. Elle défend alors une position libérale, sa filiale argentine diffusant ainsi les idées de Jacques Maritain malgré une forte opposition national-catholique3.

En 1982, DDB est rachetée par le groupe de publication La Vie, devenu entre temps propriété du groupe Le Monde.

En 2006, Le Monde revend DDB à l'éditeur suisse Parole et Silence, spécialisé dans la spiritualité chrétienne. DDB publie également des ouvrages de spiritualité (marquée par un « christianisme d'ouverture »), de sciences humaines et des essais4.

En 2009, DDB reprend les éditions du Rocher5 et, en 2011, les Éditions François-Xavier de Guibert.

Le 9 octobre 2012, DDB et Le Rocher sont placées en redressement judiciaire6

Le 19 mars 2014 DDB obtient la signature d'un plan de continuation présenté par les nouveaux actionnaires issus des Éditions Artège7, avec le soutien de Ernesto Rossi di Montelera. Marc et Sabine Larrivé conservent, eux, les Éditions Parole et Silence.

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Temps des Cerises (Le)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1993
600 livres au catalogue dont

Le Temps des Cerises a été créé en 1993, à l'initiative de 33 écrivains qui voulaient ouvrir un espace d’expression, hors des sentiers battus de la pensée dominante.

En choisissant comme nom le titre de la chanson de Jean-Baptiste Clément, ils voulaient indiquer à la fois leur attachement aux idéaux de la Commune et à une certaine tradition de poésie populaire, le plus souvent occultée.

Le petit "e" de Cerises disant à sa façon que cette espérance maintenue l’est dans un temps de Crises … Depuis 20 ans, Le Temps des Cerises a constitué un fonds de plus de 850 titres, textes inédits ou introuvables, d’auteurs contemporains ou classiques, dans les domaines de la poésie, du roman et des essais, qui contribuent à penser et rêver un autre monde...

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La lettre volée

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1989

Les éditions de La Lettre volée, sises à Bruxelles, fondées à l’automne 1989 par Daniel Vander Gucht, Pierre-Yves Soucy et Louis Jacob dans le cadre de l’a.s.b.l. Ante Post, poursuivent une politique éditoriale qui tient en trois points :

1° La volonté de proposer, à travers diverses collections, une réflexion destinée à un public élargi sur les enjeux éthiques et esthétiques de la société, de la culture et de l’art contemporains. Le dialogue entre sciences humaines, littérature et esthétique y est entretenu dans la perspective d’une saisie globale des phénomènes sociaux et artistiques.
2° L’option internationale qui préside au choix des œuvres de réflexion et de création publiées, et qui répond au procès même de la pensée et procède du refus d’enfermer les auteurs dans des ghettos, intellectuels ou culturels.
3° Le souci du beau livre qui conjugue le plaisir de la main, de l’œil et de l’esprit, en présentant au lecteur des textes de qualité dans une présentation soignée et élégante, tant du point de vue de la typographie que du choix des papiers et du graphisme. Plusieurs de nos titres comportent un tirage de tête.

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Renaissance du Livre (La)

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1997
Maison d’édition francophone belge ayant une ligne éditoriale principalement axée sur la mise en avant du patrimoine culturel, gastronomique, touristique mais aussi sur l’esprit caractéristique de notre pays, déclinant ses thématiques autour des 9 axes suivants: cuisine, culture, histoire, humour, jeunesse, patrimoine, société, sport et tourisme. Le catalogue s’enrichit chaque année d’une cinquantaine de nouveautés.
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Racine Lannoo

Maison d'édition à compte d'éditeur crée en 1993
1000 livres au catalogue dont 60 publiés par an

Créées en 1993, les Éditions Racine ont conquis en l’espace de quelques années une position de tête dans le secteur de l’édition en Belgique francophone. Elles comptent à leur actif plus de 1000 titres et éditent chaque année plus d’une soixantaine d’ouvrages.

Attentives à la valorisation et à la promotion du patrimoine, les Éditions Racine articulent leur catalogue autour de deux pôles principaux à savoir le « beau livre » (architecture et patrimoine, art et arts décoratifs, histoire et régions, photographie, gastronomie, nature et jardins, tourisme…) et les livres d’essais (histoire, société, politique, économie…)

Nous éditons régulièrement des ouvrages en plusieurs versions de langue ou plurilingues, notamment parfois en collaboration avec notre maison mère Lannoo.

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