Serge Safran éditeur: contact et modalités de dépôt d'un manuscrit
Diffusé par Le Seuil et distribué par Volumen, Serge Safran éditeur, créé et animé par Serge Safran, écrivain et cofondateur des éditions Zulma, propose a priori une dizaine de titres par an de littérature contemporaine, française ou étrangère.
À savoir un choix personnel guidé par l’originalité du sujet, la force d’émotivité et le dérangement des codes établis, qu’ils soient moraux, littéraires ou esthétiques. L’idée est avant tout d’offrir de réelles découvertes. Donc de privilégier, sans que cela soit une contrainte, ni une limite, de nouveaux ou jeunes auteurs, en tout cas des écrivains méritant d’être soutenus et encouragés avec passion.
Il ne s’agit pas de revendiquer une rupture littéraire formelle à tout prix, mais que ces œuvres puissent exprimer une forte personnalité à travers un sujet à caractère universel comme, par exemple, la relation entre des visions opposées du monde, sur toile de fond historique, géographique ou sociale spécifique.
Contact
Site Web
http://www.sergesafranediteur.fr/Téléphone
0144617077Adresse
86 rue du Cherche Midi, 75006 Paris FranceSite Web
http://www.sergesafranediteur.fr/Téléphone
0144617077Adresse
86 rue du Cherche Midi, 75006 Paris FrancePartenaires
Distributeur
Diffuseur
Dépôt de manuscrits
Par voie postale:
Service des manuscrits68 boulevard Saint-Michel
75005 Paris
France
Maisons d'éditions similaires :
Kero
Buchet-Chastel
Corridor Bleu (Le)
Comme le suggère indirectement le précepte gravé à l’entrée du temple de Delphes, il est important de savoir de quoi l’on parle et surtout avec qui. Aussi le Corridor bleu se doit de vous dire qu’il est né à Douai, Nord de la France, en 1997 (là où Arthur Rimbaud composa ses cahiers et adressa ses lettres du voyant à son professeur Paul Demeny, rue de l’Abbaye-des-prés), un 22 septembre, jour de la fête nationale du Mali. Autour d’une poignée de poètes plus ou moins illuminés.
La première rencontre déterminante, si l’on suit une trame à la Gurdjieff dans ses Rencontres avec des hommes remarquables, fut, sans l’ombre d’un doute, celle de Michel-Georges Micberth qui catalysa énergies, volontés et beautés. La seconde fut celle d’Ivar Ch’Vavar, chaman et grand manitou de ce que d’aucuns appelleront la Grande Picardie Mentale, soit un territoire à la fois réel et surréel, qui s’étend du Hainaut belge jusqu’à la Picardie actuelle (pour combien de temps?) et dont les membres du Corridor bleu (car il y a eu, au début, un esprit d’équipe, enfin, une communion, qui ne portait pas même de nom et dont on conserva le souvenir à travers les ruines) arpentèrent les coins et les recoins à la recherche des lieux sacrés, des héros (dont le plus grand est saint Benoît-Joseph Labre) et des bandits comme il était indiqué dans le livre des livres Hölderlin au mirador du grand Ivar Ch’Vavar. Le plus grand livre de poésie de la fin du siècle précédent. Oui. À s’en taper la tête contre les draps du réel de stupeur.
Charles-Mézence Briseul, un peu, malgré lui, à l’origine de tout, exigeait que chacun des membres lût le livre au moins une fois par an. Ce qui ne fut pas forcément suivi. Au prix de grands tracas. D’où certaines dislocations. Qui finirent toujours, c’est vrai, plutôt bien. Durant ces années d’initiation à la chose poétique et à l’édition underground, on put recenser de nombreuses participations à des salons, lectures, performances, festivals, plus ou moins obscurs. Mais au fond des ténèbres se tapit la vérité. Du moins une partie. Publication de la poésie la plus expérimentale: Henri Chopin, Pierre Garnier, Bernard Heidsieck.
Commencença une relative errance du Corridor bleu de par la France et le monde, depuis la Roumanie et Jérusalem, jusqu’en Inde, Bénarès (Varanasi), où devant les crémations, au bord du Gange, il devint évident, que sa mission, plus que jamais, serait de promouvoir la création, quelle qu’elle soit, littéraire, philosophique ou spirituelle, la plus exigeante et la plus marginale, celle que tous les autres, par lâcheté ou paresse, refusent et refuseront toujours de mettre en avant. Pas très loin du parc aux gazelles où le Bouddha prononça son premier sermon. On en pleura au milieu des mendiants estropiés. Et des saints reliés au grand créateur, même s’ils n’en parlaient pas ainsi. Publication des grands poètes contemporains: Laurent Albarracin, Pascal Boulanger, Louis-François Delisse.
Puis l’on changea d’hémisphère pour rejoindre La Réunion, qui est, à peu de chose près, comme l’a révélé Jules Hermann, plus ou moins, le centre, sinon l’origine, du monde ancien et à venir. Exploration des sociétés secrètes, des abysses, des cimes inaccessibles et ouverture du catalogue à une marginalité toujours plus importante devant la médiocrité de l’époque. Tout s’inversa. Les premiers, derniers, devinrent, et vice versa. Publication du texte fondateur du Japon, le Kojiki, des écrits mystiques d’Agnès Gueuret et d’une série d’entretiens avec un prêtre kanak, Roch Apikaoua.
Le futur est déjà là. Des livres à inventer. Ceux que l’on aurait voulu trouver au fond d’une librairie improbable. Que l’on aurait voulu voler ou offrir. Que les bourgeois jettent avec dégoût loin devant eux. Que l’on pose avec soin et crainte sur sa table de nuit avant de sombrer dans le sommeil en espérant qu’il soit court. Livres de pure farine et bons à caler un lit branlant un soir de cyclone.
Portaparole
Fondée à Rome en 2004 par Emilia Aru, puis implantée en Arles depuis 2014,
Portaparole est une maison d’édition multilingue, orientée vers de larges horizons.
Persuadée que la transmission de la pensée passe par un objet désirable, Portaparole s’applique à publier des livres agréables à lire, conçus avec soin, dans un catalogue original et de qualité, adressé à un lectorat avisé et exigeant.
Le nom Portaparole — porter les paroles — résume à lui seul sa vocation. L’identité de Portaparole est reconnaissable à chacun de ses livres et chacune de ses collections. Le papier, le caractère typographique, nommé Dante, la mise en page, tout renvoie aux anciens maîtres imprimeurs italiens et français. Le logo représente un martinet — cet oiseau vif, volant dans une portion de ciel étoilé.
Decoopman (Éditions)
Gidouille (La)
Pourquoi pas ? (Editions du)
Table Ronde (La)
L’idée première est de créer une revue. Conviés autour de la table, Thierry Maulnier, André Fraigneau et Jean Cocteau participent au projet. André Fraigneau suggère un titre énigmatique : La Couronne fermée. Jean Cocteau lui préfère La Table Ronde, qui correspond davantage à l’esprit du groupe. François Salvat dessine les maquettes et le premier numéro des « Cahiers de La Table Ronde » voit le jour fin 1944. Jean Anouilh confie alors sa pièce Antigone à Roland Laudenbach, sans limitation de tirage. Ce sera le premier livre en édition courante, celui qui fait de La Table Ronde une maison d’édition à part entière.
L’effervescence littéraire et intellectuelle du demi-siècle ne perdant rien de sa vigueur, des auteurs tels François Mauriac et Henry de Montherlant collaborent à la revue, tandis que Paul Morand livre son Journal d’un attaché d’ambassade et Jean Giono Un roi sans divertissement. Au fil des années cinquante, une génération d’écrivains turbulents fait son apparition. Parmi eux, Antoine Blondin, Michel Déon, Jacques Laurent, Roger Nimier, tous amis de Roland Laudenbach, que Bernard Frank réunira — un peu rapidement — sous le nom de « hussards ».
Au cœur de cette époque, La Table Ronde publie des romans drôles et mélancoliques, sensibles et délicats.
L’éclosion d’écrivains comme Alphonse Boudard, Gabriel Matzneff, Frédéric Musso ou encore Eric Neuhoff, offre aux hussards des successeurs pleins de panache. Les années quatre-vingt-dix s’ouvrent sur les disparitions successives de Roland Laudenbach et Antoine Blondin. Avec l’arrivée de Denis Tillinac à la tête de La Table Ronde en 1990, le catalogue accueille Jean-Paul Kauffmann, Frédéric Fajardie, Yves Charnet, Jean-Claude Pirotte, Xavier Patier, le poète William Cliff ou plus récemment Michel Monnereau. En 1997, La Table Ronde reprend la collection Quai Voltaire, pour la dédier à la littérature étrangère, en publiant, entre autres, Alice Mc Dermott, Tracy Chevalier, et Richard Russo. Dirigées aujourd’hui par Alice Déon, Les Éditions de La Table Ronde continuent de réunir des auteurs restés fidèles à la liberté de ton de leurs fondateurs.
Glamencia éditions
Glamencia Editions est une maison d'édition à compte d'éditeur, humaine et ouverte d'esprit. Nous sommes passionnés de belles histoires et prônons la diversité quelle qu'elle soit. C'est pour cela que nous publions tout type de roman mettant en scène des personnages fictifs de tous horizons, de tout genre et de toutes orientations sexuelles. Un seul crédo, la présence d'amour est indispensable, que celui-ci soit juste de passage ou fasse partie prenante de l'intrigue.
En raison de leur particularité, seuls les essais, les autobiographies, et les fanfictions ne figureront pas dans notre catalogue.
Veuillez vous référer à la page soumission de notre site internet pour connaître les modalités d'envoi de votre manuscrit.
Modalité d'envois
Pour tout envoi de manuscrit(s) :
Tout manuscrit doit être envoyé à notre adresse postale. Nous ne sommes pas en mesure de lire les textes reçus via e-mail. Si vous souhaitez que le manuscrit vous soit retourné, veuillez lui adjoindre une enveloppe affranchie au tarif en vigueur.
Dans le cas contraire, les manuscrits ne sont pas conservés au-delà d’un délai de trois mois. Dans tous les cas, il n’y a pas de réponse donnée, sauf si le manuscrit est accepté.